Marie Christine
Posté par khalfi1 le 31 décembre 2019
Posté par khalfi1 le 31 décembre 2019
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Posté par khalfi1 le 29 décembre 2019
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Posté par khalfi1 le 26 décembre 2019
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Posté par khalfi1 le 26 décembre 2019
Roman bientôt disponible sur les sites des éditions Publiwiz, Spinelle, la FNAC, Amazon et diverses librairies en France.
Marie Christine est une femme sportive, épanouie, aimant la vie et une existence paisible. Elle fait régulièrement du Jogging dans la forêt de Fontainebleau, près de Paris. Ses fonctions d'éducatrice et d'enseignante dans une école de la même ville.
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Posté par khalfi1 le 15 décembre 2019
C’est en forgeant qu’on devient forgeron. C’est par la pratique qu’on s’initie aux règles de l’écriture, et surtout qu’on s’expose aux talents de la littérature. Comment progresser si l’on n’a pas de référence voire de réfèrent.
Un apprenti pâtissier qui ne goûterait jamais de gâteaux, a peu de chances de s’exposer au savoir faire de ses congénères, peu de chance de connaître les bons alliages et les nouvelles saveurs, peu de chances de découvrir les subtilités des modes de cuisson…Et beaucoup de chances de redécouvrir la roue : le beurre, la crème et le chocolat, c’est bon. En bref il aura à redécouvrir ce qui l’a déjà été : les acquis.
Concrètement, les auteurs qui ne lisent pas auront à perdre beaucoup de temps pour accéder à un standard déjà acquis par nombre d’écrivains. Dans tous les domaines artistiques et culturels, il faut se nourrir du travail de ses pairs, ne serait ce que pour se repérer soi même par rapport à un étalon.
Il y a eu Shakespeare, Molière, Zola, Voltaire, Proust, Baudelaire, Cervantès, Goethe, Gogol, Dante et vous.
Goûter aux grands écrivains, c’est prendre une grande leçon d’humilité. Pas une humilité qui doit vous inhiber, mais une humilité qui doit renforcer le niveau d’exigence que vous vous imposez, et qui doit aussi vous aider à mesurer la quantité de travail à fournir pour les atteindre.
Si vous avez des difficultés à lire, entrez par un genre littéraire qui vous séduit.
Policier, Fantasy, Poésie, Jeunesse, roman… selon votre sensibilité, vous découvrirez à travers votre genre de prédilection la relation particulière entre la lecture et l’écriture…
Le « devoir » qui consiste à lire les « grands classiques » peut au contraire devenir un « mur » qui vous éloignera pour longtemps du goût de la lecture.
Contribuer à un genre littéraire qui vous sied, est certainement un moteur, un déclencheur pour fixer vos standards d’écriture et d’exigence. Car ce que vous lisez, vous devez avoir envie de le lire. Lire sans plaisir et sans vibration est contreproductif. Car c’est la passion qui anime, et sortir d’un livre qui vous a fait de vous » un autre » est le moyen le plus sûr d’élever son niveau et de progresser.
Ah oui, adieu les puristes, sauf si vous écrivez pour vous même (soyez clair), vous écrivez pour être lu.
Il faut lire, mais il faut lire activement. Si vous écrivez dans un genre littéraire bien précis, les lecteurs attendront une série de codes propres au genre littéraire que vous aurez élu, sauf si vous êtes un génie (et dans ce cas, cet article est inutile), mais les accidents sont rares.
Mais plus encore, il faut connaître la littérature porteuse de ventes. Goncourt, Renaudot, Médicis et les quelques Best-sellers qui font tourner le commerce du livre. Et ne vous enfermez pas dans une tour d’ivoire, il faut aller au lecteur, connaître ses goûts, le comprendre. Votre volonté d’écrire, si elle ne tient pas qu’à des raisons propres à vous consiste à rencontrer le lecteur et le séduire.
En tant qu’écrivain ou écrivant. La valeur d’attention à ses lectures doit être supérieure à celle d’un lecteur lambda. Certes, il faut se laisser prendre par le plaisir de lire, mais il faut aussi savoir « apprécier sa lecture, l’évaluer »
Savoir s’arrêter, faire une pause, relire, revenir sur un passage. Découvrir et comprendre ce qui nous plait, ce qui nous émeut. Le style, le ton, les personnages, l’intrigue, le rythme.
La lecture attentive permet l’appréhension des techniques de construction narrative, la compréhension des niveaux de lecture. Car les bons écrits portent souvent en eux une part d’ambiguïté : analyser, s’inspirer, transposer ou au contraire s’éloigner, garder en mémoire. Mais avant tout comprendre ce qui vous plaît et ce qui ne vous plaît pas…
Plus cérébral, la structure du livre dans son entier doit être évaluée. En particulier le phénomène de cohésion de tout ce qui compose le livre (personnages, rythme, style, syntaxe, dialogue). Comprendre en quoi cette cohésion nous plait, en quoi elle est aspirante. En quoi elle a peut avoir une influence sur votre travail et votre identité d’auteur.
En bref : quand vous écrivez, votre lecture de plaisir doit aussi être une lecture analytique, une lecture consciente qui s’inscrit dans la compréhension d’un mouvement, d’un esprit, d’un courant. Tout simplement pour comprendre quel type d’auteur vous êtes et ou réside votre talent.
Car votre capacité à écrire naît de vos lectures. Elles vous tendent un miroir.
Mais attention : prendre en référence ne veut pas dire plagier ou copier
Pas dans l’emprunt d’un style : car le style, c’est cela qui définira définitivement votre patte d’auteur et c’est votre tampon, votre signature.
Mais attention, le style s’impose à force d’écrire. C’est la pratique de l’écriture qui le forgera. Dans ce cadre, la notion de temps, d’expérience est essentielle. Et votre personnalité n’apparaîtra qu’au fil d’une pratique assidue.
Tout comme la lecture, l’écriture se pratique seul. Et cette solitude sans baromètre peut conduire à des dérives. D’abord celle de ne plus avoir de regard sur votre travail, puis celle d’évoluer dans l’inconnu sans une présence qui vous soutient dans la dynamique de l’écriture.
Les méthodes américaines, toutes critiquables qu’elles soient, ont le mérite d’exister et de fonctionner pour nombre d’entre nous. Celle ci consiste à prendre un auteur réfèrent naturel. Cela peut soutenir moralement un écrivain en phase de travail et lui permettre de formaliser concrètement ses objectifs par une comparaison permanente (un benchmark) entre son travail et l’auteur auquel il se réfère.
Ce réfèrent qu’on considère comme un « auteur/ tuteur » , (choisi parmi l’un de vos auteurs favoris) donnera à l’auteur le sentiment d’être accompagné dans son acte d’écriture et surtout de modéliser concrètement son texte avec des exemples.
Comment cet auteur a t’il réussi à rendre ce « non événement » intéressant ? Comment est-il parvenu à donner de la densité à ses personnages ? Pourquoi fait-il passer 10 ans en une page, et un mois en 100 pages ? Pourquoi cette longue description n’est-elle pas ennuyeuse ?
Cela vous permettra à la fois d’avoir un modèle (que vous admirez) et un standard auquel se confronter.
Car peut être qu’en littérature, comme en gastronomie, nous sommes ce que nous lisons.
Mais le statut d’écrivain consiste t’il uniquement à avoir lu ce qui est important. Il ne faut pas bien sûr que l’on lise avec comme unique objectif d’en tirer des qualités de style et de structure pour sa propre écriture ? Dans ce cas comment la lecture interfère t’-elle exactement au moment de la conception d’un texte ? Et à quel stade ? Sans doute l’inconscient joue t’il un rôle ?
Et la pratique de l’écriture assidue est peut être le seul moment d’éveil à cette connaissance et référence à ce que nous avons lu. Dans ce cas, l’écriture serait elle même un stimulant pour l’écriture et son optimisation. Tout est une question de dosage.
Qu’il s’agisse d’écrire vos souvenirs de famille, un drame personnel, un essai philosophique, un roman, les exigences de lecture diffèreront et devront s’orienter le genre littéraire de prédilection.
1-Pour avoir des standards de référence : mieux vaut avoir lu Verlaine si vous pensez avoir la plume d’un poète.
2- Pour maitriser les techniques narratives, la qualité de structure d’un roman si vous vous sentez romancier.
3- Pour s’appuyer sur des techniques éprouvées : construction d’un personnage, utilité et fluidité des dialogues, si vous cherchez la justesse et l’équilibre de vos écrits.
4- Pour comprendre la « vastitude » de l’imagination et de l’univers des auteurs. Tout cela pour aérer l’esprit et oxygéner vos recherches et votre imagination, sortir d’un milieu restreint et étriqué. (argument à débattre)
5- Pour maîtriser l’art de l’intrigue.
Dans ce cadre, toutes les lectures de tous les genres littéraires sont utiles. Même les mauvaises, elles vous apprendront elles aussi à détecter ce qu’il ne faut pas faire
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Posté par khalfi1 le 6 décembre 2019
Le manque de transition intelligente entre les paragraphes, la rationalité des écrits, le manque de clarté de l’histoire, une confusion entre les situations et les personnages, les actions des principaux protagonistes sans queue ni tête, les fins de récits en queue de poisson.
— khalfi (@aminelicia) December 6, 2019
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Posté par khalfi1 le 6 décembre 2019
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Posté par khalfi1 le 4 décembre 2019
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Posté par khalfi1 le 2 décembre 2019
“La France peut mieux faire”. Tel est le constat tiré par l’Institut économique Molinari (IEM) qui, dans une étude publiée ce lundi 2 décembre, a évalué le système d’éducation et de formation français en comparant ses performances à celles de ses voisins européens. Et les 155 milliards d’euros investis chaque année ne suffisent pas pour permettre à l’Hexagone de se hisser parmi les meilleurs élèves. Classée 17e sur 27 pays européens étudiés, la France se situe loin derrière des pays du Nord comme la Finlande alors que ses dépenses sont supérieures de 27%.
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Outre le fait que la France ne parvient toujours pas à réduire les inégalités de réussite scolaire entre les élèves issus de différents milieux sociaux, l’IEM juge sévèrement son système éducatif qu’elle considère généralement inefficace et surtout en inadéquation avec le monde du travail. Pour preuve, alors que l’Hexagone compte plus de diplômés de l’enseignement supérieur que la moyenne européenne (45,21%, contre 38,7%), leur taux d’emploi est plus faible : 79,2%, contre 81,9% pour l’Union européenne. Une bien mauvaise performance, d’autant que des pays qui dépensent presque autant que la France, comme les Pays-Bas et le Royaume-Uni affichent un taux d’emploi des élèves de l’enseignement supérieur de 90% ! L’étude souligne aussi que dans plusieurs secteurs, en France, le nombre de personnes surqualifiées par rapport à l’emploi qu’elles occupent est supérieur à la moyenne européenne. Par exemple, 13,5% des emplois scientifiques et techniques sont occupés par des personnes surqualifiées, contre 7,5% en moyenne sur le Vieux continent.
“La volonté de conduire la majorité des étudiants jusqu’au baccalauréat général se traduit par une sous-utilisation de l’apprentissage, pourtant plus efficace que l’enseignement professionnel pour trouver un emploi”, estime l’IEM. “Plus grave encore cette stratégie réduit dans les faits la possibilité pour les élèves n’appréciant pas le système scolaire de se tourner vers un parcours professionnalisant”. Ce qui expliquerait en partie, selon l’étude, le taux de jeunes ni scolarisé, ni employé, ni en formation qui atteint le chiffre impressionnant de 13% dans l’Hexagone.
Selon l’IEM, si la France prenait davantage exemple sur les pays qui préparent le mieux les élèves vers le marché de l’emploi, comme la Finlande, l’Islande, ou la Norvège, elle pourrait économiser jusqu’à 43 milliards d’euros. Contrairement à l’Hexagone, ces pays valorisent beaucoup les cursus professionnalisants, notamment l’apprentissage, et prônent une forte autonomie des enseignants, c’est-à-dire plus de liberté dans le contenu de leurs cours, le choix des supports et des méthodes, mais également dans les modalités d’évaluation des élèves.
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Posté par khalfi1 le 2 décembre 2019
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