C’est toujours le plus pauvre qui paye.
Posté par khalfi1 le 14 janvier 2010
Le récent tremblement de terre en Haïti montre que l’homme, en dépit de tous les progrès techniques dont il tire bénéfice dans tous les domaines, reste soumis aux caprices de la nature. Il suffira aussi d’un gros tsunami ou d’un grand astéroïde percutant la terre pour mettre fin à l’aventure humaine. On n’aura même pas besoin d’une guerre à grande échelle et d’armes nucléaires. C’est pourquoi les prétentions de l’homme à vouloir régenter son environnement resteront vaines. A moins de provoquer une saine solidarité entre tous les peuples de la planète qui sont liés par leur communauté de destin, pour affronter ensemble tous les périls qui guettent notre minuscule globe terrestre. Au lieu de les dresser les uns contre les autres, les politiciens soucieux avant tout de leur carrière, feraient mieux de coordonner leurs actions pour mieux assurer le bien-être de toute l’humanité. Et non pas donner corps à la devise affirmant que les guerres sont provoquées par des gens qui se connaissent très bien, au détriment de gens qui ne se sont jamais connus.
Bonjour, Yacine, très bien ton texte, c’est tout à fait çà, nous sommes tout petit devant la nature
Nous avons connu un tremblement de terre en Guadeloupe en 2005, moins fort, plus fort sur les Saintes, je peux te dire que c’est traumatisant
Nous avons beaucoup d’amis Haitiens en Guadeloupe qui sont dans la peine.
Merci pour ce texte
Bonne fin de journée
Bises
Suzanne