Succès des auteurs auto-édités
Posté par khalfi1 le 30 novembre 2019
Étude de cas : des succès en auto-édition
Nous aimons nos auteurs.
Nous faisons le maximum pour eux, à travers les conseils gratuits, l’offre auto-édition, les formations et coachings sur la promotion de son livre.
Le blog de Publier son Livre est truffé de conseils, issus de mon expérience et mon expertise. Mais il est important que vous puissiez voir ce qui marche concrètement, ce qu’on fait d’autres auteurs. Leurs erreurs, et leurs succès.
Certains d’entre eux réussissent à merveille, grâce à un savant cocktail réunissant 3 ingrédients : un bon livre, de bonne méthodes de promotion, et un temps passé significatif pour faire connaître son livre.
Sur cette page, je vous présente 3 belles réussites dont nous sommes fiers, des auteurs à succès en auto édition. Nathalie Bianco, Pierre Berville, et Yann Courchelle. Merci à eux pour leurs témoignages et leur transparence. Vous allez tous, j’en suis sûr, apprendre des choses grâce à eux.
Et nous ferons tout pour que votre publication soit également une réussite.
Nathalie Bianco
Quel est votre livre et quel est son sujet ?
Mon roman s’appelle « Les courants d’air », c’est un roman contemporain, un peu humoristique, un peu « feel good » mais pas que…dont voici le « pitch » : « Comment reconstruire sa vie, quand on est une quadragénaire fraichement divorcée, flanquée d’une sœur ainée loufoque, qui aime le whisky et Dominique de Villepin, d’un « Adokon » qui préfère dégommer des ennemis dans Call of Duty plutôt que de préparer son bac, de prétendants Tinder qui postillonnent des miettes de pizzas, d’une bande d’amis fêtards et déjantés, d’un chat rebelle autoritaire et bourré d’antipuces et d’un petit dernier qui se prend pour Chuck Norris ? Comment concilier son projet de ressembler à l’élégante Inès de La Fressange avec sa passion pour la cancoillotte et le vin rouge ? Entre crises de rire, tranches de vie, aventures hilarantes et accès de nostalgie, entre l’avenir à construire et le passé à archiver, il faudra beaucoup d’humour et d’amour à Nahéma pour réussir le grand saut vers une nouvelle vie…
– Pouvez-vous nous décrire le lancement de votre livre ?
Je suis assez présente sur les réseaux sociaux, notamment à travers Facebook où j’ai la chance d’avoir pas mal de « contacts ». J’écris des chroniques, des billets d’humeur et des textes, dont certains ont déjà été repris dans différents médias (Type le Huffington post). J’avais donc déjà, très modestement un petit « public ».
C’est donc tout naturellement par le biais des réseaux sociaux que j’ai annoncé la sortie de mon livre à mes contacts.
– Qu’avez-vous mis en place pour faire connaître votre livre ?
J’ai contacté une bonne cinquantaine de chroniqueurs littéraires, que ce soit sur des blogs, Instagram ou Facebook. J’ai attendu pour cela d’avoir suffisamment d’évaluation sur Amazon, et j’ai envoyé un joli montage photo, avec la couverture de mon livre et quelques extraits des commentaires élogieux.
Je proposais donc d’expédier gratuitement mon roman aux « influenceurs ». Ce procédé m’a fait avoir une vingtaine de chroniques, la plupart très élogieuses.
C’est un investissement assez lourd, mais rentable au final. Financièrement, chaque envoi m’est revenu à environ 10 euros (prix coutant du livre + affranchissement). C’est aussi un gros travail en terme de temps, afin identifier les blogueurs à contacter : Il faut repérer ceux qui chroniquent des genres littéraires correspondant à son livre. Il faut bien étudier à chaque fois si le lectorat est dans notre cible (ex, il y a des chroniqueuses très jeunes, avec un lectorat adolescent, des chroniqueuse spécialisées dans la romance, la fantasy, le polar, des chroniqueurs qui ne lisent pas d’auto-édités etc)
Il faut passer du temps sur le blog ou le compte qui nous intéresse, et bien repérer le degré de réelle influence du compte. Il y a par ex, sur Instagram des comptes littéraires qui sont très populaires mais plus grâce à la qualité de leurs compositions photographiques que de leurs chroniques. Une photo peut très bien récolter 600 « like » et ne rapporter aucun lecteur. A contrario, certains petits blogs ou comptes plus modestes en termes d’abonnés, se révèlent être de véritables prescripteurs. On les repère souvent au nombre de commentaires qui suivent leur publication, plus que au nombre de « like ».
=> Consultez mon article sur les méthodes pour contacter les blogueurs littéraires
Ceci dit, les commentaires sont indispensables, je n’aurais pas pu attirer l’attention des blogueurs et des chroniqueurs si je n’avais pas pu leur envoyer les montages et captures d’écran des avis de lecteurs.
Je sais que certains auteurs mettent à la fin de leur livre un petit mot pour inciter les lecteurs à laisser un commentaire. C’est une initiative que je trouve sympathique mais je ne l’ai pas fait.
– Avez-vous eu des initiatives originales ?
J’ai organisé un concours sur Facebook, avec obligation pour participer de partager la page du livre et de taguer une personne…Ce n’est pas très original et je n’ai pas l’impression que ça m’ait rapporté énormément de lecteurs, mais ça ne coute rien, à part les envois de livres aux gagnants. Et un peu de notoriété c’est toujours bon à prendre.
J’ai aussi répondu à quelques interviews sur des blogs littéraires, c’est un moyen très agréable de promouvoir son livre.
– Selon vous, qu’est-ce qui fait que votre livre se vend bien ?
Sur la forme, je me suis rendue compte que la couverture est très importante, on m’a souvent fait la remarque que la mienne était jolie et attirait l’œil. Je ne regrette donc pas d’avoir fait appel à un professionnel.
Sur le fond, mon roman est assez universel, il parle à tout le monde. Il amuse beaucoup les hommes et les femmes se reconnaissent. Et puis, en ces temps troublés, un roman qui fait vraiment rire les gens rencontre toujours son public…
– Si vous deviez recommencer, que changeriez-vous ?
Tout d’abord, je ne mettrai plus mon roman en exclusivité sur Amazon, beaucoup de lecteurs sont réticents à passer par cette entreprise. De plus, leur politique de rédaction de commentaires est trop contraignante, il faut être déjà client chez eux, et avoir commandé au moins pour 51 euros pour pouvoir poster une évaluation. Autant dire qu’on se prive ainsi d’un grand nombre d’avis de la part de tous les lecteurs qui ne sont pas clients habituels…
=> Voir le livre de Nathalie : http://www.amazon.fr/courants-dair-Nathalie-BIANCO-ebook/dp/B07SJYBL8Y
Pierre Berville
-Quel est ton livre et quel est son sujet ?
Mon livre s’appelle « J’enlève le haut » C’est une non-fiction autobiographique (je suis le publicitaire qui a créé la fameuse campagne d’affichage qui a lancé ce slogan.) Son sujet est résumé dans le sous-titre : » Les dessous de la Pub à l’âge d’Or. Récit. » ,
Avec ma propre histoire de « wonder boy » de la Pub comme fil conducteur, il raconte sur 424 pages, au travers de nombreux portraits et d’anecdotes bien documentées l’histoire du métier dans les années 70’ et 80’, quand tout le monde adorait encore la Publicité. J’ai voulu expliquer une époque géniale, sans embêter le lecteur.
-Peux-tu nous décrire le lancement de ton livre ?
L’anticipation est le maitre-mot. Un lancement, il faut le préparer en détail. Après, une fois que le train est parti, c’est trop tard. Les conseils du site publiersonlivre.fr (pub gratuite) sont vraiment précieux.
Après avoir fait le tour des solutions d’édition, j’ai opté pour l’auto édition orientée principalement autour du « print-on-demand » d’Amazon, une solution vraiment magique en terme de logistique et d’efficacité. Il y a un inconvénient : vous n’êtes pas en librairie. Mais il y a un avantage énorme –en tous cas pour moi- c’est que je n’ai pas délégué mon savoir faire promo et marketing à un éditeur « classique » qui, avec tout le respect dû, en sait en général un peu moins que moi sur le sujet de la communication et s’en fiche même souvent un peu. Surtout, je connaissais intimement ma cible.
Je pense qu’à l’arrivée, le pari a été largement gagnant. Et je n’exclus pas de trouver des solutions (édition de poche, co-édition sous autre format…) pour attaquer à son tour le circuit des libraires. Il n’y a aucune raison sérieuse pour que les deux formes de distributions ne cohabitent pas pour l’auto édition. Ça ne pose aucun problème pour l’édition traditionnelle. Il y a une certaine prévention un peu irrationnelle des libraires. Il faudrait que les acteurs dialoguent mieux.
– Qu’as-tu mis en place pour faire connaître votre livre ?
J’ai préparé un plan marketing assez précis. Après tout c’est mon métier !)
J’ai visé en priorité mon cœur de cible, c’est à dire les professionnels de la communication qui représente quand même selon les chiffres officiels plus de 700 000 personnes aujourd’hui. Un sacré vivier de lecteurs ! Pour cela, j’ai d’abord fait le plein de mes réseaux sociaux,( facebook, instagram et linkedin, très performant sur une cible pro). Puis je suis allé mendier de l’espace publicitaire gratuit à des amis afficheurs qui m’ont offert quelques emplacements dans le métro parisien et sur des sucettes Decaux. Merci à eux ! Un autre coup de main formidable m’a été donné par le génial Frank Papazian, un grand éditeur de l’univers professionnel qui a aimé mon projet, m’a ouvert les colonnes des titres principaux de la communication et offert gentiment des bannières sur ces sites. Qu’il soit béni pour l’éternité. En quelques temps, toute cette communication gratuite a créé du buzz et le jour du lancement, beaucoup de personnes de cet univers proche de moi attendaient plus ou moins la sortie du livre.
Je suis conscient que l’accès à ces médias est une chance que peu d’ auteurs, ni même éditeurs ont, mais je suis sûr que chacun, s’il a réfléchi à qui s’adresse son livre, peut à force d’obstination et d’imagination, trouver des solutions équivalentes dans son propre entourage. Ca va de la petite note chez les commerçants du quartier, au simple appel à la presse locale près de chez soi (elle adore les auteurs locaux) en passant par tous les systèmes de partage, voire de crowdfunding sur internet. On peut aussi générer des tas de petits évènements sympas. Les idées sont innombrables en fonction des particularités de l’environnement de chacun. Et les petits ruisseaux font les grandes rivières.
J’ai investi financièrement sur 3 postes. Un site internet, un lancement dans un bar, et une géniale attaché de presse. Les deux premiers ont été utiles, la troisième a été formidable. J’aurais pu me contenter d’un gentil succès auprès de mes anciens confrères de la communication, et faire l’économie de cette dépense, mais j’espérai atteindre un public plus vaste. J’ai eu énormément de chance avec elle car c’est une profession où le talent et l’efficacité sont rares. Elle m’a obtenu beaucoup d’interviews et de papier dans des titres à qui mon livre a plu, au delà de ma cible initiale. La presse et les émissions tv économique dans un premier temps, puis des media grand public. Le Figaro, l’Obs, Forbes, Europe1, quelques télés… Du coup mon audience s’est étendue, ma cible s’est élargie, et j’ai conquis un nouveau lectorat.
Sans vouloir la jouer prétentieux, j’ai quand même la faiblesse de penser que la qualité de mon livre a un peu joué, mais là aussi j’avais beaucoup préparé mes outils de lancement : communiqué de presse, bio, argumentaire, quelques éléments de langage pour ne pas rester bête pendant les interviews, des bonnes photos réalisées par une copine de talent, mille détails indispensables. Je répète, comme Léonard de Vinci avant moi : « ne pas être prêt, c’est déjà souffrir » Anticipez tout !
=> Consultez mon article sur les 3 piliers d’un auteur à succès
Tu as eu beaucoup de commentaires, bravo. Comment as-tu fait ?
Je ne sais pas. Bien sûr au départ, je suppose que tout le monde demande à deux ou trois proches qui ont acheté le livre de poster des commentaires sympas pour amorcer la pompe. Ensuite, ça dépend de la carrière du livre. Après, pour moi, ça s’est fait tout seul, et jusqu’à maintenant avec seulement des commentaires vraiment positifs. Je touche du bois et remercie mes lecteurs. Peut-être que mon bouquin n’était pas si nul. Et c’est bien sûr un élément de com à ne pas négliger.
-As-tu eu des initiatives originales ?
Oui sans doute, (voir plus haut), mais j’ai surtout couru après tous les ballons. Imaginer et construire les opportunités est un travail presque à temps plein. Après avoir été deux ans obsédé par l’écriture de mon livre, j’ai été obsédé un an par sa promotion. Heureusement tout s’est passé au delà de mes espérances et je peux maintenant me consacrer de nouveau à l’écriture. C’est un choix à faire.
-Selon toi, qu’est-ce qui fait que ton livre se vend bien ?
Personne ne sait vraiment pourquoi un premier livre se vend. Et les professionnels encore moins, sinon il n’y aurait que des best-sellers ! Je crois une chose : une fois qu’on a fait tout, mais vraiment tout ce qu’on pouvait, il faut s’en remettre à la chance. Le plus important pour moi, c’était d’avoir écrit ce livre et d’y avoir pris beaucoup de plaisir. Peut-être que ça s’est ressenti.
-Si tu devais recommencer, que changerais-tu ?
Bonne question. Rendez-vous au prochain !
=> Voir le livre de Pierre : http://www.amazon.fr/Jenlève-haut-dessous-lâge-dor-ebook/dp/B07JK5J5RL/
Yann Courchelle
Quel est ton livre et quel est son sujet ?
Mon livre est un hybride, il s’appelle :
« Et Si ?» – « A force de croire savoir, on oublie de voir » !
C’est un guide pratique, à la croisée entre les sciences, l’accomplissement de soi, et l’ouverture aux questions fondamentales sur notre place à tous, dans notre décor !
Qui part du principe que Tout est lié, Tout est connecté ! La science le prouve, mais si 10% de la population comprend les équations, cela me paraît être le maximum, alors « Et SI ? » le simplifie pour les 90% restant.
De la physique quantique à la spiritualité, ou des philosophie anciennes aux citations courantes, tout est lié et connecté mais c’est toujours une question de points de vues, de référentiels, de connaissances, mais surtout de perceptions !
Le sujet, c’est nous ! Ici et maintenant, et après ?
Peux-tu nous décrire le lancement de ton livre ?
Le lancement a été un régal ! Une bonne pression ! Mais toute fluide, car je me sentais en toute confiance avec Olivier, alors même que je savais que, jamais rien n’arrive ni comme on veut, ni comme on craint, l’important c’est de tenir !
Un mélange donc de beaucoup d’excitations, de surprises, et la stratégie a bien fonctionnée ! On était dans les temps, et dans les rails ! Prêt à dégainer ! Un mois de teasing sur 3 réseaux sociaux choisis avec Olivier, le site internet avec les moyens de paiements opérationnels. Amazon, c’était Olivier, et les autres bien sur, donc je ne m’en suis pas soucié ! Et puis le jour du lancement, l’adrénaline à son TAUX MAXIMAL ! Une séance de dédicaces prévue à la maison de la presse la semaine du lancement par chez moi, avec un teasing également sur le net. On a eu la livraison In Extremis le matin même !!! Commencer local et s’étendre de plus en plus national, et International! J’ai vendu très rapidement en Belgique, en Espagne, en Thailande, à Dubai, puis en Australie !
C’était partie pour une nouvelle aventure que je pressentais déjà d’incroyable, et qui continue aujourd’hui avec son lot de surprises et de petits miracles !
Qu’as-tu mis en place pour faire connaître votre livre ?
Un maximum d’actions, l’idée c’est vraiment de faire feu de tout bois, être judicieux, astucieux, je dirais, être inspiré, et être attentif à tous les signes pour continuer d’avancer.
C’est ce que j’ai fait ! J’ai d’abord fait parler de moi sur les réseaux en amorçant une pompe ! J’ai suscité la curiosité par un sondage, en vérifiant (prétextant aussi, faut avouer) l’algorithme de FB : « Bonjour tout le monde, j’ai quelque chose à vous annoncer, mais avant, je tiens juste à vérifier combien de gens verront ce message, pour être sur de l’annoncer sur le bon réseaux » !!! « Ca vous coutera juste un mouvement du pouce sur le pouce en bas ! ». « D’avance merci…. »
Cela a eu d’autant plus de réactions intéressantes, que je ne publiais vraiment plus beaucoup, si ce n’est rien depuis déjà un moment, alors les gens se sont pris au jeu direct ! On a vérifié 12% ! Ce qui est peu, mais ciblé, c’est efficace quand même !
As-tu eu des initiatives originales ?
Aller au culot aux studios de RTL à Neuilly, du groupe M6, de France TV, Radio France, maison de production de Ardisson ! En laissant à chaque fois des exemplaires dédicacés (personnalisés EVIDEMMENT !!!), où je m’arrangeais à chaque fois pour trouver une personne du service courrier et faire « copain » pour être sûr qu’il aille bien dans la bannette correspondante, et non pas, volés ou jetés ! Bref, des échanges humains, c’est primordial !!!
Idem à l’accueil de Radio France Bleu sur Lille.
Ensuite, le culot sur les réseaux sociaux aussi! Instagram avec des célébrités, ou influenceur(e)s, Michelle Laroque, Ingrid Chauvin, Sophie Marceau, Nagui, Will Smith etc. et j’en passe des dizaines et des dizaines! Bref des gens qui je sais seront réceptives, évidemment !
Ecrire un communiqué de presse ! L’envoyer aux journalistes de ceux que tu connais, ou que tu as connus grâce aux gens que tu connais et à qui tu as demandé… Des recherches sur internet aussi, via LinkedIn
L’envoyer aussi à tout ton carnet d’adresse de tes boites e-mails !
Selon toi, qu’est-ce qui fait que ton livre se vend bien ?
Le faire, comme je l’ai écrit, avec mes tripes ! Y mettre Tout mon cœur, ma vision, mes actions, mon authenticité et donc ma confiance dans mon histoire, mon discours, mes intentions, mon intégrité. Car comme tout est lié et que tout est connecté ! Mon livre (après parution) ca a été, et ça l’est toujours d’ailleurs, mon chemin, et mon propre accomplissement ! Je marche sur mes paroles ! Je dis ce que je fais, et je fais ce que je dis ! Et ca marche ! C’est la mise en pratique de ce que je raconte ! Ne rien attendre de personne, faire ce qu’on a à faire en suivant son intuition, ce qu’on a de meilleur à donner et DIRE MERCI à ceux qui nous ont dit NON !!!! On leur doit rien, et on a apprit à le faire seul ! Donc on a pu évoluer! En sortant des chantiers battus ! Trop facile sinon!
Aussi, à mon humble avis, c’est l’énergie, et le contenu lui même, car il renvoi à tout le monde ! Ma vision est que 100% des habitants de la planète doivent le lire ! C’est pour ça que j’ai une motivation qui n’a pas de mesure, elle est sans limite ! C’est là où se trouve la créativité intuitive, insoupçonnée ! D’ailleurs à ce titre, c’est comme je l’écris aussi d’ailleurs, à ce stade, je ne parle même plus de motivations, c’est pour les nazes ! Si t’as besoin de mettre du feu sous ton cul pour avancer comme une casserole de lait, t’auras toujours besoin de qq’un pour te le mettre, et puis le soufflé retombe quand tu stoppe les gazs ! Alors que si tu trouves, TOI seul, ton INSPIRATION, que tu puisses reprendre ton souffle sur ta propre fréquence, reprendre tes propres gazs, et ben mon pote, tu te dresses TOUT SEUL comme un grand, tu suis tes tripes et dans cet élan, crois moi, les liens invisibles se libèrent ! ET la magie opère ! (je m’arrête là sinon je pars en sketch !!)
=> Voir le livre de Yann : http://www.amazon.fr/Si-force-croire-savoir-oublie-ebook/dp/B07V4NF4DF
Site :
Olivier
https://publiersonlivre
Merci à Nathalie, Pierre et Yann pour leurs réponses et témoignage
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.