La coopération algero-française dans le domaine universitaire.
Posté par khalfi1 le 31 octobre 2015
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Posté par khalfi1 le 31 octobre 2015
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Posté par khalfi1 le 17 octobre 2015
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Posté par khalfi1 le 16 octobre 2015
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Posté par khalfi1 le 13 octobre 2015
L’écrivaine biélorusse Svetlana Alexievitch, voix dissidente en Russie, a reçu ce jeudi le prix Nobel de Littérature. France Culture ouvre ses archives et propose de réécouter l’écrivain jeudi 8 octobre à 22h15, dans Hors Champ, vendredi 9 octobre à 12h dans la Grande table et la semaine prochaine du lundi 12 au vendredi 16 octobre à 20h dans À voix nue.
- jeudi 8 octobre, 22h15
Hors champs par Laure Adler
- vendredi 9 octobre, 12h
La Grande Table par Caroline Broué
Entretien avec Svetlana Alexievitch, au sujet de La Fin de l’homme rouge (Actes Sud).
- Dès lundi 12 octobre jusqu’à vendredi 16, 20h dans A voix nue par Sandrine Treiner.
Svetlana Alexeievitch est l’une des bêtes noires du régime totalitaire que dirige l’ex-chef de kolkhoze Alexandre Loukachenko. Dès son premier livre, elle a construit une oeuvre à mi-chemin de l’enquête journalistique et de la littérature.
Après Ensorcelés avec la mort (Plon) consacré au suicide dans un pays qui s’appelait encore l’Union soviétique, elle a recueilli la parole des proches de soldats russes morts en Afghanistan, dans les Cercueils de Zinc (Christian Bourgois). Le livre a été adapté au théâtre, dernièrement par Jacques Nichet. La Supplication (Actes-Sud) évoque la catastrophe de Tchernobyl du 26 avril 1986. Ce livre, fruit d’une enquête de trois ans, orchestre 88 voix des « gens de Tchernobyl ».
La centrale de Tchernobyl est située en Ukraine, mais bon nombre de victimes vivent en Biélorussie, pays proche de la centrale, pays où vivait Svetlana Alexeievitch, où vit toujours son père et où elle vivrait encore si sa vie n’était pas menacée par le pouvoir dictatorial de Loukachenko, toujours prompt à faire disparaître des opposants et peu respectueux des esprits indépendants comme ceux de l’auteur. Insultée, menacée dans son pays, Svetlana Alexeievitch a été prise en charge par le Parlement international des écrivains (présidé par Russell Banks) au titre des « villes refuges ». Après l’Italie, elle séjourne en France.
À lire
Œuvres, Svetlana Alexievitch, traduit du russe par Galia Ackerman, Paul Lequesne, Anne Coldefy-Faucard et Pierre Lorrain, éd. Actes Sud, 780 p., 26 euros.
Photo: Svetlana Alexievitch ©Margarita Kabakova
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Posté par khalfi1 le 13 octobre 2015
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