Mohamed Dib
“Mon père mourut alors que je venais d’atteindre mes onze ans et l’ayant perdu à cet âge, je me considérai comme quelqu’un qui n’eut jamais de père. Cela m’incitait curieusement à ne vouloir pas posséder d’amis ni même de simples camarades de jeu. Je ne jouais pas ; être seul, c’était ce que je désirais. […]