Mangala, fille des Indes.

Posté par khalfi1 le 21 avril 2020

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Wonder Women

Posté par khalfi1 le 19 octobre 2017

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Musique de Zorba le Grec

Posté par khalfi1 le 29 janvier 2016

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Un film

Posté par khalfi1 le 28 novembre 2011

Melancholia : un grand Von Trier

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Publié le Samedi, 26 Novembre 2011 09:20

Par Candice Nicolas (Correspondante à Los Angeles du BSC NEWS) – BSCNEWS.FR / Le dernier Van Trier a déjà fait beaucoup parler de lui, au festival de Cannes notamment, puisque, d’un extrême à l’autre, il a vu son actrice principale remporter le prix d’interprétation féminine, et son réalisateur se faire congédier par la grande porte. Melancholia est un film sur la fin du monde qui en dit long sur nos peurs et nos fantasmes, sur nos vieilles institutions et nos futilités tellement humaines.

Une ouverture magistrale, symphonie Wagnérienne en vert et au ralenti, introduit une Kirsten Dunst (sans surprise), tantôt en jean t-shirt, tantôt en robe de mariée, attachée à sa nature de femme, au cœur de la nature même. Une entrée en matière succulente où la photographie fait des miracles et le cinéma confirme sa magie. Puis, un Von Trier, comme on l’attendait avec les ingrédients qui font qu’on l’adore ou qu’on le déteste, caméra à l’épaule, gros plans sur la famille dysfonctionnelle, les relations sadomasochistes, le tout sur un fond de dépression, agrémenté de crise de nerfs et de crises de larmes. Le premier chapitre nous relate les noces de Justine, la mariée dépressive, et Michael, un jeune époux qui y croit, le temps de la cérémonie, un petit tour et puis s’en va à l’aube. Le mariage, qui ne tient même pas jusqu’à la catastrophe et qui rappelle vaguement celui de 5×2 de François Ozon (2004), se tient dans la propriété du très riche John (Kiefer Sutherland, impressionnant), mari de la sœur aînée de Justine, Claire (Charlotte Gainsbourg, impeccable) qui gère la réception, les invités, et apparemment la vie de sa sœur, incapable de faire quoi que ce soit. Alors que Justine semble dénuée de tout sentiment, Claire, est en lutte avec un trop plein d’entre eux ; leur maman est exécrable (Charlotte Rampling, parfaite), leur père volage n’est pas méchant mais semble indifférent aux malheurs d’autrui. Un premier chapitre qui laisse donc à désirer, non parce qu’il dérange de vérité, mais parce qu’il met en scène des personnages, caricatures d’êtres humains et qu’il est difficile d’accrocher à leur histoire. La seconde partie du film est, elle, plus prenante, elle se concentre sur la descente aux Enfers de Claire, qui semblait la plus forte, la plus courageuse et la plus raisonnable des deux sœurs. La dépression a complètement conquis Justine qui vient s’écrouler chez elle, et elle tente de lui redonner gout à la vie, bien que, ironie totale, la fin du monde soit proche. En effet, Melancholia, une planète ennemie, menace de percuter la terre. John réconforte tant bien que mal son épouse, alors que leur fils se prend d’amitié pour sa tata dégénérée. La relation entre les personnages, tous parents, s’intensifie, se crédibilise. On attend avec les jeunes femmes l’impact fatal. Le monde mérite sa fin, et les hommes n’en parlons pas ; Justine nous le dit, John nous le prouve. A suivre ! Et à noter, au niveau du jeu, une Kirsten Dunst aussi émouvante que dans Virgin Suicide, autant dire qu’il faut aimer le genre, par contre, une interprétation magistrale de Gainsbourg, à se demander si on a donné la palme à sa cadette parce qu’on ne pouvait pas la lui donner deux fois de suite. Un fils Sutherland que l’on découvre, et que l’on apprécie dans son rôle de mari prévenant et pourtant aussi imparfait que les autres. Melancholia est donc un film à voir parce qu’il est inégal et imparfait, parce qu’il met en scène la petitesse des choses et la bassesse des hommes, parce que malgré ses longueurs et ses lenteurs, il reste un grand Von Trier, un tableau de la condition humaine sur fond de médiocrité inhérente, exaspérante et attachante.

Candice Nicolas est la correspondante à Los Angeles du BSC NEWS

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Il était une fois dans l’ouest

Posté par khalfi1 le 3 septembre 2011

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Fred Astaire et Rita Hayworth

Posté par khalfi1 le 12 mars 2010

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Farid El Atrache

Posté par khalfi1 le 6 avril 2009

Farid El Atrache est un auteur, compositeur, interprète, virtuose de l’oud (guitare) et acteur syrien. Avec Oum Kalthoum, Fayrouz, Mohammed Abdel Wahab et Abdel Halim Hafez, il est le plus important nom de la musique arabe du XXe siècle. Il joue dans 31 films et enregistre 350 chansons.

 

Pourquoi ton coeur est resté de pierre

Pourtant, je t’ai écrit un poème sur les feuilles du sucrier.

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Sketch de Bayouna

Posté par khalfi1 le 8 novembre 2008

Sketch comique et hilarant de l’actrice Bayouna, propriétaire d’un salon de coiffure dans cette pièce de théâtre. qu’elle veut qu’il soit toujours au premier plan de la mode féminine. S’en suit des dialogues caustiques et salaces entre les différentes actrices. L’épisode de la nouvelle mariée qui va épouser un gars de Tlemcen est plein de répliques piquantes et des plus amusantes. De même, l’apparition de la « Parisienne » plus préoccupée de la toilette et de la coiffure de sa chienne que de sa propre apparence, ajoute plus de grains à moudre aux scènes jouées.
 

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Zorba le Grec

Posté par khalfi1 le 9 mai 2008

Une guitare qui chante et qui danse avec Anthony Quinn. Musique:Mikis Theodorakis

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La misère des travailleurs

Posté par khalfi1 le 29 avril 2008

Ce soir sur Arte

 

La mort du travailleur

Réalisé par : Michael Glawogger

En Ukraine, en Indonésie, au Nigéria, au Pakistan et en Chine, des hommes endurent les pires conditions de travail pour gagner simplement de quoi survivre. Des mineurs ukrainiens au chômage arrachent en rampant quelques seaux de charbon à des filons épuisés. A l’est de Java, d’autres damnés de la terre exploitent le soufre au coeur d’un volcan en activité. Les tueurs d’un abattoir nigérian se disputent les clients au milieu des carcasses brûlées. Les démolisseurs d’épaves pakistanais démantèlent à main nue de vieux cargos. Des ouvriers sidérurgistes chinois redoutent l’implantation d’une nouvelle unité ultramoderne.



 

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Les débuts du cinéma

Posté par khalfi1 le 20 avril 2008

 

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Utilisant la technique mise au point par Louis Lumière en 1895, Geoges Méliès tourne ses premiers films à compter de 1897. Avant 1914, d’autres metteurs en scène commencent à se signaler : Max Abel Gance, Léance Perret. Puis viennent Jacques Feyder, Marcel L’herbier, Louis Delluc, René Clair, tandis que le succès de Charlie Chaplin se répand en France (ses premières bandes datent de 1915). Avec Bunuel et Dali (Un chien andalou, 1928), ou Cocteau (Le sang d’un poète, 1931), le cinéma participe au mouvement surréaliste. Mais en même temps, la sonorisation menace d’en faire un théâtre filmé; il saura pourtant surmonter cette crise et tirer des effets heureux des correspondances entre la musique et les images.

Précieux auxiliaire de la littérature, lorsqu’il sait illustrer de grandes oeuvres sans les trahir, et inciter un vaste public à les lire, le cinéma exerce à son tour son influence sur le roman, qui s’inspire parfois de l’optique, du découpage des séquences cinématographiques. Et surtout il accède à une poésie autonome. Il a pu rivaliser avec la peinture comme en témoignent la Kermesse Héroïque de Jacques Feyder,et, avec l’appoint de la couleur, Le fleuve de Jean Renoir (fils du grand peintre). La carrière de metteur en scène ouvre des perspectives nouvelles sur la notion de création, car elle suppose la coordination d’activités très diverses auxquelles il s’agit de donner du style. Le cinéma devient le septième art avec cette convergence des techniques, des arts et de la littérature qui restera peut-être l’un des caractères de notre temps.

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