L’histoire au 18ième siècle
Posté par khalfi1 le 6 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 6 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 5 juillet 2017
NEWSLETTER216 Le 01 Juillet 2017 |
L’Édito |
Je le lis, je le vis
Se soigner par les les livres ou « biblio-thérapie », c’est peut-être un remède de cheval ?La célèbre revue Américaine « Annual Review of Psychology » publie en 2016 une information plutôt étonnante. A partir de scanners du cerveau, la conclusion est simple : la lecture ou « vivre en réel une expérience », active des zones cérébrales identiques. Les circuits neuronaux ainsi sollicités lors de la lecture d’un roman ou d’une poésie augmenteraient du même coup nos capacités d’adaptations sociales, notre aptitude à comprendre ceux que les autres sentent ou comprennent. Lire un bon roman est un stimulateur de réalité.C’est ce que déclare Alain de Botton auteur de « Comment Proust peut changer votre vie… ». En un mot, selon lui, et études à l’appui, un livre nous permet de vivre les émotions que la vie ne nous permet pas de vivre », c’est un agitateur de notre vie intérieure, une salle de muscle pour nos émotions. La biblio-thérapie aurait-elle une place à côté des calmants et des pilules du bonheur ?La bibliothérapie, cette discipline lancée au lendemain de la première guerre mondiale pour « soigner » les traumatisés de la violence et de la mort de la Grande guerre a trouvé son creuset aux Etats Unis. Peu répandue en France, elle se heurte à nos préjugés
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Posté par khalfi1 le 5 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 3 juillet 2017
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Posté par khalfi1 le 28 juin 2017
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Posté par khalfi1 le 28 juin 2017
> Auto promotion obligatoire. Le revers de la médaille, c’est que l’offre pléthorique rend la visibilité difficile pour chaque ouvrage et l’auteur indépendant doit mener une campagne d’auto promotion de son livre active s’il veut émerger et se faire remarquer. Il doit communiquer, se constituer un réseau au-delà de ses proches, contacter les influenceurs comme les blogueurs, les groupes sur Facebook partageant les mêmes centres d’intérêt que lui ou intéressés par le genre ou le sujet de son livre et peuvent constituer un creuset de lecteurs potentiels…
> Investissement financier limité. Hormis un important investissement d’énergie et de temps, créer un livre numérique exige peut d’argent puisque l’impression qui est le plus gros poste budgétaire est supprimée. Mais il reste des incontournables, car pour être crédible et séduire les lecteurs, un ebook doit être aussi soigné qu’un livre imprimé : une mise en page du manuscrit claire et lisible sur tablette, une écriture soignée et sans fautes d’orthographe, une couverture attractive. L’auteur juge lui-même de la nécessité de faire appel à un correcteur professionnel et à un graphiste pour s’assurer d’un produit fini de qualité à même de séduire les lecteurs potentiels.
Après avoir écrit, relu et soigneusement corrigé son manuscrit, l’écrivain novice se pose toujours les mêmes questions : À qui l’adresser ? Sous quelle forme ? Faut-il ajouter une lettre circonstanciée ? Dois-je multiplier les envois, me recommander de quelqu’un, me déplacer ?…
> Mettez en avant dans la lettre d’accompagnement ce qui a des chances de retenir l’attention du premier lecteur.
En premier lieu, pourquoi vous avez choisi cette maison d’édition. Il s’agit de convaincre que votre manuscrit est une œuvre originale qui correspond à ce que la maison édite. C’est fondamental car c’est le principal motif de rejet déclarent les éditeurs. A mettre également en avant si c’est votre cas : une recommandation d’un auteur de la maison, d’une personne qui a une crédibilité dans le monde littéraire -autre éditeur, critique littéraire…-, d’autres ouvrages déjà édités, une expérience personnelle ou professionnelle dans le domaine traité par votre livre.
> Envoyez un manuscrit tapé (tapuscrit) par la poste.
Les manuscrits écrits à la main ne sont pas lus. Consultez le site Internet de la maison d’édition à laquelle vous vous adressez pour vérifier la forme qu’il doit avoir. La grande majorité des éditeurs ne lisent que les manuscrits imprimés et envoyés par la Poste. Très peu acceptent l’envoi de fichier par mail ou l’envoi d’un cd rom.
> Envoyez un manuscrit sans fautes et bien présenté.
Clair et lisible pour être confortable à lire. Traquez les fautes d’orthographe, choisissez une police classique de taille 12 ou 14, un interligne de 1,5 au moins, des marges correctes pour les annotations des lecteurs, paginé, et avec votre nom et éventuellement votre adresse sur la couverture.
> Soignez la présentation de votre livre pour que la lecture en soit agréable. Les lecteurs apprécient les mises en page aérée, les textes bien corrigés, sans fautes et sans coquilles.
> Bénéficiez d’une large audience auprès d’une communauté de 20 000 membres. Tous les genres (roman, science fiction, poésie, thriller, jeunesse, suspense…) et tous les écrits sont acceptés, le seul comité de lecture est celui des lecteurs eux-mêmes. Plus vous êtes lus, et plus votre livre est visible sur le site jusqu’à pouvoir entrer dans le Wall of Books des succès du mois (en page d’accueil) qui met en avant les livres les plus lus par les lecteurs.
> Suivez l’audience de votre livre sur vos statistiques personnelles : commentaires, évaluations, classement, progressions, nombre de lectures, nombre de mise en bibliothèque. Vous recueillerez ainsi de précieuses informations sur ce qui retient l’attention des lecteurs, ce que vous pourriez encore améliorer, votre public…, vous permettant de préparer la publication, le lancement et les messages de promotion de votre livre.
> Identifiez les services dont vous avez besoin. Les systèmes diffèrent selon les plateformes et les services proposés : services éditoriaux (correction, relecture), graphiques (mise en page, couverture), de promotion, d’impression à la demande, de diffusion. Le prix de ces services dépend aussi des plateformes (budget d’accompagnement éditorial, de réalisation du ebook ou de l’impression du livre papier, pourcentage sur le montant des ventes du livre). Certaines plateformes sont liées à un circuit de vente, d’autres diffusent sur plusieurs circuits (sur le net et réseau traditionnels de librairies).
> Répertoriez les plateformes et comparez les conditions. Il n’y a pas de contrat type. Chaque plateforme a ses règles et conditions. Certains contrats obligent l’auteur à acheter lui-même une certaine quantité de ses propres ouvrages, d’autres impliquent de céder les droits d’auteurs, parfois l’auteur ne touche un pourcentage des ventes qu’à partir d’un certain nombre de livres vendus, certains exigent une exclusivité… Visitez les plateformes d’auto publication, consultez leur rubrique Foire Aux Questions et lisez attentivement leur règlement afin de les comparer et de choisir en connaissance de cause.
Tout ce qui fait professionnel donne de la crédibilité à votre livre et met le lecteur en bonne condition d’appréciation. Pour qu’il ait envie d’aller plus loin, de lire, d’acheter, une présentation soignée, proche de celle des maisons d’édition, est fondamentale.
Vous savez maintenant comment il faut procéder pour publier un livre, fabriquer un livre ou créer un livre numérique, vous avez les clés pour vous auto publier ou aborder un éditeur, choisir l’option qui correspond à vos attentes et réussir la publication de votre livre.
Quelques repères…
Plateformes d’auto édition sur Internet : Edilivre, Bookelis, Kindle direct publishing/Amazon, Kobo/Fnac, Chapitre.com., jepublie.com/Numilog, CreateSpace, BOD…
Publier un livre, c’est important. En faire sa promotion et conquérir son audience, c’est primordial. monBestSeller vous donne les clés pour vous mesurer à vos lecteurs. Pour en savoir plus sur monBestSeller.com
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Posté par khalfi1 le 28 juin 2017
A tous les auteurs blogueurs, monBestSeller crée des liens : les « back-links » des auteurs sur le site
Multiplier les liens croisés entre les sites et les blogs, c’est une manière simple et efficace de récupérer de l’audience, et de se faire repérer sur Google. Alors jouons le jeu, un jeu facile où l’on gagne à tous les coups.
Back-links, net-links, des liens entre blogs et sites qui amplifient le trafic
Créer des liens entre blogs et sites profite à tous les auteurs et communautés pour amplifier leur trafic et leur référencement sur les moteurs de recherche
Qu’est-ce qu’un back-link ?
Un back-link est un lien externe qui dirige vers un site web ou, plus exactement, une page web.
Les avantages liés aux back-links sont doubles :
– D’une part, ils peuvent être une source de trafic lorsqu’ils sont utilisés par les visiteurs des sites référents.
– D’autre part, ils favorisent le référencement et le classement dans les résultats de Google. Ce deuxième effet est souvent considéré comme le plus important sur le long terme et donne lieu aux pratiques de net-linking.
En un mot, votre lien de blog est dans notre rubrique « Nos amis », et votre lien auteur mBS est dans votre blog. Pour une émulsion de trafic à terme.
Pour que votre blog d’auteur soit mis en avant par monBestSeller, comment faire ?
Pour vous lister dans notre rubrique « Nos amis », nous avons besoin de :
> L’adresse url de votre blog.
> Quatre lignes pour qualifier votre blog, votre style d’écriture ou votre personnalité, ou votre dernier livre.
> Une photo de vous ou, mieux encore, le logo de votre blog.
> Et n’oubliez pas de poser le lien direct vers votre page d’auteur monBestSeller sur votre blog.
Ces informations doivent nous parvenir à l’adresse : contact@monBestSeller.com
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Posté par khalfi1 le 26 juin 2017
Tranche de culture saisie sur le vif, ce rapport, qui compile des statistiques sur les éditeurs, les genres et les disciplines, est une précieuse source pour analyser le secteur de l’édition.
Ainsi, en 2016, l’on observe une hausse de 2% par rapport à l’année précédente des livres enregistrés au dépôt légal, avec 77 986 livres enregistrés.
Des éditeurs toujours centralisés
En tête du palmarès des déposants les plus importants se trouve les mêmes acteurs que les années précédentes : les éditeurs à compte d’auteur. Edilivre, largement premier, suivi par l’Harmattan, puis Hachette, France Loisirs, le Grand livre du mois et Publibook, juste avant Gallimard. Les entrées en autoédition, elles, progressent, représentant 17% de la totalité des titres. Après le pic de 9,9 livres par éditeur en 2012, on se maintient à environ 9,5 en 2015 et 2016.
Ce panorama traduit aussi la centralisation persistante du marché de l’édition : 1 éditeur sur 3 est situé (siège social) en Ile-de-France. A elle seule, la capitale héberge 1 éditeur sur 5 et publie près de la moitié des titres. La deuxième région la plus active est la région Rhône-Alpes, suivie de la région Auvergne.
La fiction embellie
En 2016, 43% des publications signalées dans la Bibliographie nationale française sont des fictions. Le roman phagocyte toujours la production, s’arrogeant 21% des publications. Les autres genres se répartissant modestement ainsi : 10% de littérature jeunesse, 7% de bandes dessinées, 4% de poésie et 1% de théâtre.
Delphine Allaire
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Posté par khalfi1 le 21 juin 2017
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Posté par khalfi1 le 20 juin 2017
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Posté par khalfi1 le 15 juin 2017
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Posté par khalfi1 le 7 juin 2017
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Posté par khalfi1 le 28 mai 2017
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Posté par khalfi1 le 23 mai 2017
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Posté par khalfi1 le 22 mai 2017
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Posté par khalfi1 le 11 mai 2017
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Posté par khalfi1 le 6 mai 2017
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Posté par khalfi1 le 28 avril 2017
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Posté par khalfi1 le 31 janvier 2017
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Posté par khalfi1 le 31 janvier 2017
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Posté par khalfi1 le 25 janvier 2017
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Posté par khalfi1 le 9 janvier 2017
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Posté par khalfi1 le 10 décembre 2016
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Posté par khalfi1 le 9 décembre 2016
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Posté par khalfi1 le 16 novembre 2016
Dans l'Algérie coloniale et colonisée des années cinquante, les "indigènes" n'ont toujours pas eu le beau rôle. Ceci est l'histoire d'un expatrié, Merzouk, parti en France pour travailler en qualité d'immigré. Mais le 1er novembre 1954, la guerre éclate en Algérie. Merzouk regagne alors son pays natal pour participer à la rébellion. Il meurt au combat en avril 1959. Auparavant, il avait chargé son ami Nacim, un collégien, de retrouver Elisabeth, une femme dont il s'était épris en France, du temps de son séjour en métropole. Nacim se lance alors dans des recherches qui le conduiront dans une série de péripéties pleines d'émotion, qui l'amèneront sur les traces de la vérité.
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Posté par khalfi1 le 7 novembre 2016
La 21e édition du Salon international du livre d’Alger (Sila) a confirmé, encore une fois, que cet événement culturel est le plus important du pays. «Rien que pour la journée du mardi 1er novembre 2016, le nombre des visiteurs a approché les 400 000, plus que l’année passée.
Ce jour-là, les moyens de transport public étaient gratuits. Ceux qui doutent de ces chiffres n’ont pas visité le Salon», a annoncé hier Hamidou Messaoudi, commissaire du Sila, lors d’une conférence de presse à la salle du pavillon central du Palais des expositions des Pins maritimes, quelques heures avant la clôture.
Jusqu’à vendredi, nous avons enregistré la venue de 1 225 000 visiteurs. Selon nos prévisions, nous allons atteindre le nombre enregistré en 2015, c’est-à-dire 1,5 million visiteurs. Cette année, les vacances scolaires ont été de courte durée, les élèves n’ont eu que les journées du 30 et 31 octobre pour se reposer.
C’est ce qui explique que nous n’avons pas pu réaliser l’objectif que nous avons tracé, à savoir deux millions de visiteurs», nous a confié Hamidou Messaoudi, le commissaire du Salon.
Il a précisé qu’il n’avait «aucun intérêt à gonfler ou à réduire les chiffres» relatifs au nombre de visiteurs. «Beaucoup de lecteurs visitent le Salon le dernier jour avec l’espoir de bénéficier de réductions décidées par certains éditeurs étrangers, qui préfèrent baisser les prix que de subir les frais de transport pour le retour au pays. J’ai vu que des visiteurs venaient avec une liste d’ouvrages à acquérir.
C’est bon signe», a-t-il noté. M. Messaoudi a indiqué que 966 maisons d’édition (deux ont fait défection) représentant 50 pays étaient au Sila 2016. L’Algérie a été représentée par 290 éditeurs.
Plus de 35 000 titres ont été exposés durant le Salon. «J’ai constaté que tous les visiteurs ont trouvé ce qu’ils cherchaient tant pour les ouvrages scientifiques que pour les livres de littérature ou d’histoire, ceux pour enfants, les livres religieux et même les parascolaires.
Durant la journée du 1er novembre, la demande sur les ouvrages sur l’histoire a été très forte. Des voix ont laissé entendre que les visiteurs s’intéressaient surtout aux livres de cuisine ! Ce n’est pas vrai. Cela dit, la cuisine est également un art. D’autres ont dit que les visiteurs venaient en touristes. Tant mieux, puisqu’il s’agit de tourisme culturel», a souligné le premier responsable du Sila en évoquant l’importance des ventes cette année.
La venue de la romancière algérienne Ahlem Mosteghanemi a été, selon M. Messaoudi, l’événement phare du Sila 2016 : «C’était une journée mémorable, dimanche 30 octobre. Les lecteurs sont venus de partout attendre la romancière dès 10h. Elle était émerveillée par cette présence. Certains ont osé dire qu’Ahlem Mostaghenemi aurait reçu 150 millions de centimes pour venir au Salon.
C’est faux. L’écrivaine n’a eu qu’une voiture mise à sa disposition et un bouquet de roses. Elle a même refusé d’être prise en charge à l’hôtel, préférant loger dans sa famille. Certains adorent gâcher la fête et propager des ragots.» Ce responsable a parlé également de l’engouement suscité par la présence des romanciers Waciny Laredj et Amin Zaoui.
Yasmina Khadra invité en 2017
Interrogé sur les critiques de Yasmina Khadra faites sur facebook, à propos de sa non-invitation au Sila, M. Messaoudi a déclaré qu’il n’existe aucun problème avec l’auteur algérien établi à l’étranger : «Yasmina Khadra a été invité à plusieurs reprises au Salon. Il sera invité en 2017.
Cela dit, je ne comprends pas comment des écrivains algériens qui vivent en Algérie disent qu’ils boycottent le Salon du livre parce qu’ils n’ont pas été invités. Cela veut dire qu’ils boycottent leurs lecteurs et leur public. Le Salon appartient à l’Algérie. Certains romanciers et poètes ont exigé d’être seuls sur l’estrade. A suivre cette logique, nous devrions organiser le Salon sur 350 jours !»
Hamidou Messaouadi a salué l’initiative du ministère de l’Education nationale qui a assuré l’encadrement et le transport de plus 30 000 élèves depuis 40 wilayas. «Cela a permis aux enfants de découvrir l’univers du livre.
Certains d’entre eux visitaient Alger pour la première fois de leur vie. L’amélioration des supports et de la méthode de communication autour des événements du Salon ont fait que la présence du public était plus importante cette année dans les débats et conférences», a-t-il souligné. Il a salué les efforts fournis par certaines maisons d’édition : «Ils ont permis aux lecteurs de rencontrer les auteurs. Ailleurs à l’étranger, le programme culturel des salons est assuré par les éditeurs, pas par les organisateurs.»
Répondant à une question sur la faible présence de pays sud-américains au Sila, l’orateur a indiqué que des invitations seront lancées pour l’année prochaine aux pays du sous-continent américain. «Surtout que beaucoup d’étudiants en langue espagnole nous en ont fait la demande pour les besoins de leurs études et recherches», a-t-il précisé.
Le commissaire du Sila a remercié le personnel de la Safex pour les facilités accordées aux organisateurs du Salon cette année. «Nous avons mis en demeure 45 maisons d’édition, dont 22 algériennes, qui ont déposé les ouvrages à même le sol, violant ainsi le règlement intérieur. Certains éditeurs arabes ont pris le soin de se conformer au règlement et ont acheté des tables pour déposer leurs livres alors que des éditeurs algériens, qui ont parfois des sièges proches du Palais des expositions, n’ont pris aucune initiative.
Aussi, avons décidé d’interdire de Salon 13 éditeurs pour l’édition 2017», a-t-il expliqué.
Le Sila 2016 s’est déroulé globalement dans de bonnes conditions. Seul regret : l’absence du cinéaste franco-grec Costa Gavras, qui s’est excusé en raison d’une grosse fatigue. «Nous avons frôlé le parfait et nous nous approchons du professionnalisme bien que le budget ait été moins important que les années précédentes. Nous avons été soutenus par des sponsors.
Certains ont réduit leurs prestations de 50% alors que d’autres ont dégagé une enveloppe financière. En tout, nous avons reçu un soutien financier de 12 millions de dinars. Le budget du Salon a été de 100 millions», a-t-il détaillé.
Dans la foulée, M. Messaoudi a répondu à une campagne sournoise qui semble le cibler depuis quelque temps : «Depuis 2000, je suis le cinquième commissaire du Salon. Celui qui veut prendre le Salon n’a qu’à contacter le ministère de la Culture et présenter son CV. Je serais le premier à le féliciter. Ils ont osé dire que Hamidou Messaoudi faisait l’apologie du terrorisme.
Un véritable délire. Ils n’ont qu’à demander aux journalistes, au comité de lecture, aux Douanes ou aux éditeurs.» Et d’ajouter que ses relations avec Azzeddine Mihoubi, ministre de la Culture, sont «excellentes». «J’ai 34 ans de carrière, j’ai changé sept fois d’entreprise. Je n’ai jamais été limogé», a-t-il ajouté, refusant de dévoiler l’identité de la partie qu’il l’a attaqué.
L’ouverture de la 22e édition du Sila aura lieu le mercredi 25 octobre 2017. «Nous allons commencer les préparatifs dès décembre prochain. Nous voulons inviter de grands écrivains étrangers. Les Nobel ont des agendas chargés. Donc il faut les contacter des mois à l’avance. Cette année, le Nobel chinois de littérature de 2012 (Mo Yan) devait être avec nous, mais s’est excusé à la dernière minute», a-t-il déclaré.
Hamidou Messaoudi a confirmé que le Sila 2017 aura bien lieu au Palais des expositions des Pins maritimes malgré le lancement d’un projet de restructuration de cet espace, qui a été construit en 1969. «Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a donné instruction à Tayeb Zitouni, PDG de la Safex, d’entamer les travaux de restructuration. Il y a suffisamment d’espace ici pour organiser le Sila», a-t-il précisé.
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Posté par khalfi1 le 15 août 2016
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Posté par khalfi1 le 8 août 2016
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Posté par khalfi1 le 19 juillet 2016
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Posté par khalfi1 le 10 juillet 2016
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Posté par khalfi1 le 16 juin 2016
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Posté par khalfi1 le 20 avril 2016
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Posté par khalfi1 le 11 avril 2016
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Posté par khalfi1 le 16 mars 2016
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Posté par khalfi1 le 15 mars 2016
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Posté par khalfi1 le 8 mars 2016
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