Larbi Ben M’hidi
Posté par khalfi1 le 23 février 2025
Posté par khalfi1 le 23 février 2025
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Posté par khalfi1 le 1 février 2024
Marie Christine est une femme sportive, épanouie, aimant la vie et une existence paisible. Elle fait régulièrement du Jogging dans la forêt de Fontainebleau, près de Paris. Ses fonctions d’éducatrice et d’enseignante dans une école de la même ville l’enchantent et la rendent plus enthousiaste. Elle considère ses élèves comme ses propres enfants. C’est pourquoi elle pratique son métier avec amour et une conscience professionnelle sans faille. Elle rencontre Lynès, jeune étudiant à l’Université de Versailles. L’idylle qui se noue entre eux porte le parfum de l’aventure et de la passion. Mais un destin impitoyable et implacable veille pour leur barrer la route du bonheur.
Natif du Constantinois, Khalfi Yacine a travaillé comme cadre, dans l’administration algérienne. Actuellement à la retraite, il s’occupe en lisant des livres, notamment des romans historiques, sentimentaux ou policiers. Il n’hé
Marie Christine est une femme sportive, épanouie, aimant la vie et une existence paisible. Elle fait régulièrement du Jogging dans la forêt de Fontainebleau, près de Paris. Ses fonctions d’éducatrice et d’enseignante dans une école de la même ville l’enchantent et la rendent plus enthousiaste. Elle considère ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >Publié dans librairie, littérature, livres, Non classé | Pas de Commentaire »
Posté par khalfi1 le 26 janvier 2024
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Posté par khalfi1 le 8 novembre 2023
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Posté par khalfi1 le 7 novembre 2023
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Posté par khalfi1 le 1 octobre 2023
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Posté par khalfi1 le 24 septembre 2023
L’essentiel en 2 minutes
L’intrigue. Alessio, le père de Cécilia, s’écroule, victime d’une crise cardiaque. Mais à quelques mètres, Kosta, qui a rompu avec Cécilia, ne s’en rend pas compte : il repart en Bulgarie sans se retourner. Tous ont un secret qui les a empêchés de bien s’aimer. Pour être pardonné, faut-il partir, ou revenir ?
Les personnages. C’est l’histoire de Cécilia et Kosta. Mais chacun cache une tombe sur laquelle il n’arrive pas à se rendre, qui l’oblige à fuir et à faire fuir l’autre. Et bien entendu, à se fuir. De doutes en trahisons, ne serait-ce pas l’histoire d’Alessio et de Francesca qui se rejoue à travers eux ?
Les lieux. « Gare-du-Nord » : le lieu de l’ancrage pour Cécilia, de l’exil pour Kosta. Mais aussi, le lieu où tout s’est plusieurs fois arrêté pour elle, et celui où tout pourrait commencer pour lui… A moins que tous deux s’en échappent ? En ce cas, quel rôle pourraient jouer la Sicile et la Bulgarie ?
L’époque. L’histoire se déroule d’avril à juin 2015. Mais en réalité, elle nous est racontée dans de constants allers-retours entre passé et présent, les récits des personnages principaux se complétant petit à petit jusqu’à un final qui les réinvente. Et réinventer 2015… qui n’en rêve pas ?
L’auteur. Spécialiste du marketing et de la communication, animatrice du site jesuisauteur.com, Raphaëlle Beguinel est revenue aux sources de l’écriture au tournant de la trentaine. Son premier roman met en scène des « Millenials » complexes, loin des clichés sur leur génération. Ça fait un bien fou !
Ce livre a été lu avec le bonheur tourner avidement les pages d’un livre qui est aussi un très bel objet : petit, compact, sobre, d’une élégante couleur crème, imprimé sur un beau papier… incontestablement un très beau cadeau, que je vous engage à (vous) offrir sans modération !
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Posté par khalfi1 le 10 septembre 2023
Elodie est une jeune femme bretonne éprise de littérature. Dès qu’elle rentre dans une librairie, elle ne peut s’empêcher d’acquérir les dernières nouveautés littéraires pour garnir sa bibliothèque. Mais il lui manque le roman de Jugurtha (héros de la guerre contre les Romains), manuscrit vieux de deux mille ans. Elle décide d’aller à Constantine, l’antique Cirta, pour se le procurer: De nombreuses péripéties l’attendent pour finaliser son projet. Réussira-t-elle son pari ? Nous le verrons bien à l’issue de cette aventure passionnante et pleine de rebondissements.
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Posté par khalfi1 le 10 septembre 2022
C’est encore moi ou Chronique d’une fin de vie annoncée.
Les années se suivent, finissent par se ressembler et surtout par se rapprocher. Aussi l’auteur plonge-t-il une ultime fois dans le grand bain pour réviser son itinéraire avant la fin.
Enfin, presque la fin.
On sent tout le long de son récit que l’auteur a vécu des expériences qui l’ont aidé à se forger une idée de la vie et de ses retournements parfois douloureux. Les expressions comme par exemple « D’où je viens » ou « Où je vais », en disent assez long sur son état d’esprit. Cela ressemble à un voyage vers des rivages inconnus.
Je veux aussi citer un petit paragraphe de son texte pour avoir une idée de son parcours un petit peu pyramidal, et presque chaotique : » En accord avec moi-même, j’aurais plutôt tendance par les temps qui courent, à aller où je peux. Avec les moyens de bord, qui semblent bien dérisoires. Les années ont fait leur oeuvre. Il subsiste un trop plein de souvenirs que j’ai peine à ranger. »
On découvre aussi d’autres expressions suggestives qui permettent de mesurer le désarroi de l’écrivain qui sème pêle-mêle ses états d’âme et ses réflexions sur la vie, sur la mort, Ainsi que sur les nombreuses autres facettes de l’existence, avec des pointes lancinantes de métaphysique et de philosophie anxieuses.
Dans cette oeuvre, il n’existe pas de plan bien établi, ni une intrigue avec un fil conducteur visible et accessible, facilement identifiable. Les mots et les phrases sont construites comme des objets et des choses prêtes à être jetées à la mer. On se sent comme emporté par les vagues d’un océan houleux dont on n’arrive pas à deviner la destination exacte. C’est la vive impression du temps qui passe irrémédiablement, et de le consistance éphémère du monde qui nous entoure. Malgré une certaine ambiance semblable « à l’ombre des jeunes filles en fleurs », il n’en demeure pas moins vrai, au fil des paragraphes variés qui défilent à vive allure, mais uniformes, qu’il existe un fond d’espérance et de désir de vivre assez intense.
Le style est bon et assez agréable dans l’ensemble.
C’est encore moi ou Chronique d’une fin de vie annoncée. Les années se suivent, finissent par se ressembler et surtout par se rapprocher. Aussi l’auteur plonge-t-il une ultime fois dans le grand bain pour réviser son itinéraire avant la fin. Enfin, presque la fin. On sent ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >Publié dans littérature, livres, Non classé | Pas de Commentaire »
Posté par khalfi1 le 22 mars 2022
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Posté par khalfi1 le 19 février 2022
Ce livre est lui-même la chronique d’une vie de diplomate bien remplie, de 1981 à 2018. Le style est alerte, incisif. Le ton est léger et humoristique avec des anecdotes croustillantes, constellées en nuances et en subtilités. La plume manipulée avec une aisance littéraire certaine, laisse apparaître une grande maîtrise du verbe et des sujets abordés dans cet ouvrage où les surprises sont légions, avec une originalité remarquable à plus d’un titre.
Les idées sont exprimées de façon claire, nette et sans aucune bavure. Avec les souvenirs de l’auteur exposés chronologiquement et judicieusement, accumulés au fil de ses « aventures », nous voyageons allègrement dans le temps et dans l’espace. Les tranches de vie adjacentes, racontées sans artifice, nous dévoilent la vie d’un diplomate à l’activité intense et débordante, non dépourvue de charme et de fraîcheur. Décidemment, bien que ce ne soit pas l’existence d’un château, elle n’en referme pas moins beaucoup d’attraits et d’émotions dignes d’un roman.
Le déroulement des actions, des scènes, des tableaux, des descriptions, et des situations se fait au millimètre. Le rythme de la narration, bien que varié, est soutenu de bout en bout, ayant pour but de maintenir intacts, l’attention et l’intérêt du lecteur potentiel.
Dès le départ du texte, le thème principal est lancé. L’auteur, après un préambule, va droit au sujet. Il nous fait rentrer d’office dans l’atmosphère épaisse et moyen-orientale d’Islamabad au Pakistan. Les rues sont bondées et bruyantes, une population remuante, très dense et un peu désordonnée. On sent le drame dans un périple riche en couleurs et en odeurs, semi-tragique, semé d’embûches mais où le dépaysement n’est nullement absent. En effet, l’Afghanistan et ses moudjahidines ne sont pas loin. Les menaces sont visibles et invisibles, propres au monde pakistanais.
Une écriture soignée et aérée nous montre ensuite, entre autres, l’univers ouaté et bleuté de la Tunisie, avec ses sites touristiques et ses paysages enchanteurs, sa population vivante et accueillante. Nous transitons vers l’Amérique, New-York et ses gratte-ciel vertigineux, les villes immenses et hollywoodiennes, avec notamment l’épisode du passe-droit accordé à certains hauts représentants de l’Etat. Sans oublier la belle Suisse, Copenhague, le Danemark à l’atmosphère un peu triste, les séjours un peu mornes au sein de l’Administration centrale du Ministère des Affaires Etrangères. L’histoire pour ainsi dire se termine à Jérusalem, ce lieu antique tant convoité par les trois religions monothéistes, avec l’éternel drame palestinien, impossible à résoudre.
Cet ouvrage retraçant le riche itinéraire d’un consul de France, est très intéressant car il nous fait connaître les arcanes insoupçonnés d’un métier pas comme les autres. Un diplomate qui a connu des hauts et des bas, dans une carrière brillante et brûlante tout le long de son parcours atypique. A remarquer le rôle prépondérant joué par la gastronomie, notamment française pendant toute l’histoire racontée.
Ce livre est lui-même la chronique d'une vie de diplomate bien remplie, de 1981 à 2018. Le style est alerte, incisif. Le ton est léger et humoristique avec des anecdotes croustillantes, constellées en nuances et en subtilités. La plume manipulée avec une aisance ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >Publié dans Non classé | Pas de Commentaire »
Posté par khalfi1 le 13 janvier 2022
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Posté par khalfi1 le 13 janvier 2022
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Posté par khalfi1 le 19 mai 2021
Un homo sapiens dessinant son cauchemar. Un homme d’affaires coincé dans les toilettes d’un aéroport. Dans une maison de retraite, les retrouvailles d’un aide-soignant et du prince noir de son enfance. Une inconnue croisée dans le métro. Les personnages de Disney engagés dans une lutte sociale. Un courtisan du roi à la vue altérée et la prostate fragile
Ces 250 micro-nouvelles de même forme (1000 caractères) sont avant tout une invitation à un voyage débridé. Les époques et les lieux sont traversés allègrement. On y croise des personnages de tout âge, de tout milieu, de tout caractère, de toute destinée. Les situations se succèdent dans une grande variété de tons : drôle, tragique, réaliste, poétique, pamphlétaire, intime…
Léger et virevoltant, ce ballet de contes n’est pas pour autant dénué de sens cachés et de ressentiments profonds. Par exemple, ce dictateur glissant sur une page envolée d’un livre interdit.
Il s’agit de plusieurs nouvelles paraissant indépendantes les unes par rapport aux autres mais liées par le même contexte psychologique, à savoir celui de donner des vues multiples avec un même cheminement intellectuel de la part de l’auteur. Une grande variété de personnages et des situations imbriquées dans des histoires distinctes, comme les marches d’un escalier dont on n’arrive à distinguer ni le début, ni la fin.. comme signalé dans les accroches du texte « c’est un voyage, ou plutôt plusieurs voyages dans le temps et dans l’espace, avec différents épisodes et différents acteurs » . Est-ce un pamphlet ou une tirade poétique ou une pièce de théâtre tragique. On ne saurait l’affirmer avec certitude, tellement les mots et les phrases de ces mini-nouvelles se succèdent sans interruption, dans une folle farandole, dont le déploiement est quand même bien maîtrisé. En tout cas, il est difficile de faire un résumé fidèle de toutes ces destinées qui se croisent et s’entrecroisent, sans jamais se confondre entièrement, à l’instar d’une gerbe d’étoiles filantes..
La recette de ces combinaisons littéraires et ces textes sous des formes ramassées semble bien .réussie. C’est une sorte de labyrinthe où se créent un vaste tableau avec des échantillons littéraires savamment tissés par l’auteur. Pourtant, à la lecture de toutes ces variantes de l’écriture, on ne peut s’empêcher de se poser des questions sur cette particularité de l’auteur, qui au lieu de nous présenter un récit uni, préfère axer son imaginaire sur la création de ces multiples micro-nouvelles souples, éparpillées et originales. Comme une quête d’une mémoire ressuscitée à chaque page de ce livre, avec des personnages des lieux et des décors différents.
Le style est alerte et l’auteur jongle avec les mots et les phrases, à telle enseigne que le lecteur glisse sur les titres des nouvelles, avec une grande facilité : On se demande alors s’il a la chance de ne pas en avoir. On marche sur une corde mais on n’a pas peur de tomber, tellement l’équilibre se nourrit de lui-même.
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Posté par khalfi1 le 26 janvier 2021
Le jour de la Saint-Valentin, le 14 février, est considéré dans de nombreux pays comme la fête des amoureux. Les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d’amour ainsi que des roses rouges sont l’emblème de la passion
C’est l’occasion d’offrir mon roman « Marie Christine » à vos amis et à vos proches.
www.publiwiz.com/index.php/catalogue/litterature/romans/marie-christine
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Posté par khalfi1 le 29 décembre 2020
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Posté par khalfi1 le 18 novembre 2020
https://www.patreon.com/home?utm_source=organic&utm_medium=email&utm_campaign=pro_launched_fr&utm_content=em01&utm_term=checklist
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Posté par khalfi1 le 20 juin 2020
Le début de ce roman m’a rappelé un petit peu le film américain « Maman j’ai raté l’avion »
Courte mais assez bien écrite, avec un plan de rédaction précis et très clair, c’est une intrigue construite essentiellement sur la littérature du voyage et du dépaysement. Elle ne manque pas d’éveiller la curiosité du lecteur grâce à la place centrale qu’occupe la description des paysages et de la forte présence des principaux acteurs du roman. Les personnages de Christophe, Vanessa, et leurs enfants Morgane et Léo sont bien campés tout le long du récit. Depuis leur voyage à partir de la France jusqu’à Zanzibar, en passant par la Tanzanie, ils ne cessent de nous surprendre par leur comportement parfois alambiqué mais plein de vie.
En effet, on est en présence d’un registre différent du livre du même auteur, à savoir Mademoiselle Déjazet. Plongés tantôt dans la bigarrure des agglomérations tanzanienne et de Zanzibar, tantôt dans la faune et la flore africaines, au sein de la réserve tropicale de Serengeti, nous sommes transportés comme sur un tapis volant . Notre amour des voyages est pleinement satisfait avec l’impression de prendre des vacances méritées, après les durs labeurs effectués dans les métropoles européennes. Quand on est un occidental soumis en permanence au « métro-boulot-dodo » presque quotidien, on aspire à s’octroyer un repos bien mérité, au-delà des contraintes professionnelles et domestiques.
Une écriture « émotionnelle » et pleine d’une faconde plaisante, une famille avenante, permettent de goûter sans problème à un bel environnement et de se laisser émerveiller par un ensemble d’images palpitantes, au milieu d’une nature vierge et remplie de bonnes surprises. On s’évade ainsi vers des horizons bleutés et nostalgiques. C’est une belle histoire qui se lit facilement avec un style ciselé. Malgré qu’en fin de compte, les masaïs de Tanzanie, venus à Zanzibar comme commerçants temporaires, n’apparaissent qu’en arrière-plan du Kilimandjaro, montagne mythique et prestigieuse. Mais ces masaïs savent en tout cas, comment négocier et traiter leurs affaires au mieux de leurs intérêts, en vendant intelligemment leurs objets artisanaux, avec une « publicité » propre à eux.
Ouvrage à recommander donc.
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Posté par khalfi1 le 7 juin 2020
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Posté par khalfi1 le 31 mars 2020
Cet article participe à l’événement “Coronavirus : Comment travailler de chez soi efficacement pendant le confinement ?” du blog Blogueur Pro. J’apprécie beaucoup ce blog, et en fait mon article préféré est celui-ci.
En cette période de confinement à cause de Coronavirus (Désigné aussi sous le vocable de Covid 19), l’idéal serait de pouvoir travailler à partir de chez soi, grâce à l’outil essentiel que nous possédons presque tous, c’est-à-dire l’Internet ou les nouvelles technologies de l’information et de la communication. (NTIC). Oui, il faut que cette possibilité de toucher le maximum de gens à l’extérieur, tout en restant à l’intérieur, s’avère être un événement fabuleux.
En effet, Olivier Roland, ouvrant la voie aux méthodes pour mieux se faire connaître sur la Toile mondiale, est devenu une référence bien établie. Il n’y a qu’à voir l’engouement que suscitent chez les internautes, les articles et les nombreuses offres que renferme son site dédié à l’organisation et à la publication de ses connaissances nombreuses dans le domaine du marketing, dont il maîtrise tous les tenants et tous les aboutissants.
On peut prendre comme exemple de cette démonstration, le texte qu’il a publié sur Internet et concernant le volet où Cédric Annicette explique comment on peut devenir libre financièrement grâce à son blog sur l’immobilier.
Ce n’est pas arrivé par un coup de baguette magique, Ce succès est dû principalement aux méthodes originales qu’il a adoptées dans son Business Attitude. L’interview qu’il a accordé à Olivier Roland témoigne de façon éloquente sur ses motivations à ce sujet. En cette période de confinement, ne serait-il pas judicieux de tirer des leçons profitables tirées de son expérience dans le parcours qu’il a choisi pour tirer le maximum de son « métier ». Etant ingénieur de formation, il a su de façon intelligence, comment orienter ses nouvelles activités sur le Web, et comment utiliser son commerce sur l’immobilier, afin de rentabiliser son investissement et gagner sa vie de manière convenable.
C’est-à-dire, à ce moment où il n’est pas possible de se déplacer sans autorisation à cause de la pandémie du Coronavirus, ses enseignements et ses méthodes de travail s’avèrent très précieux pour connaître son cheminement à travers l’univers très varié de l’immobilier. C’est un vaste domaine qui peut offrir à ceux qui l’exploitent, le succès et la réussite dans ce genre de Business. Avec une base financière modeste, on peut ainsi multiplier ses chances, sinon de s’enrichir rapidement, au moins gagner assez d’argent et figurer parmi les gens les mieux nantis.
Grâce aussi au télétravail, il est maintenant possible, à partir de son domicile, de faire beaucoup de choses. En plus, on peut profiter de cette occasion pour lire des livres traitant des infections virales et bactériennes. On s’instruit et on instruit son entourage immédiat, ses proches, ses parents et pourquoi pas aussi, ses amis en leur adressant e-mails accompagnés de la documentation recueillie, en pièces attachées. On peut joindre l’utile à l’agréable, en se cultivant à domicile. Il n’est pas exclu non plus, qu’on puisse parcourir les pages des auteurs les plus en vue, capables de nous donner d’autres visions du monde qui nous entoure.
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Posté par khalfi1 le 31 décembre 2019
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Posté par khalfi1 le 19 septembre 2019
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Posté par khalfi1 le 9 septembre 2019
À Constantine, je me suis toujours senti heureux d’exister. Quoique je dise, je ne décrirai jamais avec précision, mes émotions de tendresse devant le vertige que me procure le spectacle féerique et plein de beauté, de la ville des ponts, à l’histoire plusieurs fois millénaire. Son site ressemble à un canyon taillé dans la roche et aux dimensions impressionnantes. On dirait qu’un géant, sorte d’Hercule invisible de la mythologie, armé d’une grande hache, ne s’était pas privé du plaisir, de creuser sur le vif, les entrailles de la terre pour en sortir un dessin harmonieux et presque unique au monde. Je vous demande pardon mais il faut que je vous raconte. Avant que je prenne ma retraite, j’ai beaucoup voyagé et vu tant de pays plus merveilleux et plus pittoresques les uns que les autres. J’ai vécu un instant à San-Francisco, observé les chutes du Niagara, grimpé sur les flancs du Kilimandjaro, traversé l’Australie, admiré les sites incomparables d’Ushuaïa et de la baie de Naples, les temples d’Angkor et de Louqsor, la finesse et la beauté marbrée du Taj Mahal. J’ai navigué sur les gondoles à Venise, sur les bateaux-mouches du Nil et de la Seine. Je me suis promené dans les quartiers historiques de Saint-Pétersbourg, les faubourgs chics de Londres, les villes surpeuplées de Bombay et de Calcutta, les endroits reculés des contrées asiatiques et africaines, puis j’ai fait un saut à Johannesburg et Pretoria. J’ai joui des paysages sublimes et glacés de l’Arctique et de l’Antarctique. Tant de fois, je me suis pâmé devant le style architectural du Panthéon de Rome et de l’Acropole d’Athènes. La poésie poignante du Sahara, les îles vierges du Pacifique et les profondeurs de la forêt amazonienne m’ont réchauffé le cœur et apporté à mon imagination, de quoi la nourrir des jours et des jours. J’ai vibré devant la mer toujours recommencée à Acapulco, Bahia, et les côtes de Java et de Bornéo. J’ai revisité en rêve les jardins suspendus de Babylone, le phare d’Alexandrie, le colosse de Rhodes et les autres merveilles du monde. Je me suis envolé vers les cieux azurés et les côtes turquoises des régions méditerranéennes où la vie s’exhale et s’exalte sous le souffle de l’air marin. Mais nulle part ailleurs, je n’ai senti l’amour que j’éprouve pour Constantine, rebâtie par l’empereur romain Constantin, et dont le site se confond avec l’antique Cirta, capitale de la Numidie. Mes yeux se plaisent toujours à la contempler. Le vent qui vient de ses hauteurs pénètre dans ma poitrine avec une telle douceur que mon cœur se gonfle chaque fois que j’entends sa musique cachée dans les plis les plus profonds, les plus intimes de ses murs séculaires et de sa mémoire inaltérable. C’est la terre de mes aïeux, de Massinissa, de Jugurtha, de Saint-Augustin[1], de La Kahina[2], des beys Salah et Ahmed[3], d’Ibn Badis[4], de Kateb Yacine[5] et de Malek Haddad[6]. Pour moi, elle est toujours la plus belle et le joyau des villes, même si elle ne possède pas les saphirs d’Ispahan, les diamants de Cordoue ou les émeraudes de Boukhara. J’aime la contempler quand le lever du soleil colore son rocher escarpé d’un halo divin, et l’enveloppe de sa clarté matinale. J’aime son nom, ce poids de l’histoire qui lui confère sa prestigieuse renommée, ses ravins profonds, son incomparable médina, ses souks animés, la fierté de ses habitants, les chansons de Fergani[1], sa fine cuisine, le faste particulier de ses fêtes, la « mélaya[2] » constantinoise, enfin, son immortelle beauté. Oui, excusez encore une fois mon enthousiasme mais c’est cette vérité ou plutôt ce sont ces vérités qui emplissent tout mon être et m’amènent à cette irrésistible envie de vous parler sans cesse, de ma ville de cœur. Son seul aspect architectural ne manque pas de réveiller des sensations et des images évanescentes enfouies au fond de moi-même
[1] Fergani : Célèbre chanteur de Constantine, pratiquant surtout le malouf et les chansons andalouses, mélange de mélodies algériennes et d’influences musicales espagnoles.
[2] Mélaya : Vêtement féminin en forme de voile noir, porté par les femmes constantinoises, en souvenir de Salah Bey, et pour faire part de leur deuil.
[1] Saint-Augustin : Prêtre et évêque d’Hyppone, Natif de Madaure, près de Souk-Ahras. Docteur de l’Église romaine de l’époque.
[2] La Kahina : ou Dyhia, célèbre reine berbère.
[3] Bey Ahmed : Bey turc ayant commandé la région de Constantine, pendant le début de la conquête coloniale française.
[4] Ibn Badis : Intellectuel et religieux algérien.
[5] Kateb Yacine : Romancier algérien, auteur du livre Nedjma.
[6] Malek Haddad : Écrivain algérien, auteur de Je t’offrirai une gazelle.
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Posté par khalfi1 le 19 mars 2018
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