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Vacances de Christian au Brésil

Posté par khalfi1 le 30 juillet 2008

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Les frontières

Posté par khalfi1 le 29 juillet 2008

Je m’imagine être dans un satellite en dehors de l’atmosphère, en train d’observer la Terre, tout auréolée de bleu. Je la vois divisée en mers et continents. Il y a les Océans indien, pacifique, atlantique, arctique et antarctique. Et il y a les continents américain, asiatique, européen, africain et océanique. Avec des caméras à haute résolution, on peut apercevoir les villes, les plaines, les déserts, les pôles nord et sud, les chaînes montagneuses. Mais nulle part, je ne vois les frontières et les noms des pays qu’on découvre habituellement sur les cartes et les atlas confectionnés par les hommes.

Par exemple, j’ai beau scruter le Sahara, je n’arrive pas à distinguer les limites entre le Mali, le Niger, le Maroc, la Maurétanie, l’Algérie, la Tunisie… De même, j’ai concentré mon attention au maximum sur les Alpes, les Pyrénées, les Montagnes Rocheuses… impossible pour moi d’avoir une idée sur les véritables pourtours de la France, la Suisse, l’Italie, l’Espagne, les Etats-Unis, le Canada… On pourrait multiplier les exemples à profusion, sans qu’on ne parvienne à élucider ce mystère lequel au fond, n’en est pas un. Car tous ces pays n’ont rien de naturel et ne sont pas nés d’une génération spontanée. Leurs frontières ont été tracées artificiellement et découlent des guerres, des migrations, des invasions, des vicissitudes de l’histoire et des ambitions des hommes. L’être humain est un et indivisible. Mais sa manie des classifications l’a amené à diviser ses territoires en autant d’entités qu’il existe de langues, de coutumes, de religions, de « nationalismes », et de ce qu’on appelle les « identités ».

 Selon les scientifiques et les astronomes, il existe des milliards d’étoiles et de galaxies. L’univers est tellement infini qu’on en éprouve le vertige. J’espère tout au moins, si par hasard, il y a des systèmes solaires semblables au nôtre, que les habitants d’une autre Terre n’auraient pas commis la bêtise de se dresser les uns contre les autres et n’auraient pas  érigé autant de barrières entre eux.

 

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Visite de M Bouteflika à Bouira

Posté par khalfi1 le 27 juillet 2008

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Finie l’Algérie « pacifiée » où l’on pouvait aller « à pied de Maghnia à Tébessa !  Dix mille agents de sécurité ont été mobilisés pour la visite du président de la république Abdelaziz Bouteflika  dimanche dans la wilaya de Bouira.
Les services de sécurité ont travaillé un mois à préparer l’encadrement de cette visite et n’ont terminé leur travail qu’hier samedi.

 D’autre part, les forces de l’Armée Nationale Populaire déployées dans des zones montagneuses à travers la wilaya de Bouira seront aussi appelées à renforcer de leur présence ainsi que les agents de police et de gendarmerie. Selon Echourouk, les hélicoptères seront utilisés pour empêcher les terroristes de s’introduire au centre ville.  Par ailleurs, les services de sécurité ont renforcé les barrages à travers les issues de la ville, et les entrées des communes qu’inspectera le président. Les véhicules seront également soumis à un contrôle strict à l’aide de scanners de détection d’explosifs, ainsi que des chiens dressés.
Le président de la république ouvrira à cette occasion un tronçon important de l’autoroute est ouest qui s’étend sur 17 KM.
Il est à signaler que c’est la troisième visite officielle qu’effectue le président de la république dans la wilaya de Bouira depuis son élection à la tête de la présidence de la république.

Source : Le Matin

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Laryach plein de rythme

Posté par khalfi1 le 26 juillet 2008

On a bien envie de danser.

 

http://www.dailymotion.com/video/x4g9up

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Le riche et le pauvre

Posté par khalfi1 le 22 juillet 2008

Riches ou pauvres, ils vivent le même malaise social : Jeunes d’Algérie génération divisée

L’Algérie se déclinerait-elle en plusieurs versions ? Le fossé entre les classes sociales est plus flagrant chez les jeunes. Les deux planètes tournent pourtant autour d’un même astre : l’argent. Tandis qu’une catégorie de jeunes exhibe sa richesse avec frénésie, l’autre partie tente par tous les moyens de gagner du fric pour « se mettre à l’abri ». Entre les jet-setteurs du quartier « kitch » de Sidi Yahia et les gavroches d’Alger, il y aurait un fossé d’incompréhension. Adossé à un mur décrépi, un jeune gardien de parking édenté explique l’agressivité des jeunes de son quartier : « Vous êtes une fille de bonne famille, mais si on vous met avec des Indiens, vous deviendriez une junkie, comme eux.

Dans une meute de loups, un agneau ne peut survivre. » Révolté suite à une récente interpellation de la police, il enchaîne : « Si tu travailles, on te dit que c’est interdit. Si tu voles, on t’emmène en prison. On ne sait plus quoi faire. A chaque minute, un « flic » vient te demander tes papiers pour un examen de situation. Les voleurs sont à côté, mais ils préfèrent ne pas les voir. Ils nous utilisent pour boucher les trous, pour salir nos dossiers, pour qu’on soit des minables, comme les autres. »

De l’autre côté de la ville, Sidi Yahia, quartier de Hydra au charme évident, incarne l’opulence d’une partie de la population. C’est là que les grandes marques internationales ont choisi de s’implanter. Le quartier est habitué aux voitures rutilantes et restaurants bondés. La rumeur, que rien ne confirme, raconte que certains y dépenseraient jusqu’à « trois smig » par jour. « Oui, les gens ont de l’argent. Il y a beaucoup de nouveaux riches sans savoir-vivre. On les voit vadrouiller dans leurs voitures à moitié saoûls. Toute la jeunesse algérienne est en mal de repères », nous dit Doria, jeune cadre dans une banque privée rencontrée dans l’un des cafés de Sidi Yahia. Les deux jeunesses en seraient-elles au même point ? 

Dans la piscine Kiffan-Club près d’Alger, des jeunes se dorent au soleil. Ils espèrent que ce sera pour eux le dernier été dans leur pays. « Je préfère poursuivre mes études à l’étranger. Il y a trop d’agressions, trop de voyous. C’est devenu invivable ici », nous dit Wassil fraîchement diplômé de l’Institut national de commerce (INC). Ses amis se plaignent des « autres », devenus leur « enfer ». « J’aimerais pouvoir m’asseoir dans un parc et profiter de la nature. Hélas, c’est impossible. On nous pourrit la vie », s’exclame Imène. Elle voudrait, elle aussi, quitter l’Algérie emportant ses rêves pour seul bagage.

Il apparaît que malgré le clivage, les deux jeunesses partagent le même désir de partir. « Nous avons le même rêve, mais pas les mêmes ambitions », rectifie Wassil. Et de poursuivre : « Contrairement à eux, nous n’idéalisons pas l’étranger. Nous savons que ce n’est pas l’eldorado, nous sommes conscients que ce ne sera pas facile. » Pour Imène, « en Algérie, les jeunes ont plus de chances de gagner de l’argent. Ailleurs, ils pourraient enfin vivre. » « Si l’on veut gagner de l’argent, il vaut mieux rester en Algérie, mais pour ce qui est de la qualité de vie, il faut aller ailleurs », résume-t-elle. Dans un quartier de Belcourt, sous une chaleur de plomb, Mohamed, papa de quatre enfants, raconte sa vie passée en Espagne. « J’ai vécu deux ans en Espagne, c’était la belle vie. J’ai travaillé dans les vendanges, j’avais une certaine dignité. Ici, c’est différent », dit-il. « Si je pouvais, j’irai à cheval, à pied, à la nage… », lance Makhlouf.

Dans leurs discussions sur l’état actuel de l’Algérie, les jeunes de Belcourt parlent beaucoup de « ouledhoum », traduire : les enfants de ceux qui « tiennent » le pays. « Ils ont des tonnes d’argent, mais rien ne nous parvient. Ils préparent le terrain à leurs enfants. Si au moins ils nous donnaient de l’argent pour nous marier ou des visas pour nous casser d’ici », estime Rédha, technicien supérieur en informatique qui travaille en tant que gardien dans une entreprise publique. La perte de confiance dans les hommes politiques algériens est flagrante. « Les Ouyahia, Belkhadem, c’est notre dernier souci. Ils ne se sont jamais préoccupés de nous, ma chafouch fina, on leur rend la pareille », dit Fayçal, gardien de parking.

Par Amel Blidi

 

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L’édition

Posté par khalfi1 le 18 juillet 2008

En Algérie, l’édition se fait à la tête du client. Les auteurs qui sont édités font souvent partie de l’Union des écrivains et de comités de lecture soutenus par des institutions inféodées au pouvoir. C’est-à-dire que les maisons d’édition ne publient la plupart du temps, que des oeuvres entrant dans l’air du temps ou dictées par les ambitions hégémoniques d’un régime autoritaire. Ce qui est contradictoire dans tout cela, c’est que ces maisons ne sont même pas capables d’assurer une qualité du produit, dans tous les cas de figure, tant sur le plan des révisions, corrections, reformulations en adéquation avec les objectifs des auteurs. Que sur le plan des vraies attentes du public. Tout se fait non en fonction du goût du lecteur et du talent de l’écrivain, mais sur la base de la propagande promulgée par la presse et les médias totalement à la solde des puissances de l’argent et soumises à des orientations politiques. Bien sûr, mon but n’est pas de remettre en cause la notoriété d’auteurs algériens déjà reconnus même en France, bien avant l’indépendance ou juste après 1962 : Feraoun, Mammeri, Dib, Kateb, Haddad, Amrouche, Djebar, Sénac, Boudjedra, Djaout, Mimouni, Farès, Tenguour, Bounemeur,… Depuis longtemps, l’édition de leurs oeuvres se fait dans des maisons prestigieuses. Leur promotion s’est faite aussi à l’époque, par une presse indépendante et par des critiques de métier, versés dans l’art de séparer la bonne graine de l’ivraie.

Mais il semble qu’aujourd’hui, avec l’avènement d’Internet, les données ont complètement changé et font perdre son « latin », à l’édition traditionnelle habituée à régner sans partage sur les moyens d’expression par l’écriture. Toutes les frontières sur ce chapitre tendent à disparaître. On peut publier et éditer sur le Net, de façon presque instantanée ses écrits, sans attendre le bon vouloir d’éditeurs motivés plus par le commerce et la rentabilité, plus que par le désir de donner leur chance aux oeuvres littéraires dignes de ce nom.

En tout cas, les prémices d’une dépolarisation bénéfique et d’une plus grande liberté dans les moyens d’impression modernes donnent un sang nouveau et un souffle permanent à l’auto-édition. Elles encouragent les auteurs « en herbe » que nous sommes à donner libre cours à leur inspiration, et à s’affranchir des entraves et monopole exercés jusqu’ici par les autres moyens de diffusion dominé par les sponsors, le marketing et les « maladies » publicitaires.

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Malika Domrane

Posté par khalfi1 le 15 juillet 2008

Belle chanson kabyle de Malika Domrane, revêtue d’une robe qu’affectionnent les femmes de la région et existant depuis les temps les plus reculés. Cette tenue fait partie intégrante des traditions et coutumes locales. Rythme, mouvement et musicalité caractérisent cette mélodie pleine de souvenirs et d’évocations propres au terroir.

 

http://www.dailymotion.com/video/x160w0

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Nedjma-Kateb Yacine

Posté par khalfi1 le 11 juillet 2008

 

La providence avait voulu que deux villes de ma passion aient leurs ruines près d’elles, dans le même crépuscule d’été, à si peu de distance de Carthage ; nulle part n’existent deux villes pareilles, soeurs de splendeur et de désolation qui virent saccager Carthage et ma Salammbô disparaître, entre Constantine, la nuit de juin, le collier de jasmin noirci sous ma chemise, et Bône où je perdis le sommeil, pour avoir sacrifié le gouffre du Rhummel à une autre ville et un autre fleuve, sur les traces de la gazelle fourvoyée qui pouvait seule m’arracher à l’ombre des cèdres, du père tué à la veille de ma naissance, dans la grotte que moi seul pouvait voir de mon balcon, par delà les cimes embaumées, et je quittais avec le père de l’inconnue les ruines de Cirta pour les ruines d’Hippone. Peu importe qu’Hippone soit en disgrâce, Carthage ensevelie, Cirta en pénitence et Nedjma déflorée… La cité ne fleurit pas, le sang ne s’évapore qu’au moment de la chute : Carthage évanouie, Hippone ressuscitée, Cirta entre terre et ciel, la triple épave revenue au soleil couchant, la terre du Maghreb.

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Quand Romane s’y met.

Posté par khalfi1 le 10 juillet 2008

La littérature. Quand l’écrivain passe à l’audio. Ecoutons les paroles de Romane dans « cage de verre ».

 

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Les vacances

Posté par khalfi1 le 7 juillet 2008

http://video.google.com/videoplay?docid=-897985630697399479

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ABBA

Posté par khalfi1 le 6 juillet 2008

Abba – Mamma Mia
Vidéo envoyée par ABBA

Abba – Mamma Mia Pop – (C) 1975 Polar Music International AB Universal Music Division Polydor

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Ingrid Betancourt-Libre enfin!

Posté par khalfi1 le 4 juillet 2008

 

http://www.dailymotion.com/video/x60mbk

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Malika Mokeddem-La transe des insoumis

Posté par khalfi1 le 4 juillet 2008

 

Malika excelle dans l’art de la raison et de la déraison, dans cette volonté de presser les mots jusqu’à en extraire le jus ultime. Elle crée des univers liés à sa personne et aussi à ceux qui l’entourent. Elle dépasse la passion des mots pour construire des ambiances propres à elle, qui portent une empreinte à nulle autre pareille. Je crois que pour elle, l’écriture n’est pas seulement une façon de conjurer le sort, mais une voie pour affirmer sa propre existence. Saisie parfois par le doute et la marche inexorable du temps, elle trouve un refuge salutaire dans sa propre inspiration d’écrivain. Elle se ressource en quelque sorte, au contact des mots. En la lisant, on a l’impression de prendre un café très fort, le matin, et également, on se plaît à sa lecture, de voir naître en soi, cet amour des mots, des passions cachées et des émotions latentes.

«  J’émerge lentement de mon rêve, me demande par quel miracle, ce bout d’enfance a pu resurgir. Et pourquoi celui-ci ? J’ai regagné la maison après la journée de travail. Cette année 1994, le printemps avance à reculons. Un froid incisif se vrille dans Montpellier déjà tout en bourgeons. Les fleurs d’amandiers parsèment les jardins de leurs confettis. La lumière cristallise le ciel. »

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