Evident !
Posté par khalfi1 le 2 mai 2020
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Posté par khalfi1 le 1 mai 2020
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Posté par khalfi1 le 28 avril 2020
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Posté par khalfi1 le 27 avril 2020
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Posté par khalfi1 le 21 avril 2020
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Posté par khalfi1 le 16 avril 2020
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Posté par khalfi1 le 10 avril 2020
Ô cruelle ironie ! Alors que certains ont vu le confinement comme l’occasion rêvée de se plonger dans les livres, de nombreux « bibliovores » se retrouvent freinés dans leur capacité à se « projeter » dans leurs romans. En attendant que le chapitre coronavirus se close, voici quelques pistes pour tourner la page.
SYLVAIN SARRAZIN
LA PRESSE
« J’ai à peine lu 100 pages en 2 semaines quand j’en étais à 20 par jour avant. [...] J’avais l’habitude de lire avant d’aller dormir et là, une fois sur deux, je ne suis pas capable d’aller au-delà de 1 ou 2 pages », gazouille une internaute montréalaise désemparée.
« Je suis incapable de lire ! J’arrive à regarder des séries, mais ma tête est sans aucun doute ailleurs à tous instants », surenchérit la consultante en voyages Ariane Arpin-Delorme sur Facebook.
Un article paru récemment dans le quotidien italien La Repubblica mettait le doigt sur le bobo : bien des lecteurs happés par le maelström de la crise du coronavirus ne parviennent plus à se concentrer sur les récits qu’ils dévorent habituellement. Et les Québécois ne sont pas épargnés.
Normal, indique la présidente de l’Ordre des psychologues du Québec, Christine Grou. « Le stress et l’anxiété affectent les zones du cerveau responsables des capacités d’attention et de la mémoire à court terme. La qualité et la quantité de sommeil sont aussi affectées, ce qui a les mêmes répercussions », explique-t-elle, précisant que les perturbations internes altèrent notre aptitude à encoder l’information davantage que les distractions externes (comme du bruit ambiant). Un réflexe qui remonte à la nuit des temps.
Quand il y a une menace, toute l’énergie va être concentrée à vous défendre contre celle-ci, comme si un mammouth vous attaquait. Plus le danger est grand, plus le cerveau sera mobilisé.
Christine Grou, présidente de l’Ordre des psychologues du Québec
Enseignant en littérature à la retraite et chercheur au Laboratoire intercollégial de recherche en enseignement de la littérature, Marcel Goulet note que « la langue est presque entièrement mobilisée par la prise en charge de la crise », ce qui érode la fonction de divertissement du roman. Il pose alors la question : devrions-nous nous tourner vers d’autres formes de langage, comme la musique ?
Le professeur remarque également que l’une des approches de la littérature, qui nous confronte à l’altérité, s’en trouve brimée : « L’expérience de lecture exige un décentrement qui est mis à mal par la difficulté à s’ouvrir à autrui, en temps de crise. On est centré sur soi, sur sa peur », expose-t-il.
Il évoque enfin le philosophe Jean-Marie Schaeffer, pour qui l’analyse de la littérature fait davantage appel à l’attention divergente (une association d’idées et de concepts) qu’à l’attention convergente (centrée sur la solution à un problème). Or, la crise actuelle mobilise la seconde au détriment de la première.
Nous ne sommes pas tous faits du même bois, de sorte que certains parviennent à passer outre le tourbillon de la crise, voire à consacrer plus de temps à la lecture. C’est le cas de Caroline Gref, qui travaille dans la recherche et est très investie dans les randonnées.
« En temps normal, je n’ai jamais le temps de lire, car je suis trop prise par les réseaux sociaux pour le travail ou l’organisation d’activités. Depuis la pandémie, j’ai du temps pour moi, je suis en mesure de lire et je peux même dire que j’arrive à l’oublier », confesse-t-elle, bien qu’elle ressente l’angoisse ambiante.
Comment expliquer ces disparités entre lecteurs ? Les capacités de gestion du stress et de l’anxiété divergent selon les individus, certes, mais le contexte doit aussi être considéré : un célibataire qui habite un vaste loft ne vivra pas la chose comme une grande famille qui partage un demi-sous-sol exigu. « On n’est pas tous confinés de la même manière, cela va influencer nos dispositions à se plonger dans un livre », rappelle Christine Grou.
L’article de La Repubblica nous sert une conclusion digne d’un drame hugolien : il n’existe pas de solution à cette entrave à la lecture. Un constat réfuté par Mme Grou et M. Goulet, qui ont esquissé des pistes convergentes pour retrouver le chemin d’une littérature libérée.
La psychologue préconise en premier lieu de prendre la mesure des effets de la situation sur nos capacités de concentration et de ne pas s’en inquiéter. Fort de cela, on pourra se tourner vers des livres plus légers, attisant vraiment notre intérêt, et ne rien s’imposer. Bref, c’est le moment d’appliquer les 10 « droits du lecteur » édictés par l’écrivain Daniel Pennac (voir plus bas).
Marcel Goulet complète le conseil en pointant les vertus d’une œuvre qui a déjà exercé son pouvoir sur nous.
Pourquoi ne pas aller rechercher un livre qui nous a particulièrement séduit ? J’ai eu beaucoup d’étudiants qui pratiquaient la relecture périodique, c’est une façon de renouer avec l’expérience de plaisir que procure la littérature.
Marcel Goulet, enseignant à la retraite et chercheur
Nos deux intervenants insistent, d’une seule voix, sur la nécessité d’identifier un lieu, un moment et un environnement propices à la lecture. Ceci implique de rompre les fils qui nous relient à l’actualité et au réel en s’éloignant des radios, télévisions et connexions à l’internet, mais aussi du tourbillon familial. « C’est difficile avec le télétravail et les enfants à la maison, concède Mme Grou. Il faut créer une bulle, chercher le lieu et le moment où il y a le moins de distractions possible. »
M. Goulet parle justement d’une « chambre à soi », en référence à Virginia Woolf, soit « un lieu pour sortir d’un espace-temps occupé par le traitement de la crise, s’évader du réel et s’ouvrir à l’autre, prendre la mesure des transformations opérées sur nous par la lecture et, pourquoi pas, se l’écrire à soi-même ».
Ce n’est pas le moment de se mettre de la pression pour lire ! Pour renouer avec sa concentration et lâcher du lest, on pourrait consulter les 10 droits du lecteur, exposés par Daniel Pennac dans Comme un roman, puis regroupés dans une édition spéciale. Les voici :
1. Le droit de ne pas lire
2. Le droit de sauter des pages
3. Le droit de ne pas finir un livre
4. Le droit de relire
5. Le droit de lire n’importe quoi
6. Le droit au bovarysme
7. Le droit de lire n’importe où
8. Le droit de grappiller
9. Le droit de lire à haute voix
10. Le droit de se taire
Ô cruelle ironie ! Alors que certains ont vu le confinement comme l’occasion rêvée de se plonger dans les livres, de nombreux « bibliovores » se retrouvent freinés dans leur capacité à se « projeter » dans leurs romans. En attendant que le chapitre coronavirus se close, ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >
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Posté par khalfi1 le 8 avril 2020
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Posté par khalfi1 le 3 avril 2020
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Posté par khalfi1 le 31 mars 2020
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Posté par khalfi1 le 31 mars 2020
Cet article participe à l’événement “Coronavirus : Comment travailler de chez soi efficacement pendant le confinement ?” du blog Blogueur Pro. J’apprécie beaucoup ce blog, et en fait mon article préféré est celui-ci.
En cette période de confinement à cause de Coronavirus (Désigné aussi sous le vocable de Covid 19), l’idéal serait de pouvoir travailler à partir de chez soi, grâce à l’outil essentiel que nous possédons presque tous, c’est-à-dire l’Internet ou les nouvelles technologies de l’information et de la communication. (NTIC). Oui, il faut que cette possibilité de toucher le maximum de gens à l’extérieur, tout en restant à l’intérieur, s’avère être un événement fabuleux.
En effet, Olivier Roland, ouvrant la voie aux méthodes pour mieux se faire connaître sur la Toile mondiale, est devenu une référence bien établie. Il n’y a qu’à voir l’engouement que suscitent chez les internautes, les articles et les nombreuses offres que renferme son site dédié à l’organisation et à la publication de ses connaissances nombreuses dans le domaine du marketing, dont il maîtrise tous les tenants et tous les aboutissants.
On peut prendre comme exemple de cette démonstration, le texte qu’il a publié sur Internet et concernant le volet où Cédric Annicette explique comment on peut devenir libre financièrement grâce à son blog sur l’immobilier.
Ce n’est pas arrivé par un coup de baguette magique, Ce succès est dû principalement aux méthodes originales qu’il a adoptées dans son Business Attitude. L’interview qu’il a accordé à Olivier Roland témoigne de façon éloquente sur ses motivations à ce sujet. En cette période de confinement, ne serait-il pas judicieux de tirer des leçons profitables tirées de son expérience dans le parcours qu’il a choisi pour tirer le maximum de son « métier ». Etant ingénieur de formation, il a su de façon intelligence, comment orienter ses nouvelles activités sur le Web, et comment utiliser son commerce sur l’immobilier, afin de rentabiliser son investissement et gagner sa vie de manière convenable.
C’est-à-dire, à ce moment où il n’est pas possible de se déplacer sans autorisation à cause de la pandémie du Coronavirus, ses enseignements et ses méthodes de travail s’avèrent très précieux pour connaître son cheminement à travers l’univers très varié de l’immobilier. C’est un vaste domaine qui peut offrir à ceux qui l’exploitent, le succès et la réussite dans ce genre de Business. Avec une base financière modeste, on peut ainsi multiplier ses chances, sinon de s’enrichir rapidement, au moins gagner assez d’argent et figurer parmi les gens les mieux nantis.
Grâce aussi au télétravail, il est maintenant possible, à partir de son domicile, de faire beaucoup de choses. En plus, on peut profiter de cette occasion pour lire des livres traitant des infections virales et bactériennes. On s’instruit et on instruit son entourage immédiat, ses proches, ses parents et pourquoi pas aussi, ses amis en leur adressant e-mails accompagnés de la documentation recueillie, en pièces attachées. On peut joindre l’utile à l’agréable, en se cultivant à domicile. Il n’est pas exclu non plus, qu’on puisse parcourir les pages des auteurs les plus en vue, capables de nous donner d’autres visions du monde qui nous entoure.
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Posté par khalfi1 le 10 mars 2020
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Posté par khalfi1 le 7 mars 2020
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Posté par khalfi1 le 7 mars 2020
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Posté par khalfi1 le 2 mars 2020
Roman ou je parle beaucoup de Constantine, la Cirta des Romains, surnommée la Ville des ponts suspendus et des Aigles.
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Posté par khalfi1 le 13 février 2020
J’ai récemment été sollicitée par Natasha Boyd, une auteure que j’apprécie beaucoup, pour lire et vous présenter son nouveau bébé : Eversea. Une duologie dont le premier tome sort ce vendredi 14 février, pile pour la Saint-Valentin ^^
J’avais adoré son roman Des étoiles dans la mer, que vous pouvez retrouver juste ici, alors c’est avec un grand plaisir que j’ai accepté !
Lorsque sa partenaire de film et petite amie dans la vie fait la une de la presse people en compagnie d’un autre homme, Jack Eversea, un beau gosse du gratin d’Hollywood, choisit de fuir et atterrit à Butler Cove, petite cité endormie de Caroline du Sud.
Jack espère que la chaleur étouffante du sud dans cette petite ville côtière de la Lowcountry le mettra à l’abri non seulement des tabloïds et de sa copine infidèle, mais aussi de sa vie de plus en plus insipide et des gens qui la dirigent. Il n’avait pas prévu de rencontrer Keri Ann Butler.
Depuis la mort de ses parents et face aux responsabilités de l’entretien de la demeure historique de sa famille, Keri Ann a tant compter sur elle-même que les garçons et certainement le choix réduit qu’en offre Butler Cove, n’ont jamais figuré dans son projet de vie. Mais le destin a d’autres projets.
Face à Jack, celui qui a joué le rôle de son personnage de fiction préféré, Keri Ann se met à désirer tout ce qu’elle a évité jusqu’à présent… Et Jack devra décider si cette fille drôle et insolente vaut la peine qu’il change de vie, avant que ses propres erreurs ne le rattrapent.
Dire qu’il y avait un trou béant en moi d’où mon coeur avait été sauvagement arraché était un euphémisme. C’était un vide écrasant et physiquement douloureux qui a fait place à un sentiment de panique pur et simple lorsque j’ai réalisé que je ne sentais plus l’odeur de ma mère.
C’était un chouette moment de lecture ! Eversea ne ressemble en rien au premier livre que j’ai pu lire de cette auteure.
Le contexte du héros acteur de cinéma ultra célèbre est quelque chose qu’on ne voit pas souvent dans l’univers de la romance. On a généralement plus droit aux musiciens. Du coup j’ai trouvé ça sympa de changer un peu, d’avoir accès à un autre univers.
Je me suis attachée aux personnages, notamment à Jack. Il illustre assez bien le fait qu’on peut être malheureux alors qu’on possède tout ce qu’on pourrait désirer. J’ai beaucoup aimé son ambivalence entre l’amour qu’il a pour son travail et le fait qu’il déteste tous les aléas à côté.
Je l’ai trouvé assez humain, même si je n’ai pas toujours été d’accord avec certains de ses choix. Ils ont parfois fait résonner en moi cette impression de ne pas être assez. Ce sentiment que, parfois, tu ne suffis pas et qu’on choisira toujours quelque chose ou quelqu’un d’autre que toi. Ce n’est pas quelque chose de très agréable à ressentir et c’est vrai que je lui en ai un peu voulu par moment.
Keri Ann était, quant à elle, souvent hésitante et craintive. Je l’ai trouvé touchante mais aussi très frustrante. Elle a peur de se lancer, dans beaucoup de domaines, me rappelant trop souvent ma propre personnalité. Alors j’ai pas mal oscillé entre mon attachement pour elle et mon insatisfaction.
Leur histoire d’amour était un vrai coup de foudre et même si on peut par moment la trouver un peu rapide, ça a bien fonctionné pour moi.
Les personnages secondaires étaient, eux aussi, bien travaillés. Ils ne font pas seulement partie du décor, mais participent à part entière à l’histoire et j’ai trouvé ça cool. À quand un tome sur la meilleure amie Jazz hein ^^ ?
Pour finir, j’ai été vraiment surprise par la fin ! Je ne m’y attendais pas une seconde et après un tel cliffhanger, je me devais d’enchaîner avec le second tome. Je vous en parlerai un peu avant sa sortie, au mois de mars !
Titre : Eversea, tome 1
Auteur(s) : Natasha Boyd
Date de parution : 14 février 2020
Editeur(s) : Auto-édité
Thème(s) : Célébrité, Acteur, Hollywood, Romance
Prix : 18€71
Où le trouver ? Amazon
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Posté par khalfi1 le 6 février 2020
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Posté par khalfi1 le 4 février 2020
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Posté par khalfi1 le 2 février 2020
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Posté par khalfi1 le 31 janvier 2020
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Posté par khalfi1 le 31 janvier 2020
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Posté par khalfi1 le 31 janvier 2020
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Posté par khalfi1 le 27 janvier 2020
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Posté par khalfi1 le 19 janvier 2020
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Posté par khalfi1 le 14 janvier 2020
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