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Musique douce chaabi cadencée.

Posté par khalfi1 le 30 octobre 2014

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Musique chaabi algérois.

Posté par khalfi1 le 30 octobre 2014

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L’atelier d’écriture.

Posté par khalfi1 le 17 octobre 2014

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Une bonne définition de la littérature.

Posté par khalfi1 le 16 octobre 2014

Cliquez.

La littérature.

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Prix Nobel de littérature 2014

Posté par khalfi1 le 11 octobre 2014

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Prix Nobel de littérature 2014.

Posté par khalfi1 le 9 octobre 2014

L’an passé, le Saint-Graal des écrivains avait distingué Alice Munro, grande dame de la littérature canadienne. 

Cette fois-ci, changement de cap, et cap sur la France : six ans après Jean-Marie Gustave Le Clézio, le 111e lauréat du prix Nobel de littérature se nomme… Patrick Modiano. 

A près de 70 ans (il est né en 1945 à Boulogne-Billancourt), on se dit en contemplant son palmarès personnel que c’est à peu près l’un des seuls prix littéraires qui manquaient à l’auteur de l’inoubliable «Dora Bruder»: prix Roger-Nimier avec «la Place de l’Etoile» (1968), Grand prix de l’Académie française avec «les Boulevards de ceinture» (1972), prix Goncourt avec «Rue des boutiques obscures» (1978), prix Prince Pierre de Monaco 1984, Grand prix Paul-Morand en 2000 et prix mondial Cino Del Duca 2010 pour l’ensemble de son oeuvre

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Une compétition serrée pour le Prix Goncourt.

Posté par khalfi1 le 7 octobre 2014

Actualité > Bibliobs > Sur le sentier des prix > Goncourt 2014 : les 8 romans qui restent en piste

Goncourt 2014 : les 8 romans qui restent en piste

BibliObs

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Publié le 07-10-2014 à 13h38Mis à jour à 13h46

L’Académie des Dix vient d’annoncer, chez Drouant, sa deuxième sélection. Après certains choix un peu curieux.

Le jour du Goncourt, en 2012. (Nicolas Guégan) Le jour du Goncourt, en 2012. (Nicolas Guégan)

Ça y est, les jurés Goncourt ont fait un peu de ménage. Après avoir publié début septembre une première liste de 15 romans, ils viennent d’en sortir une nouvelle qui n’en compte plus que 8.

Elle est cruelle pour les débutants : Adrien Bosc, cité à peu près pour tous les autres prix de la saison, a disparu. Mathias Menegoz aussi, avec son gros roman d’aventures dans les Carpates. Reste l’Algérien Kamel Daoud qui, avec sa réécriture de « l’Etranger » de Camus, a déjà remporté le prix des Cinq Continents l’autre jour.

Sans grande surprise, Grégoire Delacourt, mais aussi Fouad Laroui et Gilles Martin-Chauffier, par ailleurs en piste pour le Renaudot, ont également été trappés.

Il peut sembler assez curieux que «la Peau de l’ours», fable à la fois poignante et très fine de Joy Sorman sur la frontière qui nous sépare de l’animal, ait subi le même sort. Mais le plus injuste, au fond, reste sans doute l’élimination d’un des meilleurs livres de la saison: c’est «Tristesse de la terre», excellent essai biographique d’Eric Vuillard sur Buffalo Bill et la naissance de la société du spectacle.

Bien sûr, tous ceux-là gardent théoriquement leurs chances pour le Goncourt des Lycéens. N’empêche. La logique du vote aboutit parfois à des résultats étonnants. En l’occurrence, le futur lauréat figure bien dans cette liste-là, où l’on trouve aussi bien David Foenkinos qu’Eric Reinhardt, toujours en position de favori.

Les 8 romans qui restent en piste pour le Goncourt

♦ Kamel Daoud, « Meursault, contre-enquête » (Actes Sud)

♦ Pauline Dreyfus, « Ce sont des choses qui arrivent » (Grasset)

♦ Clara Dupont-Monod, « Le roi disait que j’étais diable » (Grasset)

♦ Benoît Duteurtre, « L’Ordinateur du paradis » (Gallimard)

♦ David Foenkinos, « Charlotte » (Gallimard)

♦ Éric Reinhardt, « L’Amour et les Forêts » (Gallimard)

♦ Emmanuel Ruben, « La Ligne des glaces » (Rivages)

♦ Lydie Salvayre, « Pas pleurer » (Seuil)

Dernière sélection le 28 octobre. Et lauréat le 5 novembre, pour succéder à l’«Au revoir là-haut» de Pierre Lemaître.

G.L.

PS. Les critiques parues dans « l’Obs » et sur le site sont indiquées par des liens. Les autres étaient ou sont à lire dans les pages littéraires du magazine.

Une compétition serrée pour le Prix Goncourt. dans culture

Sur le web: Et si on repoussait la rentrée littéraire ?
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Sur le sentier des prix

10 romans sélectionnés pour le Grand prix de l’Académie française Prix de la Page 111 : les 8 pages sélectionnées Prix Femina : le jury sélectionne 27 romans… et boycotte l’hôtel Meurice Alison Bechdel reçoit la bourse du Génie : 625.000 dollars

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Une lettre à Hugo Chavez

Posté par khalfi1 le 6 octobre 2014

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Romain Gary

Posté par khalfi1 le 2 octobre 2014

La Lituanie redécouvre Romain Gary

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le 02.10.14 | 10h18

Le passeport de la mère de Romain Gary, Mina Kacev, avec une photo d'elle et son fils, le 24 septembre 2014 à Vilnius en Lituanie

Le passeport de la mère de Romain Gary, Mina Kacev, avec une photo d’elle et…
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Un siècle après sa naissance à Vilnius, le 8 mai 1914, la Lituanie redécouvre Romain Gary et exhume des archives nationales des documents inédits sur l’enfance de cet écrivain français aux cent visages.
« J’ai découvert un dossier avec des papiers d’identité de Roman Kacew, qui allait devenir l’écrivain Romain Gary, quatre dossiers concernant sa mère Mina Kacew et six sur son père », raconte à l’AFP l’archiviste Elzbeta Simeleviciene, tout en feuilletant les documents.
Les anonymes chemises de carton marron cachent de véritables trésors. On y trouve pêle-mêle le passeport de Mina Kacew, délivré en 1925, où le jeune Romain Gary, 11 ans, pose avec sa mère sur la photo d’identité, un extrait d’acte de naissance de l’écrivain, des documents sur l’activité commerciale lucrative de son père fourreur, la preuve de l’existence d’un demi-frère de l’écrivain, né d’un premier mariage de sa mère, ou encore des documents en français témoignant de son installation à Nice à la fin des années 1920 ou de son abandon de la nationalité polonaise. Durant l’entre-deux-guerres, Vilnius était une ville polonaise, appelée Wilno.
L’écrivain, homme caméléon selon sa biographe Myriam Anissimov, a toujours aimé brouiller les pistes. Les documents mis au jour à Vilnius permettent de mettre un point final aux questionnements entourant son lieu de naissance. Celui qui fut tour à tour pilote militaire des Forces françaises libres, diplomate, réalisateur est bien né à Vilnius, connu à l’époque sous le nom de Vilna, puisque la ville faisait partie de l’empire russe.
« Pendant longtemps, c’était un fait qui n’était pas prouvé puisque toute sa vie Romain Gary a toujours dit qu’il était né soit à Vilnius, soit à Moscou, soit dans un train à la frontière », relève Loïc Salfati, médiathécaire à l’Institut français de Vilnius et auteur d’un riche webdocumentaire sur Romain Gary.
Ces déménagements incessants de Romain Gary et de sa famille sont une aubaine. « S’ils ne s’étaient pas si souvent déplacés, remarque Elzbeta Simeleviciene, nous n’aurions pas eu autant de documents à notre disposition ».
« A l’époque, les passeports internationaux coûtaient cher et avaient une durée de validité limitée. Il fallait justifier les raisons de son départ et les documents devaient être restitués au retour de chaque voyage », explique l’archiviste.

-’Une galoche dans les mains’-

La découverte de ces documents inédits scelle le véritable retour de Romain Gary en Lituanie. Le mouvement avait été timidement amorcé en 1997 avec l’apposition d’une plaque au 18, rue Basaniviciaus, anciennement 16, rue Grande Pohulanka, décrit dans son roman autobiographique « La promesse de l’aube ». Lors de la présentation récente d’une partie de ces documents d’archives au public, la salle était comble.
L’artisan infatigable de cette redécouverte est l’acteur lituanien Romas Ramanauskas, le fondateur de l’association Romain Gary. Il a découvert l’auteur dans un journal littéraire russe à la fin des années 1990, quand la Lituanie était encore une république soviétique. La mention « né à Vilnius » réveille aussitôt sa curiosité et il dévore ses écrits, en russe.
En 2007, une petite statue est érigée à deux pas de son ancien domicile. Elle représente l’écrivain enfant, une galoche dans les mains, allusion au célèbre passage de « La promesse de l’aube », où il avale une galoche pour séduire la jeune Valentine. La même année, Romas Ramanauskas initie une recherche dans les archives. A cette occasion, le registre du 16 rue Grande Pohulanka est découvert. Y sont mentionnés les habitants Roman et Mina Kacew, résidant dans l’appartement numéro 4.
« La promesse de l’aube » est traduite en lituanien en 1999 et devrait être rééditée une septième fois l’année prochaine. « Pour les Lituaniens, Romain Gary reste un auteur français. Mais il est de plus en plus connu. Les Lituaniens veulent découvrir leur histoire et tout ce qui touche à Vilnius les intéresse », relève l’éditeur Saulius Repecka.
Romain Gary a quitté Vilnius en 1925 pour Varsovie et s’est installé à Nice (sud de la France) en 1928. Il publie son premier roman en 1945, obtient son premier prix Goncourt en 1956, pour Les Racines du ciel, et un deuxième en 1975, pour La Vie devant soi, sous le pseudonyme Emile Ajar. L’écrivain se donne la mort à Paris en décembre 1980. Tous les documents découverts dans les archives ont été numérisés et sont désormais en libre accès dans la salle de lecture des archives centrales lituaniennes.

AFP

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