Posté par khalfi1 le 5 juillet 2017
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Le 01 Juillet 2017 |
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L’Édito |
Je le lis, je le vis
Se soigner par les les livres ou « biblio-thérapie », c’est peut-être un remède de cheval ?
La célèbre revue Américaine « Annual Review of Psychology » publie en 2016 une information plutôt étonnante. A partir de scanners du cerveau, la conclusion est simple : la lecture ou « vivre en réel une expérience », active des zones cérébrales identiques. Les circuits neuronaux ainsi sollicités lors de la lecture d’un roman ou d’une poésie augmenteraient du même coup nos capacités d’adaptations sociales, notre aptitude à comprendre ceux que les autres sentent ou comprennent.
Lire un bon roman est un stimulateur de réalité.
C’est ce que déclare Alain de Botton auteur de « Comment Proust peut changer votre vie… ». En un mot, selon lui, et études à l’appui, un livre nous permet de vivre les émotions que la vie ne nous permet pas de vivre », c’est un agitateur de notre vie intérieure, une salle de muscle pour nos émotions.
La biblio-thérapie aurait-elle une place à côté des calmants et des pilules du bonheur ?
La bibliothérapie, cette discipline lancée au lendemain de la première guerre mondiale pour « soigner » les traumatisés de la violence et de la mort de la Grande guerre a trouvé son creuset aux Etats Unis. Peu répandue en France, elle se heurte à nos préjugés
- soit une sacralisation absolue de la littérature, dont il serait vulgaire de trouver une « finalité »
- soit la conception de la littérature divertissement, presque déconnectée de la culture et de sa mission.
Nous y venons, certains « psys » stimulent le psychisme de leurs patients en faisant lire à haute voix des romans et des poésies. Attention, la posologie est importante. Et certains livres doivent être tenus hors de portée des enfants.
» Ecrire : une résilience
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POUR NE PAS SE TROMPER 3 : -é ou -er ?
Bon, on pourrait penser qu’Elen Brig Koridwen considère notre cas comme assez grave, voire désespéré. Distinguer le participe passé de l’infinitif a souvent été l’une des priorités du primaire de toute une génération. Mais ne prenons pas pour acquis ce qui ne l’est pas.
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JEAN CLAUDE ROBIN
Naissance en Ardèche profonde, études secondaires classiques, puis Commerce Maritime International. Une carrière de 36 ans dans les activités pétrolières, carrière Internationale, « Europe, U.S., Asie », avec une fin de carrière en Chine. Celle-ci, m’a beaucoup apporté d’expériences et de connaissances, qui ont forgé le socle de mes ouvrages, « L’essence de la vie », ou « L’énergie du monde ». Puis « L’homme chinchilla et le rêve au féminin », Aujourd’hui, « Les migrations humaines, matérielles, et immatérielles ». A découvrir.
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Cet article a été publié le Mercredi 5 juillet 2017 à 14:39 et est catégorisé sous culture, littérature.
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