La poésie

Posté par khalfi1 le 30 mai 2008

La poésie ressemble à de la musique. Et la musique est fille de la poésie. Les deux sont surtout humaines et soulèvent en nous des émotions indicibles. Les poètes sont des individus comme nous, mais ils ont le don de manier les rimes et de versifier les mots de façon à nous faire oublier notre condition humaine. Leur imagination, ou si l’on préfère, leur insipiration leur permet des arrangements que le commun des mortels ne saurait confectionner. Mais la tonalité de la poésie et de la musique est si universelle qu’elle passe par dessus toutes les frontières. Qu’on soit français, tibétain, chinois, africain ou américain, on n’a pas besoin de traducteur pour comprendre une mélodie de Beethoven ou pour apprécier une chanson de Charles Aznavour.

Le beau habite la poésie. Et la poésie se nourrit du sublime. Mais avant tout, un poète demeure un homme avec ses qualités et ses défauts, sa grandeur et ses faiblesses. Sa force principale réside néanmoins dans son aptitude à exprimer par écrit, ce que les autres ressentent au plus profond d’eux-mêmes. Il fait éclore en nous, des sentiments endormis et que nous étions incapables nous-mêmes de dire ou d’écrire. En quelque sorte, il est l’interprète des images et des visions enfouies dans l’inconscient ou le subconscient. Son art traduit justement cette capacité de transformer des rêves, des sensations intérieures, en vers ou en prose qui nous enchante et nous emporte vers des hauteurs féériques.

 

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Jacques Brel

Posté par khalfi1 le 29 mai 2008

Jacques Brel a joué dans des films et a chanté de belles chansons. Témoin cette ode dédiée aux Vieux Amants.

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Constantine perchée sur le Rhumel

Posté par khalfi1 le 27 mai 2008

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La raison et le coeur

Posté par khalfi1 le 26 mai 2008

On dit souvent qu’il vaut mieux suivre sa raison plutôt que d’écouter son coeur. Les temps modernes avec leurs disciplines consacrées aux technologies de pointe et aux sciences appliquées tendent à nous démontrer la supériorité de la raison froide sur la chaleur des études humaines.

L’observation des phénomènes extérieurs et de leur interprétation par le raisonnement scientifique conduisent, aussi paradoxal que cela puisse paraître, à négliger notre propre devenir intérieur. Ne dit-on pas  » Connais-toi d’abord toi-même avant de formuler un jugement sur les autres. » Mais dans ces conditions, comment ne pas verser dans le domaine de l’exagération et du narcissisme?

Toutefois, cela n’empêche pas d’exprimer ses sentiments avec une certaine poésie, je dirais même un certain lyrisme. Car la poésie nous berce par la musique qui s’en dégage. Elle relate avec une puissance évocatrice très forte, ce qui remue le plus, notre imagination et notre coeur. Elle nous transporte hors de la réalité, des pesanteurs quotidiennes et nous fait vibrer comme les cordes d’une guitare ou les touches d’un piano.

Il semble donc qu’il est pratiquement impossible de supprimer la part de la raison qui existe dans le coeur et la part du coeur qui se dissimule dans la raison. Leur complémentarité ne peut que résulter de la complémentarité de tout être humain avec son semblable. Les deux concepts forment un tout indissociable dans le conscient et l’inconscient de l’individu. C’est à dire que la raison elle-même peut être poésie et les savants qui inventent chaque jour des théories ou des choses nouvelles sont en quelque sorte, eux-mêmes, des poètes.

Pour résumer, l’homme a besoin aussi bien de son coeur que de sa raison. Bien que parfois, le coeur a ses raisons que la raison ignore.

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Dalida

Posté par khalfi1 le 24 mai 2008

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Dalida et Enrico

Posté par khalfi1 le 24 mai 2008

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Le bonheur

Posté par khalfi1 le 22 mai 2008

Il y a le bonheur d’aimer et le bonheur d’être aimé. Il y a le bonheur de se sentir libre comme le vent, d’aller où on veut sans contrainte, de sentir la brise du large ou de la montagne vous caresser le visage. Pouvoir s’exprimer librement , écrire des romans, chanter et danser avec un coeur en fête rend incontestablement l’individu plus heureux. Le bonheur s’acquiert ou se conquiert. Quand on peut faire des études, acquérir des connaissances et accumuler du savoir sert à l’épanouissement de chacun. C’est justement cette satisfaction de l’être et cette volonté de la personne humaine d’élever son niveau moral et intellectuel, son souhait d’être toujours en bonne santé, son désir de vivre en symbiose avec la nature, sa capacité à aimer et à se faire aimer par ses proches et par ses amis, c’est tout cela qui élève son esprit. Les bases du bonheur ne sont pas les mêmes pour tout le monde. Chacun de nous, pourtant, aspire au bonheur, selon sa situation géographique, son niveau intellectuel, sa place dans la société, ses convictions religieuses et personnelles, ses capacités de communiquer avec les autres, le milieu culturel où il vit. C’est comme la beauté ou la laideur. Chacun les apprécie à sa manière, selon sa vision et sa sensibilité du moment. Car les canons sur la base desquels on les juge, ne sont pas des éléments invariables.

Jean Jacques Rousseau a donné une bonne définition du bonheur. Du point de vue littéraire, il est comblé car son écriture est appréciée presque partout. Néanmoins, sa condition sociale n’était pas des plus brillantes. C’est pourquoi, il a écrit :  » Je suis né avec un amour naturel pour la solitude qui n’a fait qu’augmenter à mesure que j’ai mieux connu les hommes. » Et d’ajouter, lorsqu’il habitait aux Charmettes :  » Je me levais avec le soleil et j’étais heureux; je me promenais et j’étais heureux; je voyais maman et j’étais heureux; je la quittais et j’étais heureux … »

En conclusion, on peut affirmer que le bonheur n’est jamais acquis définitivement. Il est constamment en évolution, en fuite, comme le temps, et demande un effort permanent pour éviter les écueils douloureux de la vie qui le ternissent. Il dépend de notre état psychologique et mental. Et des incidences extérieures. Les différentes formes du bonheur se conçoivent donc en fonction des conditions de l’heure, de la conjoncture qui prévaut tout autour de nous, des facteurs chance, et du tempérament de chaque être humain.

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Le séisme de Boumerdès

Posté par khalfi1 le 21 mai 2008

Source : Le soir d’Algérie:

Mercredi 21 mai 2003. Il était 19 heures 44 minutes lorsque des entrailles de la terre parvenaient des grondements terribles, le sol se mit à onduler, le rivage s’éloignait, la pénombre s’accélérait. Le temps était devenu subitement plus long. Rien n’était réel. La vie de chacun ne tenait qu’à un fil. Survenaient ensuite des instants de silence lourd.
Derrière les nuages de poussière parvenaient du néant des cris de douleur. Il était 19 h 45. Les villes et les villages du centre du pays entraient dans une nuit cauchemardesque. Il y a 5 ans, mercredi 21 mai 2003, à 19 heures 44 minutes, la terre a tremblé secouant le centre du pays. La secousse, qui a duré moins d’une minute et dont l’épicentre a été localisé en mer au nord de Zemmouri, a causé des ravages. Ce nouveau drame après ceux vécus à El Asnam, Aïn-Témouchent… et d’autres localités du pays martyrisées par d’autres secousses telluriques, a définitivement fait prendre conscience aux populations que désormais l’Algérie fait partie des régions du monde à haute activité sismique. Mais le traumatisme a été immense. Cinq ans après, le temps n’a sûrement pas atténué la douleur de cette mère qui, en l’espace d’un instant, a perdu, à la cité 1200 Logements de Boumerdès deux êtres de sa chair. Ou cette famille de Dellys qui vit la fête du mariage se transformer en hécatombe dont étaient victimes 80 personnes. Ces hommes et femmes vivront sûrement en ce 21 mai 2008 des moments pénibles. Leur solidarité du cœur sera probablement plus affermie envers les populations chinoises qui vivent comme eux des moments douloureux. Cinq ans après, il reste toujours les traces du cataclysme et des souvenirs, tristes pour une partie de la population, mais également faits de bravoure. Il y a le souvenir de cette jeunesse que le régime, par son incurie et son incapacité à lui offrir une perspective, transforme en kamikazes ou en harraga, qui a donné l’exemple de bravoure. Des centaines de jeunes des localités de Boumerdès ont pris en charge, dès les premiers instants de la catastrophe, les opérations de sauvetage. Des jeunes venus de Bab-El-Oued, de Haute-Kabylie, de Bouira et d’autres régions ont également accouru pour apporter leur aide. Dans un élan instinctif et généreux, ils se sont portés au secours des victimes. Abachi L.

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La future baie d’Alger

Posté par khalfi1 le 20 mai 2008

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Belle chanson-Comme d’habitude

Posté par khalfi1 le 19 mai 2008

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Musique

Posté par khalfi1 le 19 mai 2008

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Gaza dans mes yeux

Posté par khalfi1 le 18 mai 2008

Marianne Blume

Gaza dans mes yeux

Prix (TVA incl.): € 16,00

Prix (TVA excl.): € 15,09

Section: Publications Littérature
Catégorie: Autre
Langue: français

Couverture: Broché
Taille de page: Autre
Nombre de pages: 232
Impression: Noir & Blanc

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Présentation rapide

Au travers du regard de Mariane Blume, se dévoile une Palestine fort éloignée des images habituelles et convenues.
Ce texte dépeint la Bande de Gaza de l’intérieur. L’auteure y a travaillé dix ans (dont cinq d’Intifada) et raconte son vécu quotidien, témoigne de l’extraordinaire vitalité des Palestiniens de Gaza. Loin des clichés véhiculés par les médias : elle parle d’ordre et de désordre, de vie et de mort, d’occupation et de résistance mais aussi d’enseignement et de théâtre, de jeunesse et d’espoirs, d’humour et d’amitié.

Biographie de l’auteur

Marianne Blume (née en 1951), est à l’origine professeur de langues anciennes. De 1995 à 2005, elle s’installe comme coopérante APEFE à Gaza où elle est chargée de mettre sur pied une filière de français à l’Université El-Azhar.

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Où va l’Algérie

Posté par khalfi1 le 18 mai 2008

Source : Le Matin d’Algérie

La corruption a fait des ravages lors des élections locales de novembre 2007, notamment lors de la phase de dépôt des candidatures, et des « critères » qui ont prévalu lors de l’acceptation ou le rejet de candidatures : à noter les pouvoirs exorbitants des walis et des chefs de sûreté de wilaya dans nombre de régions, qui avaient souvent droit de vie ou de mort sur certains candidats, parfois moyennant des pots-de-vin. Mouvement des walis : changement dans la continuité prédatrice et gangsters autorisés. Le mouvement des walis rendu public le 7 mai dernier, a suscité un énorme mécontentement exprimé par un grand nombre de citoyens. Mouvement fait dans l’urgence et la précipitation, suite aux émeutes dans la wilaya de Chlef : tentative de créer une illusion de changement, mais la politique du changement dans la continuité a prévalu. Mais c’est un mouvement sans surprise pour nombre de citoyens avisés : le pouvoir a de plus en plus peur de la dynamique citoyenne locale en faveur du changement, de la transparence, du progrès et de la modernité.

Peur de rendre des comptes mais les comptes sont établis : la prédation est très souvent la règle des commis aux ordres du pouvoir. Pour se perpétuer et se protéger, le pouvoir protège ses commis aux ordres. Certains walis gèrent et agissent comme des commis pyromanes du pouvoir et de ses officines.
Dans les wilayas, daïras et communes, la petite corruption qui est devenue systémique, dopée par l’argent qui coule à flot : c’est-à-dire qu’elle est la règle et non l’exception ; elle est banalisée.
« Aucune wilaya, aucune commune n’y échappe. La petite corruption constitue la négation même de l’État dans la seule finalité qui puisse le légitimer, c’est-à-dire la recherche de l’intérêt public. Elle vide les politiques publiques de leur contenu et mine le fonctionnement des services publics les plus indispensables à la vie quotidienne. Dès qu’il y a possibilité d’interaction avec le public, tout service, tout contrôle, tout acte administratif, toute sanction, sont monnayables et passibles de transactions occultes. Bien sûr, les stratégies, tout comme les tactiques utilisées par les acteurs des échanges corruptifs, diffèrent selon les contextes et les enjeux. » D’autres formes de corruption utilisent la contrainte comme levier principal pour solliciter le pot-de-vin ou la faveur de la part des usagers (simples citoyens, entrepreneurs ou fournisseurs). Elles sont vécues par ces derniers comme des pratiques d’extorsion, dans lesquelles aucun service n’est véritablement fourni et les possibilités de transaction et de négociation se réduisent fortement. – Violations dans la gestion des marchés publics au niveau des wilayas et des communes sont nombreux, et la liste n’est pas complète.
- Inflation des dépenses personnelles des chefs des Exécutifs, ponctionnées sur le budget de fonctionnement. Le train de vie d’un certain nombre de walis est proprement scandaleux, et ce, aux frais de la République et avec l’argent des contribuables : luxueuses résidences des walis et des résidences d’accueil des délégations officielles, ministérielles notamment ;
- la régie, une caisse noire qui ne dit pas son nom : de l’argent en espèces, distribué très souvent sans reçu et sans facture, caisse placée auprès de la direction de l’administration locale (DAL), comme c’est le cas à Khenchela ?
Les sorties de certains walis sur chantiers et dans les communes mobilisent des centaines de fonctionnaires de tous les services et d’énormes convois de véhicules tous terrains, comme c’est le cas à Khenchela : ces déplacements sont très coûteux et ont des rendements douteux

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La musique classique

Posté par khalfi1 le 17 mai 2008

J’ai été toujours sensible à la musique classique. En l’écoutant, elle donne une force extraordinaire à l’imagination, avec cette pénétration irrésistible qui vous fait chavirer et transporter dans de plus amples songeries. Je pense plus particulièrement à Berlioz, Bach, Mozart, Beethoven, Wagner, Liszt, Schumann. Tous ces grands artistes du 19 ième siècle ont fait la tournée à l’époque, des grandes capitales européennes et apporté la joie chez de nombreuses foules. Leur carrière de virtuoses les a conduits à émouvoir de nombreux auditoires. Le public, charmé, les écoutait jouer, pris sous le charme de tant de talent. Qui ne se souvient pas de la Symphonie Fantastique de Berlioz, du Vaisseau FantômeTristan et les Maîtres Chanteurs n’en sont-ils pas une bonne illustration? On peut encore épiloguer longuement sur la vie de ces grands précurseurs des concerts de l’opéra et des montages théâtraux envoûtants et passionnants. Mais les âmes romanesques et les coeurs sensibles y trouveront toujours matière à prolonger leurs rêves. Heureusement que dans notre monde déchiré, la musique et les chansons nous apportent souvent la bonté et la beauté chères aux êtres amoureux du genre. Et surtout des poèmes symphoniques de Liszt. A Weimar, celui-ci compose encore de nombreuses sonates où se côtoient avec bonheur, oeuvre poétique et son illustration orchestrale avec piano. Inspiré par la Princesse Carolyne de Sayn, il écrira encore de sublimes morceaux de musique, avec toute leur expression gracieuse et profonde. Wagner ne sera pas du reste puisqu’il nous offrira aussi de belles oeuvres et de belles représentations qui incitent à la danse et à la valse.

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Le blog

Posté par khalfi1 le 17 mai 2008

 

Qu’est-ce un blog? Ce mode d’expression fort convivial est à la portée de chacun. On peut y formuler chaque jour ses pensées et le manier très facilement. Son étendue progressive supplante peu à peu les sites Internet personnels. Cela permet à des dizaines de millions de personnes de se donner des audiences de toutes tailles et de tout type. Ce phénomène des temps de l’informatique et des moyens modernes de communication a donné ainsi naissance à des échanges humains très constructifs et enrichissants. Tout est direct et instantané, dans les deux sens, visiteur et visité, lui conférant ainsi une façon incomparable de “contacter” le monde entier. Et plus particulièrement auprès de ses amis, parents et connaissances. Dans l’immense toile du Web qui s’étend de jour en jour, un monde nouveau se tisse comme fabriqué par une immense machine à voyager presque gratuitement à travers toute la planète. Métier à tisser gigantesque et très attrayant.

 

Les médias traditionnels comme la télévision, la radio ou les journaux en papier ne sont pas aussi “bi-directionnels”. Je ne parle pas des aspects commerciaux ou professionnels de cet outil remarquable d’échange et de connaissance du mode de vie des autres, mais surtout de sa portée culturelle, humaine ou tout simplement littéraire.

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L’interview de Vanessa du Frat

Posté par khalfi1 le 16 mai 2008

Vanessa du Frat est une jeune auteure qui s’est lancée dans l’écriture. Son livre, les Enfants de l’ô semble remporter un certain succès auprès des internautes.

Son interview à une radio suisse:

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L’indifférence

Posté par khalfi1 le 16 mai 2008

Sommes-nous condamnés à vivre et à agir seuls? Presque chacun de nous a remarqué l’indifférence apparente des visages que nous croisons. Ils nous paraîssent à priori fermés ou étrangers. Nous sommes alors contraints de nous renfermer à notre tour dans un isolement où il semblerait qu’il n’y a aucun sentiment. Est-ce pour autant que la communication avec les autres devient impossible? 

Je ne le pense pas. Car la communion entre les consciences  se sert de deux outils essentiels que sont le langage et  l’écriture. En effet, l’utilisation de la langue est un instrument efficace pour franchir les barrières. Elle permet de communiquer directement à nos interlocuteurs, nos états d’âme ou des explications sur telle ou telle situation. Le langage est donc nécessaire pour discuter avec nos semblables et leur exposer ce qui nous tient à coeur ou exige tout simplement une communication directe pour mieux se faire comprendre.

Il y a également l’écriture laquelle cependant semble être un moyen de communication plus récent que la parole, dans l’histoire de l’humanité. Mais son efficacité sur le plan de la connaissance scientifique, littéraire, technique, artistique , culturelle, est nettement supérieure à la transmission orale. Ne dit-on pas « Les paroles s’envolent, les écrits restent »?

C’est pourquoi les sentiments, les raisonnements ou la personnalité d’autrui demeurent invisibles tant qu’ils ne sont pas exprimés par la parole ou par l’écrit.   Ainsi la véritable communication se trouve dans la volonté d’agir avec les deux outils dont nous disposons, sans transgresser les  limites et  les règles morales propres  à  la vie  en  société. Sans pour autant, renier le « moi » de notre individualité qui possède ses propres références.

En conclusion, on peut affirmer que l’individu a toujours besoin de passer à l’acte pour montrer son existence et de réaliser des oeuvres communes pour ne pas laisser s’éteindre, la flamme qui l’habite intérieurement. Comme quoi, l’indifférence qu’il affiche ne l’empêche pas de venir au secours de son semblable, dans les moments propices à l’expression de son humanité.

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Frank Sinatra

Posté par khalfi1 le 14 mai 2008

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La maison de Mohamed Larbi Ben M’hidi à Biskra

Posté par khalfi1 le 14 mai 2008

Source Wikipédia

 

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Mohamed Larbi Ben M’hidi naquit en 1923 près de Aïn M’lila dans une famille rurale aisée. Il fit ses études primaires à l’école française où il obtint son Certificat d’études, puis entreprit des études secondaires à Biskra.

 

 

Il travailla ensuite comme comptable au service du Génie civil de Biskra, puis s’installa à Constantine où il fut proche de l’Association des Oulémas et en particulier de Moubarek el-Mili. Ben M’hidi adhéra au mouvement des Amis du Manifeste et de la Liberté (AML) fondé par Ferhat Abbas et participa au congrès de mars 1945. Les massacres du 8 mai 1945 marquèrent sa volonté de poursuivre ses activités clandestines. Il adhéra au (MTLD) et à l’Organisation Spéciale (OS) à laquelle participèrent également Ben Bella, Aït Ahmed et Mohamed Boudiaf (dont il fut l’assistant). En 1950, vainement recherché par les services de police, il est condamné par défaut à dix ans de prison pour « menée subversive et activité illégale ». En avril 1954, Ben M’hidi fut l’un des 9 fondateurs du C.R.U.A qui le 10 octobre 1954 transformèrent le CRUA en FLN et décidèrent de la date du 1er novembre 1954 comme date du déclenchement de la lutte armée pour l’indépendance algérienne. On lui confia la Wilaya 5 (l’Oranie) qu’il organisa efficacement malgré un démarrage difficile.

 

En 1956, laissant le commandemant de la Wilaya 5 à son lieutenant Abdelhafid Boussouf il devint membre du Conseil National de la Révolution Algérienne; il était proche des idées de Abane Ramdane et Krim Belkacem. Le premier fut assassiné au Maroc à la fin de décembre 1957, le second à Francfort le 18 octobre 1970. Il participa à l’organisation des premiers attentats de la bataille d’Alger.

 

Arrêté le 23 février 1957 par les parachutistes, il refusa de parler sous la torture avant d’être pendu extra-judiciairement par le général Aussaresses dans la nuit du 3 au 4 mars 1957.

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Séisme meurtrier en Chine

Posté par khalfi1 le 14 mai 2008

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Fête à Biskra

Posté par khalfi1 le 12 mai 2008

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Du temps des Romains, Biskra était le poste le plus avancé vers le Sahara, des légions romaines. D’ailleurs son nom dérive probablement du mot latin vescera ( sucrée). Pendant les trois quarts de l’année, le climat est très doux. L’air y est très pur, riche en oxygène. Le ciel presque toujours bleu. En venant du Tell au climat plus humide, on y accède par les gorges d’El-Kantara qui constitue une sorte de porte du désert.

La ville est surnommée la Reine des Oasis ou des Zibans car avec ses villages périphériques, elle possède presque deux millions de palmiers ainsi que de nombreux jardins. Mais l’été est très chaud et si on n’est pas climatisé, le mieux est d’aller le passer dans le Nord, au delà de la chaîne montagneuse des Aurès.

 

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Françoise Hardy – Tous les garçons et les filles

Posté par khalfi1 le 10 mai 2008

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Les copains et les coquins.

Posté par khalfi1 le 10 mai 2008

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Hadj Moussa et Moussa Hadj, walis éternels

Les citoyens de Chlef ont commis une erreur régionale. En demandant le départ du wali, ils n’ont pas précisé qu’ils n’en voulaient nulle part. Résultat, le Président les a écoutés et a fait partir le wali de Chlef mais pour le placer wali à Annaba, ce qui est une promotion, Annaba étant beaucoup plus jolie, agréable, maritime et féminine que Chlef. C’est finalement le wali de Annaba qui a tout perdu puisqu’il cède sa place, « appelé à d’autres fonctions », ce qui dans le langage officiel signifie une préretraite. Récapitulatif donc de ce nouvel épisode du grand feuilleton « l’Etat algérien gère l’Algérie » : le wali de Chlef utilise la justice pour mettre au pas un responsable d’association qui s’indigne que des gens vivent encore dans des préfabriqués bourrés d’amiante depuis 28 ans. Les citoyens de Chlef se mettent en colère et cassent tout. Le Président nomme le wali de Chlef à la tête de la wilaya de Annaba, à l’autre bout du pays, là où il y a très peu de Chelfis. Le dorénavant ex-wali de Annaba peut en vouloir aux gens de Chlef, il n’a rien fait et ce sont eux qui l’ont chassé de là où il était. Dans ce jeu pervers de la gestion par sens giratoire, on permute les walis sans les changer. Avantage au centre dans ce cas, le nouveau wali de Annaba n’a pas à répondre de ses responsabilités à Chlef. En attendant la réaction des citoyens de Annaba, il est bon de savoir qu’en Algérie les walis sont cooptés par de puissants réseaux dont le centre de gravité n’est pas forcément à la présidence. Dans ce contexte, la palme d’or revient certainement au secrétaire général de la wilaya de Chlef qui, récompensé pour son travail, devient wali de Tindouf. Qui gagne quoi dans cette affaire ? L’Etat, le régime, les Chelfis, les Annabis ou le corps très décrié des walis d’Algérie ? C’est encore l’inertie qui a gagné. On ne change pas une équipe qui perd.

 

Chawki Amari

 

Mais M.Chawki Amari, ne connaissez-vous pas le proverbe populaire qui dit : Si tu veux qu’on te nomme ministre, détruis une wilaya. Si tu veux qu’on te nomme ambassadeur, détruis un ministère?

 

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Zorba le Grec

Posté par khalfi1 le 9 mai 2008

Une guitare qui chante et qui danse avec Anthony Quinn. Musique:Mikis Theodorakis

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La science

Posté par khalfi1 le 9 mai 2008

Ces dernières décennies ont été marquées par les progrès fulgurants de la science et de la technologie.  Des savants célèbres ont marqué leur satisfaction devant l’avancée de l’humanité dans ce domaine. Déjà, Descartes avait affirmé :  » Nous voici parvenus au moment où l’homme deviendra comme maître et possesseur de la nature ».

Malheureusement, il existe l’envers de la médaille. La multiplication des usines, des moyens de locomotion modernes, la pollution des mers et de l’atmosphère ont eu pour corollaire, l’apparition de plus en plus nombreuses, de catastrophes à l’échelle planétaire : Typhons, déséquilibres climatiques, montée des niveaux des océans, inondations soudaines… ont montré à quel point, notre civilisation est fragile.

La science peut également prendre un côté très négatif. Pensons à la guerre 1914-18 où les hommes n’ont pas hésité, pour s’entretuer, à utiliser des gaz asphyxiants. Avec la guerre 1939-1945, l’inimaginable a été atteint avec les explosions des bombes atomiques sur Hiroschima et Nagasaki, les 6 et 9 août 1945. On ne peut dans ces conditions que se représenter dans quel abîme effroyable, l’humanité pourrait tomber, si elle continue une telle fuite en avant. Ne dit-on pas que « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme »?.

C’est pourquoi, au lieu des croisades guerrières, les classes politiques qui dirigent le monde devraient emprunter les voies de la sagesse  et éviter que la célèbre formule de Paul Valéry, à savoir  » Nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles.! », ne devienne une triste réalité.

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Musique

Posté par khalfi1 le 8 mai 2008

Ecoutez de la musique avec ses belles sonorités

 

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L’art

Posté par khalfi1 le 8 mai 2008

Je voudrais parler de l’art. Le dictionnaire énonce : Activité humaine faisant appel à certaines facultés sensorielles, esthétiques et intellectuelles. La peinture, la sculpture, le cinéma, la musique, l’architecture, l’écriture sont des arts. L »art est expressif et recherche la perfection dans la beauté. Et il y a non seulement la beauté physique mais aussi la beauté morale ou conceptuelle. L’art crée des sentiments, du rêve et des élans vers le sublime. Il s’accompagne d’états d’âme nés de la contemplation d’oeuvres immortelles ou qui soulèvent en nous, à leur vue, à leur lecture, à leur audition, de l’admiration et de l’extase. Par exemple, on ne peut s’empêcher de dire de la Joconde, le tableau peint par Léonard de Vinci que c’est une oeuvre d’art. Sa vision fait naître automatiquement dans notre esprit, des liens d’affectivité et des impressions de beauté durables.

Car ce qui est beau nous touche toujours au plus profond de nous-mêmes. Il fait jaillir des sentiments d’amour et d’attachement envers ce qui nous remue et nous transporte dans un autre monde plein de charme. Nous oublions notre condition humaine plus terre à terre pour nous évader vers d’autres horizons limpides et moins angoissants.

La poésie mêlée à la musique est également une forme d’art très harmonieuse. A l’audition des vers suivants de Victor Hugo, nous sentons beaucoup d’émotion mais aussi la brièveté de notre existence:

« Vous qui pleurez, venez à Dieu car, il pleure

Vous qui souffrez, venez à lui car, il guérit

Vous qui tremblez, venez à lui car, il sourit

Vous qui passez, venez à lui car, il demeure »

Ainsi, l’art sous toutes ses formes possède la faculté de nous éblouir, de nous enchanter. Il donne de la visibilité à ce qui paraît impossible à appréhender, grâce au talent de l’artiste qui peint, au poète qui chante, au musicien qui fait vibrer son piano ou sa guitare, à l’écrivain qui donne relief à son roman, enfin à tous ces mouvements secrets grâce auxquels, notre âme se force à aimer.

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Mon Dieu, où est passée Maddie

Posté par khalfi1 le 4 mai 2008

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Alger

Posté par khalfi1 le 3 mai 2008

Une vue du centre d’Alger, près de la Grande Poste.

Alger
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Une vue du centre d'Alger
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Verdi

Posté par khalfi1 le 3 mai 2008

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Mes mauvaises pensées-Nina Bouraoui

Posté par khalfi1 le 3 mai 2008

Nina Bouraoui a été Prix Renaudot en 2005 

 

Extrait du livre

Cette colère, c’est la trace de la terre, la colère c’est encore la force de l’Algérie en moi, la force de sa beauté : les criques, les plaines, les montagnes, les déserts, le vide de la nature, le vent, le vent sur mon corps, le vent qui fait plier les coquelicots, le vent qui soulève le sable, le vent entre le pilotis des immeubles, le vent sur l’eau qui se plisse et gonfle, le vent dans l’herbe, là où je me couche, là où je me sens si bien, l’herbe du parc de la Résidence, l’herbe haute et fraîche, l’herbe de février, l’herbe sous mon ventre, le vent sur mon visage, les mots de ma mère « tu sens le vent », le vent dans les draps qui sèchent, le vent du Sud, le vent de l’orage, le vent dans ma tête quand je n’arrive pas à dormir, quand je suis envahie ; il y a un glissement de la terre algérienne sur mon corps, je veux dire par là que j’ai le statut de l’enfant sauvage.

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Chantal Goya Mes chansons préférées

Posté par khalfi1 le 2 mai 2008

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L’idéal

Posté par khalfi1 le 2 mai 2008

J’ai voulu chercher dans les différents dictionnaires la définition du mot « idéal », comme une élévation de l’esprit vers une vie telle qu’elle devrait être et non telle qu’elle est. Ce mot est surtout de nature morale et correspond la plupart du temps à une forme de rêve ou de tendance intime de l’individu pour rendre accessibles ses aspirations les plus élevées.

Le Littré considère l’idéal comme un assemblage abstrait de perfections dont l’âme se forme l’idée mais sans pouvoir y atteindre complètement..

Le Larousse ajoute : type de perfection imaginée par l’esprit , combinant valeurs morales et intellectuelles qu’on aimerait bien qu’elles se réalisent : femme ou homme idéal, métier idéal, paysage idéal, société idéale…

Le Robert précise : l’idéal est ce qui, dans un ordre quelconque, donnerait une parfaite satisfaction aux aspirations de l’esprit et du coeur.

En réalité, chacun de nous a besoin d’un idéal pour vivre. la noblesse et le grandeur d’un objectif valent la peine qu’on se mobilise et qu’on se dévoue pour l’atteindre. Il faut donc éviter de s’engager dans une mauvaise voie. L’essentiel est de toujours demeurer ferme dans ses choix, de galvaniser notre désir de bien faire et de nous donner une raison de vivre et d’espérer.

 

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L’enfer des cadres

Posté par khalfi1 le 2 mai 2008

Lien vers l’ouvrage avec des pages tournantes sur un simple clic en bas de chaque page. C’est très pratique :

http://issuu.com/aminelicia/docs/419357 

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C’est beau un cheval

Posté par khalfi1 le 1 mai 2008

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