La fille au regard océan en format kindle
Posté par khalfi1 le 31 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 31 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 27 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 27 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 20 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 18 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 12 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 11 juillet 2017
Participe au concours organisé par Amazon.fr, « Les plumes francophones » Mot-clé » : concourskdp2017
Les appréciations et les avis seront les bienvenus.
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Posté par khalfi1 le 11 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 6 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 5 juillet 2017
NEWSLETTER216 Le 01 Juillet 2017 |
L’Édito |
Je le lis, je le vis
Se soigner par les les livres ou « biblio-thérapie », c’est peut-être un remède de cheval ?La célèbre revue Américaine « Annual Review of Psychology » publie en 2016 une information plutôt étonnante. A partir de scanners du cerveau, la conclusion est simple : la lecture ou « vivre en réel une expérience », active des zones cérébrales identiques. Les circuits neuronaux ainsi sollicités lors de la lecture d’un roman ou d’une poésie augmenteraient du même coup nos capacités d’adaptations sociales, notre aptitude à comprendre ceux que les autres sentent ou comprennent. Lire un bon roman est un stimulateur de réalité.C’est ce que déclare Alain de Botton auteur de « Comment Proust peut changer votre vie… ». En un mot, selon lui, et études à l’appui, un livre nous permet de vivre les émotions que la vie ne nous permet pas de vivre », c’est un agitateur de notre vie intérieure, une salle de muscle pour nos émotions. La biblio-thérapie aurait-elle une place à côté des calmants et des pilules du bonheur ?La bibliothérapie, cette discipline lancée au lendemain de la première guerre mondiale pour « soigner » les traumatisés de la violence et de la mort de la Grande guerre a trouvé son creuset aux Etats Unis. Peu répandue en France, elle se heurte à nos préjugés
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Sélection monBestSeller | ||||||||||||||||||||||||||||
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Posté par khalfi1 le 5 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 3 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 3 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 2 juillet 2017
Extrait du récit par les Capitaines du Génie ROZET et Carette (1833)
« La Métidja est une vaste plaine, comprise entre la masse de collines dont nous venons de parler et la chaîne du petit Atlas, qui s’étend parallèlement à la mer, sur une longueur de vingt lieux et dont la largeur varie entre quatre et cinq. Elle est traversée par plusieurs rivières (l’oued Jer, l’Arrach, l’Amise..etc) et un grand nombre de ruisseaux. Quelques portions de cette plaine sont marécageuses et inhabitables ; mais la plus grande partie de la surface du sol est très saine et susceptible d’une grande fertilité. Les meilleures contrées sont habitées par des tribus arabes qui vivent sous des tentes ou dans des cabanes faites avec des branches d’arbres et de roseaux. Ces tribus possèdent de nombreux troupeaux qui forment leur plus grande richesse.
On aperçoit ça et là quelques fermes construites en maçonnerie, qui appartenaient au dey et aux grands dignitaires de l’Etat. Autour de plusieurs, il y a de fort beaux vergers d’orangers, de plantations d’oliviers, et toujours une certaine étendue de terrain plus ou moins bien cultivée.
Bélida, située sur le bord de la Métidja, au pied du petit Atlas, à onze lieux S-O, d’Alger, est construite dans le même genre que cette dernière ville, seulement les maisons sont beaucoup moins hautes ; elles n’ont généralement qu’un rez-de-chaussée. Les minarets des quatre mosquées de Bélida apparaissant de loin au milieu d’une forêt d’orangers, formée par les vergers qui l’entourent et dont l’aspect présente le coup d’oeil le plus ravissant.
Les rues de cette ville sont plus larges et mieux percées que celles d’Alger ; mais la moitié sont encombrées de ruines ; résultat d’un tremblement de terre qui la détruisit en partie dans l’année 1825. A en juger par le nombre de maisons, Bélida pouvait renfermer à cette époque, 6000 à 7000 âmes. En 1830, il en avait à peine 4000, Maures, Turcs, très peu d’Arabes et 60 familles juives. Les habitants de Bélida cultivent leurs vergers et les premiers contre-forts de l’Atlas garnis de vignes et de champs superbes, au milieu desquels on remarque une grande quantité d’arbres…
… La plus grande partie du versant nord du petit Atlas, qui borde la Métidja, est couverte de broussailles et de mauvais bois, composés de chênes verts et de lièges.
Dans le voisinage de Bélida, les vallées et les vallons de ces montagnes sont cultivées jusqu’à près de 1000 mètres d’élévation au-dessus de la mer ; on y rencontre tous nos arbres fruitiers de l’Europe, et même des orangers et des agaves.
… La route de Bélida à Médéya, qui traverse la chaîne du petit Atlas, à trois lieux à l’ouest de la première ville, dans la tribu des Mouzaya, serpente au milieu d’un terrain aride ou couvert de mauvaises forêts. On aperçoit ça et là, dans le fond des vallées, quelques cabanes autour desquelles se trouve un petit espace cultivé…
… Médéya, située entre les deux Atlas, à 22 lieux S, S-O. d’Alger, est bâtie sur une petite colline escarpée à l’O, et penchant légèrement vers l’orient… Un bel aqueduc à deux rangs d’arcades, et sous lequel on passe en venant d’Alger, conduit dans la ville une eau excellente qui alimente de nombreuses fontaines…
… L’aspect de Médéya diffère complètement des villes de la côte ; les maisons sont couvertes en tuiles creuses, et ne sont point blanchies à la chaux. Les agaves, les orangers ont entièrement disparu ; la campagne est couverte de vignes et de champs cultivés, entourés de haies d’épines, et dans lesquels sont plantés des pommiers, des poiriers, des pruniers,etc. On se croirait être en France, dans les montagnes de la Bourgogne.
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