Céline Dion
Posté par khalfi1 le 30 novembre 2008
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Posté par khalfi1 le 28 novembre 2008
Après la prise de Tunis en 1534 et dans le but de sécuriser ses positions méditerranéennes, Charles Quint décide, lors de la diète de Ratisbonne en 1541, de s’emparer d’Alger qui est devenue une véritable base corsaire sous la houlette des frères Arudj puis Khayr ad-Din Barberousse.
En octobre 1541, l’empereur réunit une flotte de plus de 65 vaisseaux de guerre, 451 navires de transport commandée par son l’amiral Andrea Doria, quoique ce dernier désapprouve une expédition à pareille époque de l’année. Alger était alors sous l’autorité d’un pacha intérimaire, nommé Hassan Agha, d’origine sarde et fils adoptif de Khayr ad-Din Barberousse, celui-ci étant devenu grand amiral de la flotte ottomane depuis 1538. Hassan Agha, renforce les fortifications, les arsenaux et fait raser les arbres autour des remparts. Après avoir débarqués sur la plage du Hamma, le 23 octobre, l’empereur installe son camp sur les hauteurs sur la colline du Coudiat saboune, au lieu-dit du marabout de Sidi Yacoub (futur Bordj Moulay el Hassen et Fort l’Empereur). La défense de la ville est assurée par mille cinq-cent janissaires et six mille maures réfugiés andalous et algériens, alors que l’expédition impériale est composée d’une troupe de 12300 matelots et 23000 combattants : 6000 espagnols et siciliens, 5000 italiens, 6000 allemands, 3000 volontaires de toutes nationalités, 150 chevaliers de Malte, 200 gardes de la Maison de l’Empereur, 150 officiers nobles dont le célèbre Hernan Cortes et 2000 cavaliers.
La journée du 24 octobre est marquée par des combats intenses sans qu’un quelconque avantage se dégage; le 25 octobre, en fin d’après-midi, un orage d’une violence inouïe éclate. La tempête va se déchainer toute la soirée et même la nuit entière. Au petit matin, la pluie ne cessant de tomber, rend inutilisable la poudre pour les canons et les arquebuses; plus de 140 navires sont fracassés sur la côte alors que des dizaines d’autre ont coulés à pic avec hommes et biens. Les troupes impériales sont alors décimées par les troupes d’Hassan Agha et les irréguliers venus des campagnes environnantes. L’armée impériale bat ensuite en retraite vers le Cap Matifou dès le 29 octobre, sur les conseils d’Andrea Doria.
La retraite est désastreuse pour les forces impériales car la route est coupée par une crue de l’oued El Harrach tandis que les troupes algéroises et irrégulières les harcèlent, leur occasionnant de grandes pertes – plus de 3000 morts. Les survivants arrivent le 1er novembre à Tamentfoust, où Andrea Doria s’était mis à l’abri avec la flotte rescapée. Les troupes de Charles Quint, lèvent l’encre le 2 novembre, et se réfugient à Béjaïa (Bougie), alors toujours aux mains des espagnols, qu’ils quitteront le 27 novembre pour l’Espagne. La défaite de l’Empereur sera accueillie avec une joie immense par la France et son roi, Francois 1er, alors ennemi déclaré du Habsbourg.
Après cette débâcle célèbre, qui est connue sous le nom de « désastre d’Alger », la ville va devenir la plus puissante des villes neuves de la Méditerranée. La Régence d’Alger, solidement établie, va durer trois siècles, jusqu’en 1830.
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Posté par khalfi1 le 22 novembre 2008
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Posté par khalfi1 le 21 novembre 2008
Je tiens à apporter quelques éléments supplémentaires glanés sur le Net, concernant l’oeuvre de Mohammed Dib intitulée « Qui se souvient de la mer« :
Alors que la trilogie algérienne de Mohammed Dib s’inscrivait encore dans une veine réaliste, son roman de 1962 intitulé Qui se souvient de la mer a accordé une place prépondérante aux rêves et à la mythologie. Loin d’échapper à l’histoire et de nier le réel, l’introduction de cette nouvelle forme d’écriture onirique a au contraire rendu possible la figuration d’enjeux socio-culturels soulevés par la guerre d’Algérie. À partir de l’homophonie existant entre la mère (maternelle) et la mer (maritime), Dib a ainsi introduit un imaginaire de la matière reliant sous une forme allégorique les discours sur la nation et la famille algériennes. C’est tout particulièrement lorsqu’il établit une tension dialectique entre les éléments primordiaux de l’eau et de la pierre que sa critique du colonialisme français dévoile le plus clairement certains archaïsmes paralysant la société algérienne et sa structure familiale traditionnelle. L’objectif principal de cet essai sera alors de questionner l’émancipation de la femme au sein du couple algérien à la lumière de la lutte révolutionnaire de libération nationale telle qu’elle transparaît dans le roman de Dib.
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Posté par khalfi1 le 17 novembre 2008
Leïla SEBBAR est née à Aflou (Hauts-plateaux algériens dans le département d’Oran) d’un père algérien et d’une mère française, instituteurs.
Aflou, où son père (jeune normalien de Bouzaréa, l’École Normale d’Instituteurs à Alger) est envoyé en relégation par le régime de Vichy.
Aflou, où sa mère découvre la steppe, après sa Dordogne natale. Ses père et mère se sont rencontrés à Bordeaux lors d’un voyage d’études de « l’instituteur indigène ».
1954. C’est le début de la guerre d’Algérie (guerre de libération nationale pour les Algériens). En 1957, son père est arrêté par l’armée française et incarcéré à Orléansville (aujourd’hui El Asnam) durant plusieurs mois. Ses père et mère vivent en Algérie jusqu’en 1968, puis à Nice.
En 1963, elle s’installe à Paris, où elle vit aujourd’hui. Diplômée de l’Éducation nationale, elle enseigne la littérature française tout en poursuivant son travail de recherche. Le mythe du bon nègre dans la littérature française coloniale au 18e siècle, sujet d’un doctorat de 3e cycle, publié sous forme d’essai en deux livraisons dans Les Temps Modernes, la revue de Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. En 1976, elle dirige, pour la même revue, un numéro spécial sur l’éducation des filles (18e au 20e siècle) avec d’autres femmes, écrivaines, universitaires, philosophes, sociologues, Petites filles en éducation.
Avant ses premiers textes de fiction, Leïla Sebbar publie des essais qui mêlent l’enquête de terrain à la réflexion : On tue les petites filles où elle donne un état des violences contre les petites filles (1978) et Le pédophile et la maman où elle met en question « l’amour » sexué et sexuel des adultes pour les enfants (1980). Avec Nancy Huston (elles ont travaillé ensemble dès 1976, Histoires d’Elles, Sorcières…) Leïla Sebbar dirige un numéro des Cahiers du Grif, revue de Françoise Collin : Recluses et vagabondes (1988) où des femmes, écrivaines et universitaires interrogent le statut des femmes dans la création littéraire et poétique. En 1986, Les lettres parisiennes, un échange de lettres sur l’exil avec Nancy Huston (après la publication au début des années 70 de Géographie de l’exil dans Les Temps Modernes) confirme la place de l’exil dans ses fictions, romans, nouvelles, récits, et sa place d’écrivaine dans l’exil.
En même temps qu’elle publie romans et nouvelles, Leïla Sebbar dirige des recueils collectifs de récits inédits d’écrivains qui explorent à la fois l’enfance et l’histoire coloniale et postcoloniale : Une enfance algérienne, Une enfance Outremer, Les Algériens au café, Mon père, C’était leur France… Elle poursuit cette forme de compagnonnage qu’elle définit comme une autobiographie collective avec la publication de livres qui associent l’image et le texte à la recherche du père « l’étranger bien-aimé » et du pays natal : Femmes d’Afrique du Nord, Cartes postales, 1895-1930 avec Christelle Taraud et Jean-Michel Belorgey, puis les carnets de voyages en France : Mes Algéries en France, préface de Michelle Perrot, Journal de mes Algéries en France (chez un éditeur excentrique, Bleu autour), dont on peut lire les suites sur le site de Carole Netter à Swarthmore, USA, qui édite aussi un Carnet de lectures où Leïla Sebbar peut, suivant ses caprices de lectrice et ses passions passagères, parler aussi bien de littérature contemporaine, de découvertes au cours de pérégrinations bouquinistes (par exemple la romancière Myriam Harry), de livres de jeunesse et de voyages dans les colonies avant les indépendances, grâce à la bibliothèque L’Heure joyeuse de Françoise Lévèque à Paris, des littératures de langue française, plurielles et fécondes.
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Posté par khalfi1 le 14 novembre 2008
http://www.dailymotion.com/video/ktQv2mJrL3CauQxfFa
Fille de l’ambassadeur et écrivain belge Patrick Nothomb, Amélie Nothomb est née au Japon, dans la ville de Kobé, le 13 août 1967. Profondément imprégnée par la culture nippone, celle-ci peut en effet se vanter d’être parfaitement bilingue dès l’âge de cinq ans. La jeune fille passe son enfance à suivre son père, de la Chine à la Birmanie en passant par New York ; une destinée d’expatriée et un sentiment de solitude qui l’incitent, petit à petit, à se replier sur elle-même.
Le débarquement en Belgique à l’âge de 17 ans, dans la patrie familiale, amplifie encore son mal-être. Se sentant rejetée dans sa nouvelle université où elle poursuit des études gréco-latines, elle découvre une culture et un mode de vie occidentaux qui lui avaient alors totalement échappés ; le choc est brutal.
C’est à partir de cette période qu’Amélie Nothomb commence à écrire, sans prétendre toutefois encore pouvoir vivre de sa plume. Elle continue en effet à chercher sa voie professionnelle, ce qui l’amène à retourner quelques temps au Japon. Auteur déjà de plus d’une vingtaine de manuscrits personnels, Amélie Nothomb décide de se lancer et publie à 25 ans son premier roman, Hygiène de l’assassin (1992), qui marque également son premier succès.
Véritable phénomène littéraire, la jeune femme enchaîne les publications à raison d’un livre par an, qui connaissent tous une impressionnante carrière commerciale. Le public apprécie le style romanesque et décalé de la jeune femme, toujours accompagné d’un humour subtil, mais qui le place directement face à ses pulsions intérieures. Parfois autobiographiques (Métaphysique des tubes) ou purement fictionnels (Les Catilinaires), ses romans sont nourris d’expériences personnelles mais qui pourraient être partager par tous.
Stupeur et tremblements (1999) marque un tournant dans la carrière de la jeune femme. Déjà en raison de son triomphe (plus de 500 000 exemplaires vendus, son plus gros succès actuel, couronné par le Grand prix du roman de l’Académie Française), mais aussi vis-à-vis de la perception de son métier d’écrivain. Plus sage, plus discrète, Amélie Nothomb se défend dès lors d’une certaine extravagance passée et fuit les médias hors-période de promotion. Celle-ci préfère désormais se concentrer sur son travail (au moins quatre heures par jour, et ce dès quatre heures du matin) et partir sur les routes à la rencontre de ses lecteurs.
Ses livres sont parfois transposés au cinéma, comme Hygiène de l’assassin en 1998 et Stupeur et tremblements en 2003, et pour lequel Sylvie Testud reçoit le César de la Meilleure actri ce. Il faudra patienter quelques mois encore pour connaître le successeur d’Antechrista, mais on peut d’ores et déjà vous dire que le manuscrit est prêt. En effet, Amélie Nothomb écrit environ trois livres par an, mais décide à chaque fois de n’en publier qu’un seul. Et de disparaître à nouveau ensuite…
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Posté par khalfi1 le 13 novembre 2008
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Posté par khalfi1 le 8 novembre 2008
Sketch comique et hilarant de l’actrice Bayouna, propriétaire d’un salon de coiffure dans cette pièce de théâtre. qu’elle veut qu’il soit toujours au premier plan de la mode féminine. S’en suit des dialogues caustiques et salaces entre les différentes actrices. L’épisode de la nouvelle mariée qui va épouser un gars de Tlemcen est plein de répliques piquantes et des plus amusantes. De même, l’apparition de la « Parisienne » plus préoccupée de la toilette et de la coiffure de sa chienne que de sa propre apparence, ajoute plus de grains à moudre aux scènes jouées.
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Posté par khalfi1 le 7 novembre 2008
Chakhchoukha de Biskra
Remarque :
Les feuilles de rougag doivent être coupées à la main en petits morceaux. Servez en mettant 2 poignées de rougag coupés en morceaux dans une assiette et arrosez avec la sauce, en ajoutant les légumes et la viande (à la manière du couscous).
Nombre de personnes : 6 à 8
Pour la pâte :
1 kg de semoule fine
300 g de farine
Eau
Sel
Huile
Pour la sauce :
1 kg de viande de mouton (épaule de préférence)
4 tomates
2 oignons secs
1 cuillère à soupe pleine de concentré de tomates
4 pommes de terre moyennes
500 g de courges (ou 4 courgettes)
2 poignées de pois chiches trempés la veille
2 cuillères à soupe d’huile
1 cuillère à soupe rase de paprika
1/2 cuillère à soupe de ras el hanout
1/2 cuillère à café de piment fort rouge en poudre
1/4 cuillère à café de poivre noir
1/2 cuillère à soupe de sel
1 piment vert
Dans une djefna (ou un grand plateau en bois), délayez le sel dans un peu d’eau. Ajoutez la semoule et la farine tamisées. Pétrissez la pâte assez dure au début, avec les paumes des mains, puis ajouter peu à peu l’eau en pétrissant, toujours avec les paumes des deux mains, jusqu’à ce que la pâte soit lisse et légère. Ensuite, recouvrez la pâte d’un linge propre et laissez-la reposer pendant 5 minutes environ. Reprenez la pâte et travaillez-la énergiquement pendant encore 5 minutes environ, en rajoutant de l’eau de temps en temps (quelques cuillères à soupe en une seule quantité à chaque fois). Huilez légèrement les mains afin que la pâte glisse facilement. Prenez la pâte de la main droite, formez un cercle avec le pouce et l’index de la main gauche et pressez la pâte pour en dégager une petite boule de la grosseur d’une mandarine. Huilez la surface d’un plateau et disposer les boulettes les unes à côté des autres. Laissez reposer un petit moment.
Entre temps, préparez la sauce : Dans une marmite mettez la viande coupée en morceaux. Hachez dessus les oignons en fines lamelles. Ajoutez 2 cuillères à soupe d’huile, 1/2 cuillère à soupe de sel, les épices et faites revenir pendant 10 minutes, en mélangeant en permanence avec une cuillère en bois. Ensuite, ajoutez les tomates préalablement pelées et passées à la moulinette, 1 cuillère à soupe bien pleine de concentré de tomates, ainsi que les pois chiches et le paprika. Mélangez le tout à l’aide d’une cuillère en bois, recouvrez d’eau et poursuivez la cuisson à feu doux, jusqu’à ce que la viande soit presque cuite. Ensuite, ajoutez les pommes de terre et les courges épluchées et coupées en quartiers. Lorsque les pommes de terre sont pratiquement cuites, ajoutez le piment vert percé à l’aide d’une fourchette.
Rajoutez de l’eau si nécessaire. Le niveau de la sauce ne doit pas diminuer. Goûter pour vérifier et rectifiez l’assaisonnement si nécessaire.
Pendant ce temps, huilez le milieu de la djefna ( sahfa ). Reprenez les boules de pâte, posez chaque boulette au milieu de la djefna huilée, étalez la boulette en feuille très mince, en trempant de temps à autre les doigts dans de l’huile. Prenez un coin de cette feuille avec la main droite et mettez sur le dos de la main gauche, prenez le deuxième coin de la main droite et posez délicatement cette feuille sur le tadjine huilé ou sur une plaque de fer huilée et préalablement chauffés à feu doux. Faites cuire pendant 20 à 30 secondes, sans laisser sécher. Tournez la feuille qui doit rester molle, mais cuite et en faisant attention à ne pas la brûler. Recommencez l’opération pour les autres boulettes, jusqu’à épuisement de la pâte. Au fur et à mesure de la cuisson disposez les feuilles de rougag les unes sur les autres. Dans un plat de service, coupez toutes les feuilles en morceaux. Mettez les morceaux de feuilles ainsi coupées dans un couscoussier et passer à la vapeur au-dessus de la sauce.
Disposez les morceaux de feuilles de rougag dans un grand plat, garnissez de morceaux de viande et de pois chiches, arrosez de la sauce de cuisson et servez.
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Posté par khalfi1 le 5 novembre 2008
Salué dans le monde entier comme un écrivain majeur, Yasmina Khadra est l’auteur, entre autres, de À quoi rêvent les loups, Les Hirondelles de Kaboul, L’Attentat (Prix des libraires 2006) et Les sirènes de Bagdad. Son œuvre est traduite dans trente-quatre pays.
« Accroupi sur un amas de pierraille, les bras autour des genoux, il regardait la brise enlacer la sveltesse des chaumes, se coucher dessus, y fourrager avec fébrilité. Les champs de blé ondoyaient comme la crinière de milliers de chevaux galopant à travers la plaine. C’était une vision identique à celle qu’offre la mer quand la houle l’engrosse. Et mon père souriait. Je ne me souviens pas de l’avoir vu sourire ; il n’était pas dans ses habitudes de laisser transparaître sa satisfaction – en avait-il eu vraiment ?… Forgé par les épreuves, le regard sans cesse aux abois, sa vie n’était qu’une interminable enfilade de déconvenues ; il se méfiait comme d’une teigne des volte-face d’un lendemain déloyal et insaisissable. » À dix ans, le narrateur vit sur un lopin de terre avec son père, sa mère et sa sœur cadette. Leur vie n’en est pas une : ils existent, et c’est tout. En ces années 1930 en Algérie, la misère et les épidémies déciment les familles et les cheptels. Les rescapés sont contraints à l’exode ou à la clochardisation. Lorsque leurs champs sont ravagés par un incendie criminel à trois jours du début d’une récolte prometteuse, le père est contraint d’hypothéquer ses terres. Ils partent à Oran. Il semble être écrit, quelque part, que le narrateur devra partir, toujours partir, et laisser derrière lui une part de lui-même. Grand roman de l’Algérie coloniale, Ce que le jour doit à la nuit est tout autant passionné que douloureux. Yasmina Khadra remonte le cours de l’Histoire et trouve les mots qui aident à la comprendre. Un magnifique récit qui s’adresse à tous les esprits curieux.
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