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Prix littéraire

Posté par khalfi1 le 30 septembre 2017

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L’art de perdre

Posté par khalfi1 le 29 septembre 2017

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Et j’ai choisi de vivre

Posté par khalfi1 le 29 septembre 2017

« — Allô, pouvez-vous envoyer une ambulance ? C’est pour mon mari. Il… il est inconscient. »
Alice et Maxime avaient un rêve : s’installer aux Etats-Unis pour ouvrir une boulangerie en plein cœur de Manhattan. La vie les a exaucés, même au-delà de leurs espoirs.
Jusqu’au jour où le cauchemar commence. Maxime est retrouvé inanimé, souffrant d’un traumatisme crânien. Que lui est-il arrivé ? Pourquoi Alice est-elle suspectée, alors qu’elle l’aime depuis leur premier regard ? Que cherche-t-elle à cacher, au péril de sa propre vie ?
Une histoire qui sonde les secrets qui sommeillent au fond de nous, ceux que l’on ne se pardonne pas, ceux qui reviennent nous hanter alors qu’on les croyait enfouis dans les cendres du passé.
Dans ce cinquième roman, Marilyse Trécourt conjugue suspense et émotions, amour et mensonges, sacrifices et culpabilité, tout en vous posant une question : et vous, avez-vous choisi de vivre ?



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Retour à Lemberg

Posté par khalfi1 le 29 septembre 2017

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Mezghena

Posté par khalfi1 le 28 septembre 2017

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Eric-Emmanuel Schmitt

Posté par khalfi1 le 27 septembre 2017

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Mon ami le destin

Posté par khalfi1 le 27 septembre 2017

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Ecrire

Posté par khalfi1 le 26 septembre 2017

AUTEUR

Le 20 sep 2017

Pourquoi j’écris (5)

Ecrire ou faire de la littérature, c’est le clair distinguo qu’Ivan Zimmermann pose avant d’expliquer sa pulsion irrésistible vers l’écriture. Raconter des histoires, raconter ses histoires jusqu’à s’y noyer.
La pression du crayon, curieux mélange entre l'envie et l'urgence d'écrire. JamesLa pression du crayon, curieux mélange entre l’envie et l’urgence d’écrire. James

L’écriture : par dérision peut-être…

Un ancien prof de français, que l’on nommait Réris dans mon collège, en fait l’abbé Maurice, m’avait dit un jour en me rendant une rédaction, qui était sur le thème d’une veillée en famille, que j’avais pompé Victor Hugo ! Si, si ! Je l’avais regardé d’un air aussi éclairé que mes boutons d’acné en pensant que le pauvre homme avait sûrement abusé de la boutanche, comme d’habitude. Moi qui ne lisait à l’époque que mon magazine Pilote avec comme auteurs préférés Goscinny, Morris et Marcel Gotlib, je ne comprenais pas ce qui venait de m’être reproché. J’étais vexé avec un net un sentiment d’injustice ; pour une fois que je faisais un effort en rédaction.

Je fus, bien sûr, le sujet de risée de tous mes copains de classe et surtout de Gérard le surdoué de la classe.

C’était en troisième et j’avais quatorze ans, ça ne date pas d’hier.  Mais c’est sans doute là que j’ai compris que l’écriture avait peut-être un intérêt, et, il est vrai, je m’en souviens encore, que j’avais pris du plaisir à écrire cette rédac. Du coup, j’ai lu, ce bon vieux Hugo, à qui on me comparait si abusivement et j’ai bien sûr tout de suite eut la certitude que Réris était bourré ce jour là et que cet écrivain était magnifique.

Ce qui m’a donné envie d’écrire : raconter des histoires et ne plus penser qu’à elles

Depuis, je erre comme une pauvre âme en peine dans les affres de l’écriture et me démène comme un beau diable à essayer d’intéresser le peu de lecteurs qui ont eu l’immense joie d’honorer ma plume. Si je ne me fais pas de compliments, qui m’en fera ?

Bref, lorsque je me place devant mon clavier et que j’ouvre ce charmant Word sur une page blanche, il faut absolument que je la remplisse tellement je la trouve tristounette. Certains vont se parler comme face à un miroir, d’autres vont critiquer la société, moi je me raconte des histoires. Mais, je pousse le souci du détail jusqu’à ce que j’arrive à y croire et à me tremper dans mes aventures virtuelles pour ne plus penser qu’à elles ; sous la douche, en me rasant (quand je veux), assis sur siège des toilettes et même en rêvant.

— C’est grave docteur ?

— Non simplement, un peu de surmenage, je vous prescris dix chapitres à écrire.

Voilà, c’est reparti ! Vous voyez, je ne peux pas m’en empêcher.

Je fais une petite parenthèse ici : on parle bien d’écrire, n’est-ce pas, pas de faire de la littérature comme cette bonne vieille Marguerite Youcenar ou ce bon Jean d’Ormesson, Carla comme disait Sarko, pardon, car là, je ne suis plus votre homme. Mais ça vous l’aviez deviné.

Un pied de nez ? Non, une réalité, une conscience de soi, pas la peine de me faire psychanalyser pour savoir que je ne serais jamais publié dans La Pléïade.

Alors écrire est une autre nature de soi ? Ouaip, m’sieur. Lorsqu’on la rencontre, cette putain de manie d’écrire, c’est pour la vie et le divorce devient impossible, ou alors c’est qu’on approche du dernier chapitre de sa vie et qu’on vient d’y apposer le mot « FIN ».

 

Ivan Zimmermann

11/09/2017

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L’enfer des cadres

Posté par khalfi1 le 26 septembre 2017

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web TV Culture

Posté par khalfi1 le 25 septembre 2017

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Paris se livre

Posté par khalfi1 le 23 septembre 2017

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Guerre d’Algérie. Les tribulations de l’ALN- 1958-1959- Jean Freire

Posté par khalfi1 le 22 septembre 2017

Ceux qui combattent à l’intérieur et ceux qui représentent l’Algérie en dehors, les « militaires » et les « politiques », les uns et les autres, souvent venus des anciennes formations politiques et en gardant la marque, les dirigeants qui étaient dans la lutte avant l’insurrection et ceux qui n’y sont entrés qu’après, ceux qui sont issus des milieux paysans et ceux qui appartiennent à la petite bourgeoisie n’ont pas nécessairement la même approche ni les mêmes analyses des situations. Les sacrifices demandés et consentis, la cruauté des combats, l’ampleur des difficultés à affronter et aussi les inimitiés personnelles et les susceptibilités régionalistes (« arabes » et « kabyles » entre autres) exacerbent parfois des oppositions d’ordre politique plus ou moins couvertes par la nécessité de maintenir l’unité de combat. Des alliances se nouent et se dénouent, des « complots » auxquels ne sont pas toujours étrangers les services spéciaux de l’Etat-hôte (notamment égyptiens dirigés par Fath el-Dib) se trament et mûrissent. C’est ainsi que naît le plus connu d’entre eux, le « complot des colonels » au centre duquel se trouvent les colonels Mohammed Amouri, Ahmed Nouaoura et Laskri Amara, anciens commandants de wilaya.

Le colonel Amouri est un homme du 1er novembre 1954. Originaire des Aurès, ancien chef de la wilaya I, il manifeste son désaccord avec l’orientation politique définie par le Congrès de la Soummam. Partisan d’une extension de la lutte (il souhaite l’élargissement du conflit à l’ensemble du Maghreb), il s’insurge contre la présence au sein du F.L.N. de « certains éléments » qu’il qualifie « d’arrivistes », visant plus particulièrement les « civils-politiques ».

Son opposition au C.C.E. puis au G.P.R.A. provoquera son exil en Egypte. Un autre opposant, Mostefa Lakhal, affiche les mêmes sentiments. Engagé très tôt dans la lutte en wilaya 4, il sera lui aussi envoyé en Egypte où il effectuera un stage dans une académie militaire.

En wilaya I, les mécontents sont nombreux. La proximité du redoutable obstacle qu’est devenue la ligne Morice alimente d’âpres polémiques. Amouri s’entend avec le colonel Nouaoura, qui lui succède un temps à la tête de son ancienne responsabilité. Puis c’est le chef de l’importante « base de l’Est » (la région de Souk-Ahras) le commandant Aouechria, qui rejoint le complot mis en place contre le G.P.R.A.

En avril 1958, le G.P.R.A. décide la création de deux états-majors. L’un celui de l’Est, siégera à Ghardimaou (Tunisie) et sera placé sous la responsabilité de Mohammedi Saïd ; celui de l’Ouest s’installera à Oujda (Maroc) et sera confié au colonel Houari Boumediène. Placer sous un même commandement les unités stationnées sur les frontières marocaines et tunisiennes, tel est l’objectif du ministre des Armées. Il n’ignore plus l’effervescence qui règne, notamment à l’est, et il espère y mettre un terme. Le 1er novembre 1958, date anniversaire du déclenchement de la rébellion, Krim ordonne une attaque massive sur la ligne fortifiée. C’est l’échec. Les critiques redoublent.

A la mi-novembre, la gendarmerie tunisienne encercle une maison à un étage, P.C. de la zone de Souk-Ahras, dans un quartier périphérique du Kef en Tunisie. Amouri et ses amis sont réunis. Ils mettent au point les modalités de la prise du pouvoir. Mais ce sont eux qui sont arrêtés…

Trois mois d’interrogatoires, trois mois d’instruction et le dossier est transmis à un tribunal dont la composition est décidée par le G.P.R.A., réuni exceptionnellement. Le président en sera Houari Boumediène, futur chef de l’Etat algérien…

Les juges rendront leur verdict : 4 condamnations à mort : les colonels Mohamed Amouri, et Ahmed Nouaoura et les commandants Aouechria et Mostefa Lakhal. Ils seront fusillés le 16 mars 1959 près de Tunis. De nombreux autres officiers resteront en prison jusqu’en 1960. 

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Un chef étoilé

Posté par khalfi1 le 21 septembre 2017

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Pourquoi j’écris

Posté par khalfi1 le 21 septembre 2017

CHRONIQUE

Le 16 sep 2017‎

Pourquoi j’écris (4)

Tonton Marcel et Tata Lise ont du prendre du relief pour éveiller l’intérêt de la maîtresse d’école. Jean-Bernard Hamaïde nous prouve que l’écriture est aussi un spectacle.
Avec l'écriture, Tonton Marcel et Tata Lise ont plus de pepsAvec l’écriture, Tonton Marcel et Tata Lise ont plus de peps

Mon premier succès littéraire

Vous souvenez-vous de ces premiers jours de classe où la maîtresse d’école, débordante d’imagination, vous invitait à conter par le menu vos vacances? Pour ceux dont l’exil estival se limitait à passer 3 semaines, entre tata Lise et tonton Marcel, dans un pavillon de banlieue triste comme la pluie, le défi était de taille. L’écossage des petits pois sur la toile cirée orange et jaune de la cuisine ne risquant pas de déchaîner les passions, j’agrémentais mon récit de quelques trouvailles de mon cru. Tonton Marcel devenait un gangster flamboyant, possesseur d’un calibre gros comme un bazooka. Quant à tata Lise, elle déambulait dans des tenues extravagantes, munie d’un fume cigarettes nacré de 15 cms de long. L’enseignante, affolée, convoqua mes parents… ce fut mon premier succès littéraire! 

Mon premier roman

Les années passèrent loin de l’écriture et de ses délices. Ce fut la rencontre entre ma voiture et un platane qui me ramena à mes premières amours. Immobilisé pour quelques mois, je repris ma plume, ressuscitais tonton Marcel et tata Lise qui mangeaient depuis des lustres les pissenlits par la racine, « Le fils du père Noël » allait naître. 

Finalement, je cède à mes personnages

Tout ne fut pas simple. Mes personnages eurent des exigences, n’hésitant pas à me réveiller la nuit pour les exprimer.  Irène voulait ressembler à Marilyn Monroe,Touche-à-tout ne se trouvait pas assez fringant et le prof se revendiquait en Che Guevara charismatique. À bout d’arguments, je dus mettre tout le monde d’accord d’un point final rageur.       
Quand vous saurez qu’il m’arrive de me rêver en tonton flingueur, en contrebassiste de Brassens ou en ami intime de Cavanna, vous aurez une idée de ce qui agite mes neurones. 

Jean-Bernard Hamaïde
 

 

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SOLYDA

Posté par khalfi1 le 20 septembre 2017

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Le seigneur de Charny

Posté par khalfi1 le 20 septembre 2017

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Le pouvoir du moment présent

Posté par khalfi1 le 19 septembre 2017

 

 

Aussi simples que profonds, les enseignements d’Eckhart Tolle ont aidé d’innombrables individus dans le monde à trouver la paix intérieure et à mener une vie plus satisfaisante. Au cur de ces enseignements se trouve la transformation de la conscience, un éveil spirituel qu’il considère comme la prochaine étape de l’évolution humaine. Un aspect essentiel de cet éveil consiste à transcender notre état de conscience fondé sur l’ego, une condition préalable non seulement au bonheur personnel, mais aussi à la fin des conflits violents et endémiques qui sévissent sur notre planète. Vous avez entre les mains une édition unique des enseignements principaux d’Eckhart Tolle, un auteur dont les ouvrages se sont vendus dans le monde à des millions d’exemplaires. Nous avons regroupé ici ses trois premiers tomes essentiels en une trilogie pratique par son format, où des méditations et des exercices vous sont proposés. Cette trilogie comprend : «  »Le Pouvoir du Moment Présent »", le Guide pratique et «  »L’Art du calme intérieur »".

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Logiciels divers

Posté par khalfi1 le 19 septembre 2017

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Le bonheur n’a pas de rides

Posté par khalfi1 le 19 septembre 2017

Paulette a 85 ans, un caractère bien trempé, et pas toute sa tête. Enfin, à ce qu’elle prétend. Lorsqu’elle se retrouve bien malgré elle la nouvelle pensionnaire de l’Auberge de Monsieur Yvon, elle n’a qu’une obsession : en partir ! Mais c’est sans compter sur l’étrange fascination que les autres habitants et leurs secrets vont bientôt exercer sur elle. Que contiennent ces lettres mystérieuses trouvées dans la chambre de Monsieur Georges ? Qui est l’auteur de cet étrange carnet découvert dans la bibliothèque ? Une chose est certaine : Paulette est loin d’imaginer que ces rencontres vont changer sa vie et peut-être, enfin, lui donner un sens.

Des morceaux de vie qui enchantent, des chagrins, des joies, des confidences. L’auteur nous donne à voir la fragilité des êtres humains tout autant que leur soif de bonheur avec une plume qui combine humour et délicatesse. Un roman tendre et lumineux qui nous parle d’amour et d’amitié à l’heure où on ne s’y attend plus. Un roman qui fait aimer la vie.

 

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Belle chronique de Chawki Amari- El Watan

Posté par khalfi1 le 17 septembre 2017

Bel exemple de contorsion temporelle, l’annonce était rétroactive, parlant du futur mais au passé, expliquant le présent mais une fois passée la décision d’éviter une conséquence fâcheuse pour l’avenir : «Nous n’avions pas de quoi payer les salaires de novembre», a avoué le Premier ministre pour justifier le recours à l’impression de billets. Le spécialiste de l’espace-temps Einstein aurait apprécié cet étirement du tissu de l’univers sans le déchirer, mais de quels salaires parlait Ouyahia ? Du sien et de ces innombrables rentiers qui coûtent très cher à l’Etat et n’ont été d’aucune utilité pour éviter la crise actuelle ? Ou de cette énorme masse salariale de la Fonction publique qui a dépassé les 40 milliards de dollars par an ? Bien sûr, on y trouve les enseignants, médecins, policiers, pompiers ou agents des postes, autant de fonctions utiles et incompressibles, mais aussi près de 20 milliards de dollars de salaires à des fonctionnaires fictifs qui ne servent pas à grand-chose et pompent 30% du budget de l’Etat.

 

Leur rôle ? Donner des autorisations à celui-ci ou celui-là, fermer les yeux ou les ouvrir quand il le faut, travailler une heure par semaine en servant souvent de courroie de transmission à la corruption d’Etat, ou simplement des enfants de ministres ou de généraux à qui on donne un poste réservé aux familles, payé par le contribuable. Dans cette économie improductive, quel est le poste le plus improductif ? En dehors du sous-directeur chargé de la sous-direction des formulaires au ministère des sous et des formulaires, c’est probablement le Premier ministre lui-même. Il n’a jamais creusé pour trouver du pétrole mais annonce que les cours ont chuté, ce que tout le monde sait. Pour expliquer que la vie va être dure et que l’argent va être pris de la poche du citoyen, directement par des taxes ou indirectement par l’inflation. Ce qu’un épicier de quartier ou un élève en première année de comptabilité pourrait faire. Avec un salaire 20 fois inférieur.

Chawki Amari

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Le sang de l’innocence

Posté par khalfi1 le 17 septembre 2017

Xavier et Muriel forment un couple heureux.
Ils naviguent sur les eaux tranquilles de la vie jusqu'au jour où leur destin chavire...
Un secret...
Des soupçons...
Une passion amoureuse qui tourne au drame !
Pour Xavier, c'est le début de la descente aux enfers, un dérapage tragique vers l'irréparable

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Marcher au soleil

Posté par khalfi1 le 16 septembre 2017

 

Il est patron d’une start-up qui marche très bien, sa trajectoire de vie le destine à un avenir brillant, et il est heureux en ménage. Un roman à l’eau de rose, croyez-vous ? Non car le destin s’en mêle… Cet avenir qu’il croyait sans nuage est, en fait, très noir. Il va dégringoler de son piédestal jusqu’au tréfonds de l’abîme avant de découvrir ce qu’il est vraiment. Et, du fond du trou,va-t-il se reconstruire ? Va-t-il retrouver la place qui est la sienne? Vous le découvrirez en lisant ce roman au style efficace et percutant et au scenario inattendu.

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Ikko : un chien sans toi. Guy Chatagnat

Posté par khalfi1 le 14 septembre 2017

Stéphane et Marjorie sont célibataires et déjà presque résignés à ne pas trouver l'âme sœur. Ikko, un chien affectueux adopté par Stéphane, pourrait peut-être leur permettre de se donner une chance, mais tout n'est pas si simple lorsque l'on vit seuls depuis quelques années !

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Web Tv Culture

Posté par khalfi1 le 13 septembre 2017

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L’arrivée problématique de ce temps chimérique

Posté par khalfi1 le 13 septembre 2017

La course organisée en France en 1400, a été à ses débuts instituée dans le but de protéger la flotte de guerre et, après la découverte de de l’América, les corsaires européens s’attaquaient aux navires chargés d’or, provenant de ce nouveau monde. L’appât de l’or a dévié le but recherché.

– Je ne suis pas historien. Je ne puis te contredire.

– C’est la pure vérité. Et les corsaires étaient dès cette date obligés de se munir, avant de s’adonner à la course, de ce qu’on appelle « la lettre de marque ». Est-tu satisfait, Mustapha ? Crois-tu que nous soyons les seuls à mettre le monde marin en coupe réglée ? Tu es utopiste, mon ami, et ta place sur la terre serait plus normale dans dix siècles. Tu es trop avancé avec tes sentiments et ton sentimentalisme. Mais comme il y a parfois des sujets qui s’échappent de leur orbite pour aller vers des horizons mirifiques où ils se perdent désaxés, tu es de ceux-là. Lorsque les hommes, dans des centaines d’années, se considéreront comme des frères et seront persuadés d’appartenir qu’à une seule et vaste famille, ils pourront, la vie matérielle plus aisée aidant, abandonner leurs noirs desseins ou leurs catastrophiques projets.

En attendant l’arrivée problématique de ce temps chimérique, ayant conscience que nous sommes au temps de la piraterie, au temps où l’homme a besoin de garnir son ventre, en cherchant, là où ils se trouvent, les produits qui lui manquent chez lui.

 

(El Eudj, captif des barbaresques, Arras, Chukri KHODJA 1929)

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Chroniques

Posté par khalfi1 le 12 septembre 2017

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BONEY M

Posté par khalfi1 le 12 septembre 2017

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Frédéric Soulier Urbex

Posté par khalfi1 le 10 septembre 2017

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La rentrée littéraire chez Gallimard par Babelio

Posté par khalfi1 le 10 septembre 2017

LA RENTRÉE LITTÉRAIRE CHEZ GALLIMARD-PAR BABELIO
Découvrez la rentrée littéraire Gallimard 2017
 
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Découvrez dès maintenant les coups de cœur des lecteurs Babelio parmi les titres de la rentrée littéraire des Éditions Gallimard.

En littérature française, lisez les comptes rendus de lecture des nouveaux romans de Michèle AudinVincent DelecroixFrançois-Henri DésérableMarc DugainFrederika Amalia FinkelsteinYannick HaenelFabrice HumbertAgnès Mathieu-DaudéDominique PagnierÉric Reinhardt et Frédéric Verger et laissez-vous séduire par les premiers romans de Paul-Henry BizonOlivier ChantraineGaël Octavia et Céline Zufferey. Et en littérature étrangère, retrouvez les romans de Nathan HillAnna HopeEsther Kinsky et Orhan Pamuk. Belles lectures !

 
 
Ils vont tuer Robert Kennedy
de Marc Dugain

 
« Marc Dugain nous offre une magistrale page d’histoire contemporaine, éclairant le terreau de l’Amérique actuelle, ses enlisements, ses contradictions et ses complexités dans un style concis et des remarques critiques qui font mouche. » Mimeko« Ce qui m’a frappée dès la 1ère page, c’est bien la plume de Marc Dugain. Il est des livres comme ça qui nous plongent immédiatement dans le récit et qui nous font dire dès les premiers mots : « Ah, attention, œuvre magistrale en vue ». » dedanso
 
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La chambre des époux
d’Éric Reinhardt

 
« La mise en abyme se démultiplie, exactement comme si l’écrivain se tenait entre deux miroirs renvoyant son image à l’infini. C’est vertigineux. » Delphine-Olympe
« Un bel exercice de style entre autodérision et intimisme mais aussi une belle conception de la création artistique comme objet de guérison. » fuji
 
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Cette chose étrange en moi
d’Orhan Pamuk

 
« Une très belle saga familiale dans une Istanbul en pleine évolution urbaine, culturelle, politique. » LightandSmell
« La richesse de ce livre tient dans les détails. On imagine les odeurs, les saveurs, les cris des marchands de rue. Pamuk fait vivre tout un monde au quotidien. » miriam
 
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Les fantômes du vieux pays
de Nathan Hill

 
« Fabuleux ! Voilà un riche et puissant roman américain comme je les aime, qui immerge profondément dans une fiction crédible, prend le temps de développer son propos et ses personnages tout en questionnant finement l’Amérique dans son époque et dans son histoire récente. » Allantvers« Ce livre est un vrai plaisir de lecture, et une vraie réussite. Quel excellent premier roman ! » nenette87
 
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Un certain M. Piekielny
de François-Henri DésérableDans les premières listes des Prix Goncourt et Renaudot

 
« Ce qui est génial dans ce livre, c’est la capacité de l’auteur à prolonger l’existence et les mensonges de Romain Gary – et à jongler avec – pour en faire une œuvre intelligente, touchante et extrêmement drôle. » evh138
« François-Henri Désérable est un formidable conteur, il sait tenir le lecteur en haleine, en l’entraînant dans sa quête. » Eve-Yeshe
 
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La salle de bal
d’Anna Hope

 
« Grâce à une plongée stupéfiante dans un asile muni d’une salle de bal majestueuse, Anna Hope nous fait rencontrer des personnages fascinants. Les destins se lient ou se délient, mais au cœur des préoccupations : l’humanité, la liberté. Un procès lumineux envers le courant eugéniste. » BettieRose
« Difficile de résister au tourbillon qui anime ce roman prenant, solidement documenté, et tout simplement orchestré avec brio par Anna Hope. » Piatka
 
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Comment vivre en héros ?
de Fabrice Humbert

 
« On vibre avec ces héros rattrapés par leur quotidien et en refermant le livre, on souffle profondément. J’étais en apnée pendant la lecture. Un texte fort à lire en cette rentrée littéraire. » ckdkrk169
« Un livre riche, sur l’amour, l’ambition et la responsabilité. » sorcierebienaimee
 
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Tiens ferme ta couronne
de Yannick HaenelDans la première liste du Prix Goncourt

 
« Tiens ferme ta couronne est avant tout une philosophie, une quête vers une vie différente, une recherche de l’humain, de ses névroses et de ses envies. Le ton général du roman nous entraîne, nous intrigue, nous pousse également à la réflexion. » Olivia-A
 
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Un élément perturbateur
d’Olivier Chantraine

 
« Ça fait du bien, ça déménage, ça vous booste l’inconscient et vous oblige à regarder de plus près votre environnement familial, médical, politique, et du travail.
Un auteur observateur et sarcastique qui trempe sa plume dans l’ironie pour dénoncer les travers de notre monde politico-économique. » paroles
 
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Les rêveuses
de Frédéric VergerDans la première liste du Prix Goncourt

 
« Frédéric Verger réussit la prouesse de nous entraîner dans une grande fresque héroïque où il mêle l’histoire – la petite comme la grande –, l’amour, la passion mais aussi une certaine forme de cruauté, tout en le faisant avec une incroyable maîtrise de son écriture. » JIMEDE
« J’ai apprécié la maîtrise du style, l’écriture faconde et ondoyante de Verger, son vocabulaire généreux, ses comparaisons et métaphores foisonnantes, savoureuses, originales et, bien sûr ce récit singulier et tragique. » oran
 
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Survivre
de Frederika Amalia Finkelstein

 
« Depuis L’Oubli j’ai été happé par le style de cette jeune écrivain. Un roman à la portée essentielle, qui laisse une trace durable ! » arturiobandini
« Un livre dont on ne sort pas indemne. Quelle claque ! » nathavh
 
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Comme une rivière bleue
de Michèle Audin

 
« Karl Marx, Jules Vallès, Léon Blum, Adolphe Thiers, Edouard Vaillant, Gustave Courbet, tous ces grands hommes revivent sous la plume de Michèle Audin ainsi que la foule des anonymes. » montmartin
« Leur redonnant vie, Michèle Audin rend ainsi le plus beau des hommages à ces héros balayés par le vent de l’Histoire. Une grande réussite. » som
 
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Ascension
de Vincent Delecroix

 
« On croit que c’est fini mais non, ça continue et toujours avec une nouvelle surprise. Toujours avec beaucoup d’humour et d’originalité. Et puis le coup de grâce final. Coup de grâce magistral. Un éclat de rire.
On rit, on pleure, on est surpris, ébahi, attendri et on finit par vouloir s’accrocher à cette terre. » RJuillet
 
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La louve
de Paul-Henry Bizon

 
« Paul-Henry Bizon déroule une série de coups tordus, d’esbroufes, de malversations et de pièges et de mensonges… Il flingue à tout va, épingle hommes politiques, célébrités, banques, agriculteurs en mal de diversification, bobos, guides gastronomiques, nouvelle cuisine et restaurateurs de talents… » JeanPierreV
 
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La rivière
d’Esther Kinsky

 
« Dans le monde d’Esther Kinsky rien n’est laissé à l’abandon et elle sait faire naître et vibrer toute l’étrangeté et la beauté, inquiétante parfois, de territoires en friche, de zones industrielles rongées par la rouille, d’un quotidien même le plus banal et sordide en apparence. » nadejda
« Une rêverie, un songe éveillé, teinté de poésie, de lyrisme. » zellereb
 
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Sauver les meubles
de Céline Zufferey

 
« Sauver les meubles… un premier roman ? Quelle maîtrise ! Terrible roman contemporain, si sombre derrière ses allures légères… et en même temps si drôle. » lucia-lilas« Un roman grinçant, une observation fine des solitudes contemporaines dans une société de consommation qui vend du rêve sur catalogue. » motspourmots
 
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Le Cénotaphe de Newton
de Dominique Pagnier

 
« Un étonnant moment de lecture, une quête, « une métaphore vertigineuse ». » ATOS
« De nombreux livres ont tenté d’embrasser l’histoire du XXe siècle. Peu sont arrivés à un résultat aussi passionnant, vertigineux, troublant. Une splendide écriture, une immense érudition, une maîtrise de la structure romanesque remarquable. » 5Arabella
 
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L’ombre sur la lune
d’Agnès Mathieu-Daudé

 
« Agnès Mathieu-Daudé nous offre avec charme et douceur un conte de brutes, de manipulations, de meurtres et de fougue où l’amour n’a pas sa place… À moins qu’il ne tienne le premier rôle… » lesmiscellaneesdepapier
« J’ai dégusté l’insolite des personnages, leurs vies éreintées, leur description décalée et minutieuse, la poésie de la narration elle-même portée par une écriture fine, élégante et humoristique. » tynn
 
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La fin de Mame Baby
de Gaël Octavia

 
« Fable sur l’amour et la violence si intimement imbriqués derrière les murs gris du Quartier. L’ombre des mères flotte aussi : celle qui protège, celle qui rejette, celle que l’on devient. » thedoc
« Original et bien écrit, on ne lâche pas ce livre et on tourne les pages pour enfin comprendre… »clairejeanne
 
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Posté par khalfi1 le 9 septembre 2017

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Posté par khalfi1 le 9 septembre 2017

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Posté par khalfi1 le 9 septembre 2017


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Posté par khalfi1 le 8 septembre 2017

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Posté par khalfi1 le 8 septembre 2017

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Posté par khalfi1 le 8 septembre 2017

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Posté par khalfi1 le 8 septembre 2017

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Posté par khalfi1 le 8 septembre 2017

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Posté par khalfi1 le 8 septembre 2017

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