Prix littéraire
Posté par khalfi1 le 30 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 30 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 29 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 29 septembre 2017
« — Allô, pouvez-vous envoyer une ambulance ? C’est pour mon mari. Il… il est inconscient. »
Alice et Maxime avaient un rêve : s’installer aux Etats-Unis pour ouvrir une boulangerie en plein cœur de Manhattan. La vie les a exaucés, même au-delà de leurs espoirs.
Jusqu’au jour où le cauchemar commence. Maxime est retrouvé inanimé, souffrant d’un traumatisme crânien. Que lui est-il arrivé ? Pourquoi Alice est-elle suspectée, alors qu’elle l’aime depuis leur premier regard ? Que cherche-t-elle à cacher, au péril de sa propre vie ?
Une histoire qui sonde les secrets qui sommeillent au fond de nous, ceux que l’on ne se pardonne pas, ceux qui reviennent nous hanter alors qu’on les croyait enfouis dans les cendres du passé.
Dans ce cinquième roman, Marilyse Trécourt conjugue suspense et émotions, amour et mensonges, sacrifices et culpabilité, tout en vous posant une question : et vous, avez-vous choisi de vivre ?
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Posté par khalfi1 le 29 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 27 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 27 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 26 septembre 2017
Le 20 sep 2017
Un ancien prof de français, que l’on nommait Réris dans mon collège, en fait l’abbé Maurice, m’avait dit un jour en me rendant une rédaction, qui était sur le thème d’une veillée en famille, que j’avais pompé Victor Hugo ! Si, si ! Je l’avais regardé d’un air aussi éclairé que mes boutons d’acné en pensant que le pauvre homme avait sûrement abusé de la boutanche, comme d’habitude. Moi qui ne lisait à l’époque que mon magazine Pilote avec comme auteurs préférés Goscinny, Morris et Marcel Gotlib, je ne comprenais pas ce qui venait de m’être reproché. J’étais vexé avec un net un sentiment d’injustice ; pour une fois que je faisais un effort en rédaction.
Je fus, bien sûr, le sujet de risée de tous mes copains de classe et surtout de Gérard le surdoué de la classe.
C’était en troisième et j’avais quatorze ans, ça ne date pas d’hier. Mais c’est sans doute là que j’ai compris que l’écriture avait peut-être un intérêt, et, il est vrai, je m’en souviens encore, que j’avais pris du plaisir à écrire cette rédac. Du coup, j’ai lu, ce bon vieux Hugo, à qui on me comparait si abusivement et j’ai bien sûr tout de suite eut la certitude que Réris était bourré ce jour là et que cet écrivain était magnifique.
Depuis, je erre comme une pauvre âme en peine dans les affres de l’écriture et me démène comme un beau diable à essayer d’intéresser le peu de lecteurs qui ont eu l’immense joie d’honorer ma plume. Si je ne me fais pas de compliments, qui m’en fera ?
Bref, lorsque je me place devant mon clavier et que j’ouvre ce charmant Word sur une page blanche, il faut absolument que je la remplisse tellement je la trouve tristounette. Certains vont se parler comme face à un miroir, d’autres vont critiquer la société, moi je me raconte des histoires. Mais, je pousse le souci du détail jusqu’à ce que j’arrive à y croire et à me tremper dans mes aventures virtuelles pour ne plus penser qu’à elles ; sous la douche, en me rasant (quand je veux), assis sur siège des toilettes et même en rêvant.
— C’est grave docteur ?
— Non simplement, un peu de surmenage, je vous prescris dix chapitres à écrire.
Voilà, c’est reparti ! Vous voyez, je ne peux pas m’en empêcher.
Je fais une petite parenthèse ici : on parle bien d’écrire, n’est-ce pas, pas de faire de la littérature comme cette bonne vieille Marguerite Youcenar ou ce bon Jean d’Ormesson, Carla comme disait Sarko, pardon, car là, je ne suis plus votre homme. Mais ça vous l’aviez deviné.
Un pied de nez ? Non, une réalité, une conscience de soi, pas la peine de me faire psychanalyser pour savoir que je ne serais jamais publié dans La Pléïade.
Alors écrire est une autre nature de soi ? Ouaip, m’sieur. Lorsqu’on la rencontre, cette putain de manie d’écrire, c’est pour la vie et le divorce devient impossible, ou alors c’est qu’on approche du dernier chapitre de sa vie et qu’on vient d’y apposer le mot « FIN ».
Ivan Zimmermann
11/09/2017
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Posté par khalfi1 le 26 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 25 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 23 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 22 septembre 2017
Ceux qui combattent à l’intérieur et ceux qui représentent l’Algérie en dehors, les « militaires » et les « politiques », les uns et les autres, souvent venus des anciennes formations politiques et en gardant la marque, les dirigeants qui étaient dans la lutte avant l’insurrection et ceux qui n’y sont entrés qu’après, ceux qui sont issus des milieux paysans et ceux qui appartiennent à la petite bourgeoisie n’ont pas nécessairement la même approche ni les mêmes analyses des situations. Les sacrifices demandés et consentis, la cruauté des combats, l’ampleur des difficultés à affronter et aussi les inimitiés personnelles et les susceptibilités régionalistes (« arabes » et « kabyles » entre autres) exacerbent parfois des oppositions d’ordre politique plus ou moins couvertes par la nécessité de maintenir l’unité de combat. Des alliances se nouent et se dénouent, des « complots » auxquels ne sont pas toujours étrangers les services spéciaux de l’Etat-hôte (notamment égyptiens dirigés par Fath el-Dib) se trament et mûrissent. C’est ainsi que naît le plus connu d’entre eux, le « complot des colonels » au centre duquel se trouvent les colonels Mohammed Amouri, Ahmed Nouaoura et Laskri Amara, anciens commandants de wilaya.
Le colonel Amouri est un homme du 1er novembre 1954. Originaire des Aurès, ancien chef de la wilaya I, il manifeste son désaccord avec l’orientation politique définie par le Congrès de la Soummam. Partisan d’une extension de la lutte (il souhaite l’élargissement du conflit à l’ensemble du Maghreb), il s’insurge contre la présence au sein du F.L.N. de « certains éléments » qu’il qualifie « d’arrivistes », visant plus particulièrement les « civils-politiques ».
Son opposition au C.C.E. puis au G.P.R.A. provoquera son exil en Egypte. Un autre opposant, Mostefa Lakhal, affiche les mêmes sentiments. Engagé très tôt dans la lutte en wilaya 4, il sera lui aussi envoyé en Egypte où il effectuera un stage dans une académie militaire.
En wilaya I, les mécontents sont nombreux. La proximité du redoutable obstacle qu’est devenue la ligne Morice alimente d’âpres polémiques. Amouri s’entend avec le colonel Nouaoura, qui lui succède un temps à la tête de son ancienne responsabilité. Puis c’est le chef de l’importante « base de l’Est » (la région de Souk-Ahras) le commandant Aouechria, qui rejoint le complot mis en place contre le G.P.R.A.
En avril 1958, le G.P.R.A. décide la création de deux états-majors. L’un celui de l’Est, siégera à Ghardimaou (Tunisie) et sera placé sous la responsabilité de Mohammedi Saïd ; celui de l’Ouest s’installera à Oujda (Maroc) et sera confié au colonel Houari Boumediène. Placer sous un même commandement les unités stationnées sur les frontières marocaines et tunisiennes, tel est l’objectif du ministre des Armées. Il n’ignore plus l’effervescence qui règne, notamment à l’est, et il espère y mettre un terme. Le 1er novembre 1958, date anniversaire du déclenchement de la rébellion, Krim ordonne une attaque massive sur la ligne fortifiée. C’est l’échec. Les critiques redoublent.
A la mi-novembre, la gendarmerie tunisienne encercle une maison à un étage, P.C. de la zone de Souk-Ahras, dans un quartier périphérique du Kef en Tunisie. Amouri et ses amis sont réunis. Ils mettent au point les modalités de la prise du pouvoir. Mais ce sont eux qui sont arrêtés…
Trois mois d’interrogatoires, trois mois d’instruction et le dossier est transmis à un tribunal dont la composition est décidée par le G.P.R.A., réuni exceptionnellement. Le président en sera Houari Boumediène, futur chef de l’Etat algérien…
Les juges rendront leur verdict : 4 condamnations à mort : les colonels Mohamed Amouri, et Ahmed Nouaoura et les commandants Aouechria et Mostefa Lakhal. Ils seront fusillés le 16 mars 1959 près de Tunis. De nombreux autres officiers resteront en prison jusqu’en 1960.
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Posté par khalfi1 le 21 septembre 2017
Le 16 sep 2017
Vous souvenez-vous de ces premiers jours de classe où la maîtresse d’école, débordante d’imagination, vous invitait à conter par le menu vos vacances? Pour ceux dont l’exil estival se limitait à passer 3 semaines, entre tata Lise et tonton Marcel, dans un pavillon de banlieue triste comme la pluie, le défi était de taille. L’écossage des petits pois sur la toile cirée orange et jaune de la cuisine ne risquant pas de déchaîner les passions, j’agrémentais mon récit de quelques trouvailles de mon cru. Tonton Marcel devenait un gangster flamboyant, possesseur d’un calibre gros comme un bazooka. Quant à tata Lise, elle déambulait dans des tenues extravagantes, munie d’un fume cigarettes nacré de 15 cms de long. L’enseignante, affolée, convoqua mes parents… ce fut mon premier succès littéraire!
Les années passèrent loin de l’écriture et de ses délices. Ce fut la rencontre entre ma voiture et un platane qui me ramena à mes premières amours. Immobilisé pour quelques mois, je repris ma plume, ressuscitais tonton Marcel et tata Lise qui mangeaient depuis des lustres les pissenlits par la racine, « Le fils du père Noël » allait naître.
Tout ne fut pas simple. Mes personnages eurent des exigences, n’hésitant pas à me réveiller la nuit pour les exprimer. Irène voulait ressembler à Marilyn Monroe,Touche-à-tout ne se trouvait pas assez fringant et le prof se revendiquait en Che Guevara charismatique. À bout d’arguments, je dus mettre tout le monde d’accord d’un point final rageur.
Quand vous saurez qu’il m’arrive de me rêver en tonton flingueur, en contrebassiste de Brassens ou en ami intime de Cavanna, vous aurez une idée de ce qui agite mes neurones.
Jean-Bernard Hamaïde
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Posté par khalfi1 le 20 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 19 septembre 2017
Aussi simples que profonds, les enseignements d’Eckhart Tolle ont aidé d’innombrables individus dans le monde à trouver la paix intérieure et à mener une vie plus satisfaisante. Au cur de ces enseignements se trouve la transformation de la conscience, un éveil spirituel qu’il considère comme la prochaine étape de l’évolution humaine. Un aspect essentiel de cet éveil consiste à transcender notre état de conscience fondé sur l’ego, une condition préalable non seulement au bonheur personnel, mais aussi à la fin des conflits violents et endémiques qui sévissent sur notre planète. Vous avez entre les mains une édition unique des enseignements principaux d’Eckhart Tolle, un auteur dont les ouvrages se sont vendus dans le monde à des millions d’exemplaires. Nous avons regroupé ici ses trois premiers tomes essentiels en une trilogie pratique par son format, où des méditations et des exercices vous sont proposés. Cette trilogie comprend : « »Le Pouvoir du Moment Présent »", le Guide pratique et « »L’Art du calme intérieur »".
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Posté par khalfi1 le 19 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 19 septembre 2017
Paulette a 85 ans, un caractère bien trempé, et pas toute sa tête. Enfin, à ce qu’elle prétend. Lorsqu’elle se retrouve bien malgré elle la nouvelle pensionnaire de l’Auberge de Monsieur Yvon, elle n’a qu’une obsession : en partir ! Mais c’est sans compter sur l’étrange fascination que les autres habitants et leurs secrets vont bientôt exercer sur elle. Que contiennent ces lettres mystérieuses trouvées dans la chambre de Monsieur Georges ? Qui est l’auteur de cet étrange carnet découvert dans la bibliothèque ? Une chose est certaine : Paulette est loin d’imaginer que ces rencontres vont changer sa vie et peut-être, enfin, lui donner un sens.
Des morceaux de vie qui enchantent, des chagrins, des joies, des confidences. L’auteur nous donne à voir la fragilité des êtres humains tout autant que leur soif de bonheur avec une plume qui combine humour et délicatesse. Un roman tendre et lumineux qui nous parle d’amour et d’amitié à l’heure où on ne s’y attend plus. Un roman qui fait aimer la vie.
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Posté par khalfi1 le 17 septembre 2017
Bel exemple de contorsion temporelle, l’annonce était rétroactive, parlant du futur mais au passé, expliquant le présent mais une fois passée la décision d’éviter une conséquence fâcheuse pour l’avenir : «Nous n’avions pas de quoi payer les salaires de novembre», a avoué le Premier ministre pour justifier le recours à l’impression de billets. Le spécialiste de l’espace-temps Einstein aurait apprécié cet étirement du tissu de l’univers sans le déchirer, mais de quels salaires parlait Ouyahia ? Du sien et de ces innombrables rentiers qui coûtent très cher à l’Etat et n’ont été d’aucune utilité pour éviter la crise actuelle ? Ou de cette énorme masse salariale de la Fonction publique qui a dépassé les 40 milliards de dollars par an ? Bien sûr, on y trouve les enseignants, médecins, policiers, pompiers ou agents des postes, autant de fonctions utiles et incompressibles, mais aussi près de 20 milliards de dollars de salaires à des fonctionnaires fictifs qui ne servent pas à grand-chose et pompent 30% du budget de l’Etat.
Leur rôle ? Donner des autorisations à celui-ci ou celui-là, fermer les yeux ou les ouvrir quand il le faut, travailler une heure par semaine en servant souvent de courroie de transmission à la corruption d’Etat, ou simplement des enfants de ministres ou de généraux à qui on donne un poste réservé aux familles, payé par le contribuable. Dans cette économie improductive, quel est le poste le plus improductif ? En dehors du sous-directeur chargé de la sous-direction des formulaires au ministère des sous et des formulaires, c’est probablement le Premier ministre lui-même. Il n’a jamais creusé pour trouver du pétrole mais annonce que les cours ont chuté, ce que tout le monde sait. Pour expliquer que la vie va être dure et que l’argent va être pris de la poche du citoyen, directement par des taxes ou indirectement par l’inflation. Ce qu’un épicier de quartier ou un élève en première année de comptabilité pourrait faire. Avec un salaire 20 fois inférieur.
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Posté par khalfi1 le 17 septembre 2017
Xavier et Muriel forment un couple heureux.
Ils naviguent sur les eaux tranquilles de la vie jusqu'au jour où leur destin chavire...
Un secret...
Des soupçons...
Une passion amoureuse qui tourne au drame !
Pour Xavier, c'est le début de la descente aux enfers, un dérapage tragique vers l'irréparable
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Posté par khalfi1 le 16 septembre 2017
Il est patron d’une start-up qui marche très bien, sa trajectoire de vie le destine à un avenir brillant, et il est heureux en ménage. Un roman à l’eau de rose, croyez-vous ? Non car le destin s’en mêle… Cet avenir qu’il croyait sans nuage est, en fait, très noir. Il va dégringoler de son piédestal jusqu’au tréfonds de l’abîme avant de découvrir ce qu’il est vraiment. Et, du fond du trou,va-t-il se reconstruire ? Va-t-il retrouver la place qui est la sienne? Vous le découvrirez en lisant ce roman au style efficace et percutant et au scenario inattendu.
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Posté par khalfi1 le 14 septembre 2017
Stéphane et Marjorie sont célibataires et déjà presque résignés à ne pas trouver l'âme sœur. Ikko, un chien affectueux adopté par Stéphane, pourrait peut-être leur permettre de se donner une chance, mais tout n'est pas si simple lorsque l'on vit seuls depuis quelques années !
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Posté par khalfi1 le 13 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 13 septembre 2017
La course organisée en France en 1400, a été à ses débuts instituée dans le but de protéger la flotte de guerre et, après la découverte de de l’América, les corsaires européens s’attaquaient aux navires chargés d’or, provenant de ce nouveau monde. L’appât de l’or a dévié le but recherché.
– Je ne suis pas historien. Je ne puis te contredire.
– C’est la pure vérité. Et les corsaires étaient dès cette date obligés de se munir, avant de s’adonner à la course, de ce qu’on appelle « la lettre de marque ». Est-tu satisfait, Mustapha ? Crois-tu que nous soyons les seuls à mettre le monde marin en coupe réglée ? Tu es utopiste, mon ami, et ta place sur la terre serait plus normale dans dix siècles. Tu es trop avancé avec tes sentiments et ton sentimentalisme. Mais comme il y a parfois des sujets qui s’échappent de leur orbite pour aller vers des horizons mirifiques où ils se perdent désaxés, tu es de ceux-là. Lorsque les hommes, dans des centaines d’années, se considéreront comme des frères et seront persuadés d’appartenir qu’à une seule et vaste famille, ils pourront, la vie matérielle plus aisée aidant, abandonner leurs noirs desseins ou leurs catastrophiques projets.
En attendant l’arrivée problématique de ce temps chimérique, ayant conscience que nous sommes au temps de la piraterie, au temps où l’homme a besoin de garnir son ventre, en cherchant, là où ils se trouvent, les produits qui lui manquent chez lui.
(El Eudj, captif des barbaresques, Arras, Chukri KHODJA 1929)
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Posté par khalfi1 le 12 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 10 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 10 septembre 2017
LA RENTRÉE LITTÉRAIRE CHEZ GALLIMARD-PAR BABELIO
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Posté par khalfi1 le 9 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 9 septembre 2017
Gagner par inscription sur Amazon Prime, versés par Amazon
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Posté par khalfi1 le 8 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 8 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 8 septembre 2017
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Posté par khalfi1 le 8 septembre 2017
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