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Vue de la baie d’Alger

Posté par khalfi1 le 30 décembre 2008

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André Rieu-Silent Night

Posté par khalfi1 le 26 décembre 2008

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Tahar Ben Jelloun

Posté par khalfi1 le 23 décembre 2008

Après avoir fréquenté une école primaire bilingue arabo-francophone, il étudie au lycée français de Tanger jusqu’à l’âge de dix-huit ans, puis fait des études de philosophie à l’université Mohammed-V de Rabat, où il écrit ses premiers poèmes — recueillis dans Hommes sous linceul de silence (1971).

Il enseigne ensuite la philosophie au Maroc. Mais, en 1971, suite à l’arabisation de l’enseignement de la philosophie, il doit partir pour la France, n’étant pas formé pour la pédagogie en arabe.

À partir de 1972, il écrit de nombreux articles pour le quotidien Le Monde.

En 1975, il obtient un doctorat de psychiatrie sociale. Son écriture profitera de son expérience de psychothérapeute (La Réclusion solitaire, 1976).

En 1985, il publie le roman L’Enfant de sable qui le rend célèbre. Il obtient le prix Goncourt en 1987 pour La Nuit sacrée, une suite à L’Enfant de sable.

Tahar Ben Jelloun vit actuellement à Paris avec sa femme et sa fille Mérième, pour qui il a écrit plusieurs ouvrages pédagogiques (Le Racisme expliqué à ma fille, 1997). Il est aujourd’hui régulièrement sollicité pour des interventions dans les écoles et collèges.

Son œuvre a été traduite dans de nombreuses langues ; citons particulièrement L’Enfant de sable et La Nuit sacrée (43 langues) ainsi que Le Racisme expliqué à ma fille (25 langues dont l’espéranto). La plupart de ses livres ont été traduits en arabe, parfois avec des révisions par l’auteur lui-même.

Le 1er février 2008, il reçoit des mains du Président de la République française Nicolas Sarkozy la Croix de Grand Officier de la Légion d’honneur.

Il est élu membre de l’Académie Goncourt, en remplacement de François Nourissier démissionnaire.

Ainsi L’Enfant de sable (Seuil 1985) et La Nuit sacrée, Prix Goncourt 1987, sont traduits en 43 langues, dont — en dehors des langues européennes et de l’anglais — l’indonésien, le lituanien, le vietnamien, le hindî, l’hébreu, le japonais, le coréen, le chinois, l’albanais, le slovène, l’arabe, etc.

Le racisme expliqué à ma fille — un livre à succès en France, en Italie et en Allemagne — est traduit en 33 langues, dont les trois langues principales d’Afrique du Sud (l’afrikaans, le swati et l’ixixhosa), le bosniaque et l’espéranto.

Tahar Ben Jelloun reçoit le Prix IMPAC à Dublin en juin 2004. Ce prix, décerné par un jury international après une sélection faite par 162 bibliothèques et librairies anglo-saxones, couronne le roman Cette aveuglante absence de lumière, écrit à la demande d’un ancien prisonnier du bagne de Tazmamart au Maroc, et après un entretien avec celui-ci.

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Cendrillon

Posté par khalfi1 le 20 décembre 2008

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Musique

Posté par khalfi1 le 19 décembre 2008

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Timgad – Ruines romaines

Posté par khalfi1 le 18 décembre 2008

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Musique

Posté par khalfi1 le 18 décembre 2008

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Musique

Posté par khalfi1 le 18 décembre 2008

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Tino Rossi

Posté par khalfi1 le 15 décembre 2008

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Amin Maalouf

Posté par khalfi1 le 11 décembre 2008

Un dernier mot tracé sur la dernière page, et déjà la côte africaine.

Blancs minarets de Gammarth, nobles débris de Carthage, c’est à leur ombre que me guette l’oubli, c’est vers eux que dérive ma vie après tant de naufrages. Le sac de Rome après le châtiment du Caire, le feu de Tombouctou après la chute de Grenade : est-ce le malheur qui m’appelle, ou bien est-ce moi qui appelle le malheur ?

Une fois de plus, mon fils, je suis porté par cette mer, témoin de mes errement et qui à présent te convoie vers ton premier exil. A Rome, tu étais « le fils de l’africain » ; en Afrique, tu seras « le fils du Roumi ». Où que tu sois, certains voudront fouiller ta peau et tes prières. Garde-toi de flatter leurs instincts, mon fils, garde-toi de ployer sous la multitude ! Musulman, juif ou chrétien, ils devront te prendre comme tu es, ou te perdre. Lorsque l’esprit des hommes te paraîtra étroit, dis-toi que la terre de Dieu est vaste, et vastes Ses mains et Son coeur. N’hésite jamais à t’éloigner, au delà de toutes les mers, au delà de toutes les frontières, de toutes les patries, de toutes les croyances.

Quant à moi, j’ai atteint le but de mon périple. Quarante ans d’aventures ont alourdi mon pas et mon souffle. Je n’ai plus d’autre désir que de vivre, au milieu des miens, de longues journées paisibles. Et d’être, de tous ceux que j’aime, le premier à partir. Vers ce lieu ultime où nul n’est étranger à la face du Créateur. 

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Fraîcheur océane

Posté par khalfi1 le 9 décembre 2008

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Coucher de soleil

Posté par khalfi1 le 7 décembre 2008

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Georges Orwell

Posté par khalfi1 le 5 décembre 2008

La Ferme des animaux (George Orwell)

 

une lecture de Daniel Ducharme

 

 

 

 


 

 

Georges Orwell dans Humour Orwell_fermeJe connaissais depuis longtemps la célèbre maxime de l’auteur de 1984 – «Tous les animaux sont égaux, mais certains sont plus égaux que d’autres» –, mais je n’avais encore jamais lu le roman d’où elle était tirée: La ferme des animaux, traduit autrefois par La République des animaux. Il s’agit d’un petit roman, pour ne pas dire un conte, de moins de 150 pages qui se lit d’une seule traite. Autrement dit: c’est passionnant.

 

C’est passionnant parce que, en un nombre restreint de pages, George Orwell résume l’histoire de la première moitié du vingtième siècle. Dans les faits, il résume l’histoire de la Russie soviétique, de la Révolution bolchévique de 1917 à la Guerre froide en passant par le Pacte germano-soviétique de la Deuxième guerre mondiale. Il résume l’histoire de la foi révolutionnaire qui animait les ouvriers et paysans, victimes du capitalisme sauvage. L’histoire de l’idéologie révolutionnaire aussi, de la bévue de ceux qui croyaient que la Révolution ne tiendrait pas deux ans. Enfin, il raconte les grandes trahisons: le  travestissement de la figure légendaire de Lénine, le bannissement de Trotski et  l’usurpation du pouvoir par Staline, chef suprême à vie du nouveau régime.

Tout cela, bien entendu, est une question d’interprétation car, dans La Ferme des animaux, ce sont les quadrupèdes qui chassent l’homme tyrannique de la ferme pour en assumer la gestion collective. Au début, l’animalisme – la théorie révolutionnaire véhiculée par les cochons, avant-gardes éclairés de la Révolution – assure la cohésion de la collectivité. Mais petit à petit les porcs prennent la direction des opérations de la ferme. Avec l’aide des chiens, ils bannissent Boule de Neige, le rival de Napoléon qui devient alors président «permanent» de la communauté. Commence alors le travestissement par l’idéologie des principes de départ. À la fin, les animaux vivent sous la domination des cochons, secondés par les chiens. Ils ont oublié leur vie d’antan et, tout en souffrant comme jamais, s’estiment tout de même heureux de s’être libéré de la tutelle des humains.

On sait que George Orwell a dénoncé la montée du totalitarisme du bloc communiste. L’a-t-il fait au profit du capitalisme occidental? Je crois que non. Témoin de son temps, il a vu des pays comme l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne sombrer dans le même mal. Le personnage de Benjamin, l’âne cynique de La Ferme des animaux, donne à penser qu’au fond Orwell était animé par un profond pessimisme. En témoigne ce passage: «Seul le vieux Benjamin affirmait se rappeler sa longue vie dans le menu détail, et ainsi savoir que les choses n’avaient jamais été, ni ne pourraient jamais être bien meilleures ou bien pires – la faim, les épreuves et les déboires, telle était, à l’en croire, la loi inaltérable de la vie» (p. 139-140). Et la dernière phrase du roman confirme cet état des choses: «Dehors, les yeux des animaux allaient du cochon à l’homme et de l’homme au cochon, et de nouveau du cochon à l’homme; mais déjà il était impossible de distinguer l’un de l’autre » (p. 151).

Morale du conte de George Orwell: ne perdez pas votre temps à faire de la politique car rien ne peut vraiment changer chez les êtres humains.

Même si vous êtes nés après 1970 et que, en conséquence, vous n’êtes pas familiers avec l’idéologie «révolutionnaire» dont les représentants hantaient les couloirs des établissements d’enseignement dans les années soixante, il faut lire La Ferme des animaux car, sous la forme d’une parodie, d’un conte moral pour enfants, George Orwell met en lumière le penchant naturel de tout homme tenté par la politique: l’appétit pour le pouvoir qui, dans certains cas, conduit au totalitarisme.

 

 

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Sirtaki

Posté par khalfi1 le 2 décembre 2008

 

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