Harry Potter. Et les reliques de la mort.

Posté par khalfi1 le 12 août 2008

« Ils consacraient leurs journées à tenter de déterminer où pouvait bien se trouver l’épée de Gryffondor, mais plus ils évoquaient les endroits où Dumbledore aurait pu la cacher, plus leurs spéculations devenaient excessives, désespérées. Il avait beau se creuser la cervelle, Harry ne parvenait pas à se souvenir que Dumbledore ait jamais mentionné un lieu quelconque dans lequel il aurait eu l’idée de dissimuler quelque chose. Parfois, il ne savait pas si c’était contre Ron ou contre Dumbledore qu’il était le plus en colère.  » On croyait que tu savais ce que tu faisais… On croyait que Dumbledore t’avait expliqué comment t’y prendre, on croyait que tu avais un véritable plan ! «  

Partie du chapitre Godric’s Hollow

J.K. Rowling est née en Angleterre. Elle est diplômée en littérature française et en philologie. C’est en 1990 que l’idée de Harry Potter et de son école de sorciers germe dans son esprit, lors d’un voyage en train.

La suite ressemble à un conte de fées. Le premier agent auquel elle envoie son manuscrit le retient et une petite maison d’édition britannique décide de publier le livre. Grâce au bouche à oreille, le succès deviendra phénoménale.

2 Réponses à “Harry Potter. Et les reliques de la mort.”

  1. 4aru7eb dit :

    Bonjour, Yacine, comment vs-tu, bien je l’espère , tu sais ici il ne fait pas très beau même frais pour un mois d’août
    Tu vois les voyages en train peuvent faire fleurir l’imagination (rires) je suis fille de cheminots alors le train je connais et j’aime
    Bonne Journée à toi Bises
    Suzanne

  2. khalfi1 dit :

    Bonjour Suzanne

    Ton commentaire me rappelle les mêmes impressions que tu ressens. Le train symbolise beaucoup d’images de mon enfance. Mes parents habitaient à côté d’une gare. Je me souviens de l’ancien train tout noir qui marchait au charbon. Actuellement, je loge dans une ville ou presque chaque jour, l’Express qui relie Alger à Constantine passe en lançant une sorte musique très forte qui me rappelle la chanson de Richard Anthony  » Et j’entends siffler le train… « . Très nostalgique. Malheureusement, nous sommes très en retard sur ce plan car nous n’avons pas de TGV.
    Pour le moment, cela va bien mais nous étouffons sous la calicule. Il n’y a qu’au bord de la mer méditerranée qu’il est possible de retrouver une brise légère et « vigoureuse ». Vous avez de la chance d’avoir beaucoup de fraîcheur même si le ciel est un peu gris.
    Bonne journée
    Bises
    Yacine

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